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23/2/2017 – Vincennes – R1C2 – Prix du Plateau de Gravelle

e. Quinté+ - PMU.frAttelé – Internationale – Groupe III – 110 000€ – 2100m – 14 partants – Cendrée – corde : à gauche – Grande piste – Départ : Autostart – Pour 4 à 10 ans inclus (D à T), ayant gagné au moins 160.000, mais pas 750.000 et n’ayant pas été classés 1er, 2ème ou 3ème dans l’un des Prix d’Amérique ou de France, courus cette année à Vincennes. – Allocations : 110 000 € (49.500, 27.500, 15.400, 8.800, 5.500, 2.200, 1.100.)

Départ 13h47

Difficulté de la course : Peu difficile

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Quinté+ du dimanche 12 février : Bold Eagle, sur les traces d’Ourasi

Considérée comme la revanche du Prix d’Amérique, le Grand Prix de France n’a rassemblé que quatorze champions sur le parcours de vitesse des 2.100 mètres de la grande piste de Vincennes, ce dimanche 12 février. Impressionnant lors de ses victoires obtenues dans les Grand Prix du Bourbonnais, de Bourgogne, et dans le championnat du monde des trotteurs, Bold Eagle, lauréat de ce Groupe I, l’an passé, aura à cœur de conserver son sceptre.

Vainqueur de l’édition 2016 de ce Grand Prix de France, dans l’excellente réduction kilométrique de 1’10’’7, Bold Eagle (4 – F. Nivard) peut encore inscrire une nouvelle ligne à son palmarès exceptionnel en réalisant, pour la deuxième année consécutive le doublé Prix d’Amérique-Grand Prix de France. Le dernier trotteur ayant réussi cet incroyable exploit n’est autre que son illustre aîné, Ourasi, lauréat de ces deux classiques en 1986, 1987, et 1988. Bien loti derrière les ailes de l’autostart, l’élève de Sébastien Guarato s’annonce une nouvelle fois difficile à devancer, déferré des postérieurs. Franck Nivard a d’ailleurs déclaré à son sujet : « Il a gagné très facilement l’Amérique, et même s’il a battu le record de l’épreuve, il n’a pas eu une course dure. Il a très bien réagi lorsque je lui ai abaissé les oeillères à mi-ligne droite. Il a redonné un très bon coup de reins. Sébastien m’a confié qu’il avait bien récupéré. Tout se présente pour le mieux d’autant qu’on a hérité d’un très bon numéro. Il doit conserver son titre. »

Deuxième du Grand Prix de Bretagne, le 20 novembre, lors de ses débuts dans l’Hexagone, Propulsion (11 – O. Kihlström) a ensuite connu quelques soucis de santé. Ce fils de Muscle Hill n’a donc été revu en compétition que dans le Prix d’Amérique, dans lequel il a tracé un parcours plein de promesses, pour son retour, en s’octroyant une probante quatrième place. Désormais revenu à son meilleur niveau, le pensionnaire de Daniel Redén va tenter de contester la palme au crack de Pierre Pilarski.

Lionel (3 – M. Abrivard) n’est pas sur son parcours de prédilection, certes, mais aborde ce rendez-vous en pleine possession de ses moyens. Il s’entend à merveille avec son driver du jour, et évoluera, pour l’occasion, sans ses fers. Avec le « 3 » derrière la voiture, il faudra encore compter avec lui.

Un Mec d’Héripré (9 – J.-M. Bazire) est absent des pistes depuis le 26 août, mais a du travail derrière lui. Il évolue son parcours préféré, et sera, d’entrée de jeu, déferré des quatre pieds. Associé à Jean-Michel Bazire, qui sait en tirer la quintessence, ce rejeton d’Orlando Vici est capable de jouer les trublions.

Timoko (6 – B. Goop) a remporté ce classique en 2015, et n’a rien pu faire face à la supériorité de Bold Eagle l’an passé, devant se contenter de l’accessit d’honneur. Le protégé de Richard Westerink ne peut être condamné suite à son échec dans le Prix d’Amérique et doit profiter de sa situation favorable, en première ligne, pour remettre les pendules à l’heure.

Restée au poteau dans « la belle » de fin janvier, Anna Mix (2 – Y. Lebourgeois), finalement déclarée non partante, va apprécier le mode de départ de ce dimanche et peut compléter la combinaison gagnante de cet événement.

Voltigeur de Myrt (5 – L. Donati), troisième l’année dernière, a également son mot à dire, comme Wild Honey (8 – D. Thomain), à son affaire sur ce type de tracés.

Source : paris-turf.com

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12/2/2017 – Vincennes – R1C6 – Grand Prix de France

e. Quinté+ - PMU.frAttelé – European Trotting Masters Series 2017 – Epiqe Series – Internationale – Groupe I – 400 000€ – 2100m – 14 partants – Cendrée – corde : à gauche – Grande piste – Départ : Autostart – Pour 4 à 10 ans inclus (D à T), hongres exclus, ayant gagné au moins 160.000. – Allocations : 400 000 € (180.000, 100.000, 56.000, 32.000, 20.000, 8.000, 4.000. )

Départ 16h05

Difficulté de la course : Difficile

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Quinté+ du dimanche 29 janvier 2017 (Prix d’Amérique) : Bold Eagle, « ready » pour le doublé

Un an après avoir survolé le Championnat du Monde des trotteurs attelés, à seulement cinq ans, Bold Eagle remet son titre en jeu dans le Prix d’Amérique Opodo (groupe I – International – Finale Epiqe Series – 2700 mètres GP – 4 à 10 ans) ce dimanche 29 janvier à Vincennes. Il va tenter d’imiter son illustre papa, Ready Cash, auteur du doublé en 2011 et 2012. Mais, ils sont nombreux à ne pas l’entendre de cette oreille, en commençant par un certain Daniel Redén.

Touché dans son amour propre d’avoir été défait en début de meeting par Traders, dans le Prix Marcel Laurent, Bold Eagle (n°17 – F. Nivard) a vite repris le cours de ses trophées, s’adjugeant les Grand Prix du Bourbonnais et de Bourgogne. A l’instar d’un Ourasi, surnommé le « roi fainéant », le crack de Pierre Pilarski est très intelligent et semble se préserver dans le Temple du Trot désormais. Toutefois, sa sixième vitesse, aucun autre trotteur du peloton ne semble la posséder, comme en attestent ses ultimes 500 mètres du Bourbonnais couverts en 1’09’’6, sans forcer.

Ce dimanche, il découvre une belle occasion d’imiter son père Ready Cash, lauréat à deux reprises de la Belle en 2011 et 2012, et de conserver son invincibilité sur la distance classique (8 victoires). Sébastien Guarato, qui a tenté un coup d’intox cette semaine en déclarant un instant son pensionnaire sans ses quatre fers, aborde le jour J sereinement : « Depuis sa victoire dans le Prix de Bourgogne, j’ai pu le travailler comme je le souhaitais. Il est monté en puissance et est plus tonique que lors de sa dernière course. Comme il a le poil assez long, je vais le tondre samedi. Je lui ai essayé les oeillères à l’entraînement et il a bien réagi. Il en sera muni dimanche au cas où il aurait besoin de lutter. Il va défendre chèrement son titre. »

Un homme se dresse néanmoins sur sa route, disposant de sacrés atouts dans son jeu : Daniel Redén. Avec pas moins de quatre pensionnaires au départ, l’entraîneur suédois n’a pas fait dans la dentelle. Lionel (n°6 – M. Abrivard) est le seul, avec Traders, à avoir défait l’idole du trot français depuis le 27 août 2015. Ce sujet froid, comme il a pu encore le démontrer en dernier lieu, a été l’unique concurrent à pouvoir suivre son rival dans le « Bourbonnais », alors qu’il n’était que déchaussé derrière. Sans ses quatre chaussures cette fois, il s’annonce comme un drôle de client.

Son compagnon de box, Propulsion (n°4 – O. Kihlstrom), s’est montré très convaincant pour ses premiers pas en France, dans le Grand Prix de Bretagne, étant simplement dominé par une Anna Mix (n°9 – M. Mottier) des grands jours. S’il a eu un léger souci de peau à un postérieur depuis, le trotteur d’origine américaine a pleinement rassuré lors de ses ultimes travaux. Totalement déferré pour la première fois, il demeure capable de réaliser un exploit.

Autre concurrente américaine, Wild Honey (n°12 – G. Gelormini) aurait terminé plus près dans le « Belgique », si elle avait mieux négocié le dernier virage. Quant au quatrième mousquetaire, Call Me Keeper (n°3 – P. Vercruysse), il est revenu à son top niveau au bon moment, après un début d’hiver en demi-teinte.

Comment parler d’« Amérique » sans évoquer la candidature de Timoko (n°18 – G. Goop), qui se présente au départ de l’épreuve reine pour la sixième fois consécutive (5e, 7e, 5e, 3e et 2e l’an passé). Il a détrôné Ready Cash au rang de trotteur français le plus riche de tous les temps, le poids des années n’ayant pas d’influence sur ce fils d’Imoko.

La belle blonde Belina Josselyn (n°5 – J-M. Bazire), après avoir connu tous les malheurs du monde dans la première B, a décroché sa qualification dans le Prix Ténor de Baune. Si elle n’a pas laissé une impression folle ce jour-là, « JMB » l’a trouvée « parfaite » cette semaine au travail : « Lors de sa qualification dans le Prix Ténor de Baune, elle n’était pas suffisamment affûtée et elle était munie d’un enrênement exceptionnellement. Là, elle n’en aura pas. Dans le Prix de Belgique, elle a été victime d’un ralentissement. Depuis, sa préparation s’est très bien passée. Lors du travail le plus sérieux lundi, elle était parfaite. Elle devrait lutter pour la victoire. » Maintenant, avec ce peloton fourni, il faudra que la fille de Love You s’élance sur la bonne jambe. Si tel est le cas, elle a sa place sur le podium également.

On a hâte d’y être !

Source : paris-turf.com

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29/1/2017 – Vincennes – R1C5 – Prix d’Amérique Opodo

e. Quinté+ - PMU.frAttelé – European Trotting Masters Series 2017 – Finale Epiqe Series – Internationale – Groupe I – 1 000 000€ – 2700m – 18 partants – Cendrée – corde : à gauche – Grande piste – Pour 4 à 10 ans inclus (D à T), hongres exclus, ayant gagné au moins 16.000 au trot attelé depuis le 1er janvier 2016 inclus et ayant pris part à une course depuis le 1er octobre dernier inclus, les 4 à 6 ans ayant gagné au moins 180.000, les 7 à 10 ans ayant gagné au moins 250.000. – Allocations : 1 000 000 € (450.000 et 45 % des entrées, 250.000 et 25 % des entrées, 140.000 et 14 % des en)

Départ 16h05

Difficulté de la course : Difficile

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Quinté+ du samedi 28 janvier 2017 à Vincennes : la consolante de l’Amérique ?

Sur les 15 partants au départ de ce Prix du Luxembourg, certains visaient initialement l’Amérique, d’autres ont affronté les champions qui la courront. Mais en tous cas, tous, ou presque, ont un niveau digne du week-end. Et tous, ou presque, se tiennent dans un mouchoir de poche.

Les incontournables

  • 3 – Bolero Love : Initialement, il aurait dû courir l’Amérique. Et puis finalement, faute de qualification, son entourage a réajusté son programme pour lui trouver ce bel engagement. Samedi, en plus d’être le plus riche du peloton, il aura l’avantage de s’élancer de la première ligne. Si l’on oublie sa dernière sortie dans laquelle il n’a pas couru, c’est l’une des possibilités pour la victoire.
  • 8 – Aubrion du Gers : Ce pensionnaire de Jean-Michel Bazire reste sur une jolie série de victoires (4), dont la dernière au niveau supérieur (Masters Grand National du Trot Paris-Turf – Groupe II – 04/12/2016 —> course ci-dessous). Toutefois, son mentor ne s’en est jamais caché, c’est un cheval difficile à cerner. S’il est resté bien, sa fraîcheur devrait être un atout supplémentaire pour contrer, entre autres, Bolero Love (3) et passer le poteau en tête.

Les challengers

  • 13 – Sauveur : S’il en est bien un qu’il faut racheter, c’est lui. Déjà parce que sa musique prouve que la dernière fois, c’était une erreur de parcours (il manquait de condition), et ensuite parce que son palmarès prouve qu’il a le niveau des meilleurs. Cet été en Suède, il a battu des chevaux d’Amérique comme Anna Mix et s’est fait battre de peu par quelques champions de la trempe de Propulsion ou Bird Parker. Sur cette classe, avec un peu de fraîcheur et déferré, il serait très imprudent de le délaisser, d’autant que son entourage le présente pieds nus pour la première fois ! Ça sent la course visée !
  • 2 – Charly du Noyer : S’il n’avait pas galopé au départ la dernière fois, il aurait sans doute eu les moyens de bien faire face aux meilleurs. Samedi, il affrontera un lot plus facile et aura l’avantage de s’élancer d’un numéro à l’intérieur en première ligne. C’est une priorité ! A noter que c’est le concurrent le plus rapide sur le parcours : 1’10 »3. Il signait cet impressionnant chrono dans le non moins impressionnant Prix Marcel Laurent (10/11/2016 —> course ci-dessous) où Traders battait Bold Eagle. Boléro Love (3) était alors 3e devant Charly du Noyer.

L’impasse

  • 7 – Orione Degli Dei : S’il a été bon dans sa jeunesse, ses derniers résultats tendent à prouver qu’il a pris un petit coup de vieux. Samedi, il aura contre lui de rencontrer un lot relevé et de s’élancer de l’extérieur. Des conditions qui semblent visiblement échauder également son entourage qui a choisi de lui associer Yann Lorin plutôt que son habituel Roberto Andreghetti. L’impasse paraît évidente.

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Quinté+ du samedi 28 janvier 2017 : Une belle compensation pour Boléro Love

Groupe III toujours convoité à la veille du Prix d’Amérique Opodo, le Prix du Luxembourg (Course Internationale – 2.100 mètres GP – 5 à 10 ans) regroupe cette année quinze partants, ce qui lui permet, contrairement à l’an dernier, d’être support aux paris complexes. Boléro Love, doté d’une belle vitesse de base, peut viser la victoire.

Vainqueur des classiques Prix de l’Etoile et de Sélection en 2016, et placé de nombreux groupes depuis plusieurs mois, Boléro Love (3 – Gabriele Gelormini) a montré qu’il figurait parmi les meilleurs éléments de sa génération. Son entourage visait d’ailleurs l’épreuve reine du trot français avec lui, mais la chance n’a pas vraiment été au rendez-vous. Disqualifié de la cinquième place dans le « Bourbonnais », il a ensuite connu tous les malheurs du monde dans le Prix Ténor de Baune (3e), avant de s’élancer au galop dans le « Belgique », ne pouvant ainsi décrocher son billet qualificatif pour « l’Amérique. »

Ce Prix du Luxembourg pourrait constituer une belle compensation pour ce fils de Love You. L’opposition est, certes, de qualité, mais il n’a rien à envier à ses adversaires. Capable d’aller très vite sur le tracé proposé (1’10’’3, soit le meilleur chrono avec Charly du Noyer) et cette fois déferré des quatre pieds, il a les moyens de mettre tout le monde d’accord, comme le pense Sébastien Guarato : « Il a joué de malchance dans le Prix Ténor de Baune où il n’a pu s’exprimer à la fin alors qu’il était en mesure de s’imposer. Dernièrement, il s’est montré fautif peu après le départ. Peut-être n’était-il pas assez enrêné. Samedi, il va évoluer sur son parcours de prédilection et sera déferré des quatre pieds. Il détient une première chance, à l’image d’Aubrion du Gers et de Charly du Noyer… »

Le premier nommé est certainement le meilleur hongre français en activité. Il l’a démontré en signant de nombreux succès en 2016, en rendant la distance à des sujets de classe. Il a repris de la fraîcheur depuis son sacre dans le Masters Grand National du Trot Paris-Turf, ce qui constitue un atout considérable, et revient sur un parcours où il a vaincu à quatre reprises, en six apparitions. Ayant devancé Anna Mix à poteau égal dans le Prix des Cévennes, il a montré avoir la pointure des « grands » de Vincennes. Dès lors, il va falloir compter avec lui.

Le second, entraîné par Philippe Allaire, a lui aussi tenté sa chance pour participer à la « Belle », mais sa troisième place – tout près – dans le Critérium Continental, ne lui a pas permis d’atteindre son objectif. Il est évident qu’il a connu quelques combats, mais codétenteur du meilleur chrono sur ce parcours, il peut espérer l’emporter.

Derrière ces trois « ogres », le choix est plus ouvert. On peut notamment penser au rentrant Ave Avis (5 – Matthieu Abrivard), qui évolue juste en dessous de l’élite, Trebol (4 – Gabriel-Angel Pou Pou), convaincant dans le Grand Prix de Belgique et confirmé sur ce parcours, et à deux des trois « Billard », à savoir Indigious (6 – Franck Nivard) et Arazi Boko (15 – Anthony Barrier), sujets de vitesse, indissociables au papier.

Il faut également se méfier de Sauveur (13 – Björn Goop), qui pieds nus, devrait afficher des progrès par rapport à sa première sortie en France, dans le Prix de Lille. Björn Goop nous éclaire à son sujet : « Il a mis du temps à revenir à un bon niveau. Dernièrement avant sa course de rentrée, j’avais annoncé qu’il n’avait aucune chance. Là, je dis qu’il devrait beaucoup mieux courir d’autant qu’il sera déferré. Je ne pense pas toutefois qu’il puisse vaincre. Une allocation serait bien accueillie. »

Source : paris-turf.com

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