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Quinté+ du mercredi 5 avril à Angers : Opitergium face à son Prix d’Amérique

Contre Bird Parker, Tiégo d’Etang et Vulcain de Vandel ce mercredi (R1C1 – 13H47), Opitergium découvre un engagement de rêve. En pleine forme, le protégé de Robert Bergh partira du premier poteau. Ses prestigieux rivaux devront, pour certains, lui rendre 50 mètres. Analyse.

Les incontournables

  • 5 – Opitergium : Récent tombeur de Bad Boy du Dollar à Vincennes (vidéo), Opitergium a les moyens de doubler la mise. Certes, le partenaire de Dominik Locqueneux débute à droite mais il possède de nombreux atouts. En particulier sa dureté et son aptitude aux longs tracés. L’an passé, dans le Harper Hanovers Lopp (Groupe 2), il se classait sixième derrière Bird Parker à poteau égal. Ce mercredi, Opitergium aura cinquante mètres d’avance pour inverser la tendance. Depuis de nombreux mois, son entourage vante régulièrement ses qualités dans la presse. Candidat à la victoire !
  • 17 – Bird Parker : Absent depuis sa troisième place dans le Grand Prix de Paris (Groupe 1 – vidéo), Bird Parker trouve un lot à sa portée, ce mercredi. Sa classe peut lui permettre d’effacer son lourd handicap initial. Ce dernier s’estompe quelque peu sur les épreuves « marathons ». Très performant piste plate, le champion de Philippe Allaire, déferré des postérieurs, va se plaire sur les 3150 mètres d’Angers. Pour cette semi-rentrée, Bird Parker visera logiquement le podium. Rendre 50 mètres à Opitergium, si l’on se base sur leur performance commune en Scandinavie, n’est pas fait d’avance. Mais ce triple gagnant de Groupes 1 ne doit pas être sous-estimé…

Les challengers

  • 11 – Vulcain de Vandel : Lauréat du Prix Ténor de Baune 2015 (Groupe 2), Vulcain de Vandel, disqualifié ensuite dans le Prix d’Amérique, a connu de nombreux ennuis de santé. Des problèmes désormais révolus puisque le pensionnaire de Franck Nivard a pu courir tout l’hiver. Ces ultimes semaines, le représentant de Richard Cohen monte en puissance. Pour preuve, sa facile victoire à Caen, le 9 mars dans le Prix de Parigny (vidéo), dans un lot de bonne facture. Bien engagé au deuxième poteau, Vulcain de Vandel n’est peut-être qu’au début de sa rédemption. Sur le papier, il est capable d’un coup d’éclat.
  • 15 – Uniflosa Bella : En 2016, Uniflosa Bella s’est distinguée dans le Trophée Vert, échouant d’un souffle pour la victoire finale. Après un break de cinq mois, la protégée de Jean-Paul Marmion vient de faire une rentrée remarquée à Laval, obtenant une prometteuse sixième place, sans puiser dans ses ressources. Cette fois déferrée des antérieurs, elle a le potentiel nécessaire pour s’emparer d’une place à ce niveau. Des atouts dans son jeu.

Les impasses

  • 14 – Tayson de Houelle : Nettement plus confirmé sous la selle, il doit avant tout rassurer. Restant sur quatre disqualifications consécutives, il faut le regarder courir.
  • 12 – Ultimate du Rib : Sa forme est sujette à caution depuis l’été dernier. Dans ces conditions, il est impossible de le retenir dans notre sélection.
  • 9 – Tripolia : Avec l’âge, Tripolia manque cruellement de marge à l’attelé. Ferrée ce mercredi, elle s’attaque à trop forte partie.
  • 2 – Uno de Guinette : Dans cette catégorie, il est barré par bon nombre de ses rivaux. Pour son retour à la compétition, il garde ses « chaussures ». Difficile de lui accorder du crédit.

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Quinté+ du mercredi 5 avril : Bird, on le connaît « Parker »

Les trotteurs sont à l’affiche ce mercredi 5 avril, à l’occasion du Grand Prix Angers Loire Métropole. Ce groupe III, disputé sur le parcours atypique des 3.100 mètres de l’hippodrome d’Eventard, a fait le plein de partants, avec pas moins de dix-huit prétendants au succès, répartis sur trois échelons de départ. Particulièrement à son affaire corde à droite, Bird Parker, même aux 50 mètres, semble en mesure de tirer son épingle du jeu.

Bird Parker (17 – J.-Ph. Monclin) excelle sur les tracés à main droite, puisqu’il y a toujours réussi, lors de ses quatre sorties. Lauréat du Saint-Léger des Trotteurs (Gr.I monté), vainqueur du Prix des Ducs de Normandie (Gr.II), deuxième du Prix des Hêtres, puis rétrogradé à la deuxième place du Grand Prix du Sud-Ouest (Gr.II) derrière Timoko, ce pensionnaire de Philippe Allaire a toujours conclu sur les podiums. Certes, il n’a plus été revu en compétition depuis sa probante troisième place obtenue dans le Grand Prix de Paris (Gr.I), fin février, mais comme il est performant sur sa fraîcheur, il faudra compter avec lui, d’autant que son mentor le déferrer des postérieurs.

Mais ce représentant d’Elisabeth Allaire ne court pas seul et devra se méfier de Tiégo d’Etang (18 – C.-J. Bigeon). Troisième de cette épreuve l’an passé, cet élève de Christian Bigeon aborde ce rendez-vous en net regain de forme, comme en témoigne sa récente cinquième place acquise sur l’hippodrome de la Prairie. Il est monté en condition sur cette sortie, et a prouvé à maintes reprises son aptitude aux tracés à main droite. Lui aussi doit s’élancer du troisième échelon, mais semble en mesure de jouer les premiers rôles, face à une opposition apparemment dans ses cordes.

Véritable droitière, Uniflosa Bella (15 – A. Wiels) n’est pas là pour faire de la figuration. Cette représentante de l’Ecurie Jean-Paul Marmion vient de tracer un parcours encourageant, pour sa réapparition, tout en étant ferrée. Déferrée des antérieurs ce mercredi, son mentor en attend une performance de choix : « Elle s’est très bien comportée pour sa rentrée lavalloise, aux cinquante mètres. Depuis, elle est sur la montante. Le changement de corde ne lui posera aucun problème. Elle n’a que vingt-cinq mètres à rendre cette fois mais l’opposition est de qualité. Je la déferre des antérieurs cette fois et sans incident, elle a sa place à l’arrivée. »

Après des soucis de santé, Vulcain de Vandel (11 – F. Nivard) a tardé à retrouver toutes ses sensations, mais cela semble être rentré dans l’ordre, comme l’atteste son succès du 9 mars, à Caen. Franck Nivard a d’ailleurs déclaré à son sujet : « Il vient de renouer avec le succès à Caen après avoir rater son hiver. Il est plus à l’aise sur les tracés à main droite et va donc également se plaire sur la piste d’Angers. Il est resté au mieux, et même s’il y a deux sérieux clients au troisième échelon, j’espère le voir accrocher une place. »

Opitergium (5 – D. Locqueneux) vient de renouer plaisamment avec le succès sur le plateau de Gravelle. Il n’a besoin de personne dans un parcours, et peut profiter de sa situation favorable, en tête, pour jouer les trublions.

Vertige de Chenu (7 – P. Pellerot) s’est placé lors de son unique sortie sur le parcours du jour. En forme, il garde son mot à dire, à l’image d’Urgos du Cèdre (8 – J.-P. Lecourt), dont la qualité de l’engagement attire l’attention.

Un Nuage de Betton (1 – E. Raffin), à l’issue d’un déroulement de course favorable, est en droit de briguer une 4/5e place.

Source : paris-turf.com

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5/4/2017 – Angers – R1C1 – Grand Prix Angers Loire Métropole

e. Quinté+ - PMU.frAttelé – Internationale – Groupe III – 60 000€ – 3100m – 18 partants – Sable – corde : à droite – Pour 6 à 10 ans inclus, les 6 à 9 ans ayant gagné au moins 100.000. – Recul de 25 m. à 280.000, de 50 m. à 612.000. – Allocations : 60 000 € (27.000, 15.000, 8.400, 4.800, 3.000, 1.200, 600.)

Départ 13h47

Difficulté de la course : Peu difficile

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Quinté+ du dimanche 26 février : Bold Eagle veut imiter Bellino II

Ce dimanche 26 février, Bold Eagle va tenter d’entrer un peu plus dans la légende à Vincennes, en remportant le Grand Prix de Paris (course internationale – groupe I – 4 à 10 ans – 4150 mètres GP), dernière étape de la Triple Couronne. Cet exploit n’a plus été réalisé depuis 1976 et Bellino II… Mais à grand crack, rien d’impossible !

Comme en 2015, ils ne sont que 13 au départ du Grand Prix de Paris, mais les dirigeants du Trot ont cette fois pris la décision de garder l’épreuve comme support des paris à la carte. Et ce pour le plus grand plaisir des turfistes.
Bold Eagle (n°13 – F. Nivard) était passé proche de la Triple Couronne l’hiver dernier, étant seulement devancé par Lionel (n°6) dans ce même Grand Prix de Paris.

Cette année, on a l’impression que le crack de Pierre Pilarski est encore meilleur et va surtout aborder le marathon de Paris, avec plus de fraîcheur. Il vient de survoler le Grand Prix de France, sans que son partenaire n’ait eu besoin de lui abaisser les œillères.

Après avoir rejoint Ourasi, dernier trotteur à avoir réalisé le doublé Prix d’Amérique/Prix de France à plusieurs reprises, le fils de Ready Cash pourrait imiter l’ogre Bellino II, dernier lauréat de la Triple Couronne. Tous les feux sont au vert du côté du Ménil-Bérard et de Sébastien Guarato : « Il s’est imposé sûrement lors des Prix d’Amérique et de France. Il a pu avoir un très bon parcours à chaque fois, heureusement. Il est toujours extra. J’estime qu’il aborde cette épreuve plus frais que l’an passé, où Lionel l’avait devancé. J’ai un instant pensé l’alléger, avec des cloches moins lourdes. Mais je vais éviter de prendre le moindre risque. Tout est O.K. ! »

Bélina Josselyn (n°8 – J-M. Bazire) va tenter de lui donner du fil à retordre. Elle a été étincelante le dernier dimanche de janvier. Malgré une position le nez au vent en plaine, elle a enrhumé le peloton en haut de la montée, avant de s’incliner avec les honneurs face au mâle.

Depuis, « JMB », roi de ce marathon, a préféré faire l’impasse sur le Grand Prix de France, sa jument ayant réalisé une « vraie course » : « Je l’ai laissée décompresser un peu après l’Amérique. Elle s’est ensuite exercée régulièrement. Elle a ainsi effectué un très bon travail lundi. Elle est toujours au mieux. Elle respire parfaitement en course, où elle peut ainsi être bien décontractée. Il s’agira d’un atout pour ce marathon. Je souhaite évidemment battre Bold Eagle, mais celui-ci me semble… plus frais que l’an dernier ! »

Le tenant du titre, Lionel (n°6 – O. Kilhström), ne doit pas être condamné sur son échec du Prix de France, où il n’évoluait pas sur son parcours de prédilection. Il retrouve Orjan Kilhström, avec qui il a remporté ce groupe I en 2016. On le reprend en confiance.
Excellent cinquième dans la « Belle », à l’issue d’une excellente fin de course, Briac Dark (n°3 – D. Thomain) sera comme un poisson dans l’eau sur les 4150 mètres de la grande piste. Il va tenter d’imiter son père, Prince Gédé, désinvolte vainqueur en 2009.
On ne peut pas passer sous silence la candidature d’Up And Quick (n°12 – M. Mottier), lauréat des éditions 2014 et 2015, qui évoluera déferré pour la première fois de l’hiver. Victime d’un ralentissement dans le Grand Prix de Belgique, il avait effectué une bonne ligne droite ensuite. Assurément sur la montante, il a les moyens de renouer avec ses bons résultats dans le Temple du Trot.

Source : paris-turf.com

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26/2/2017 – Vincennes – R1C4 – Grand Prix de Paris

e. Quinté+ - PMU.frAttelé – European Trotting Masters Series 2017 – Internationale – Groupe I – 400 000€ – 4150m – 13 partants – Cendrée – corde : à gauche – Grande piste – Pour 4 à 10 ans inclus (D à T), hongres exclus, ayant gagné au moins 160.000. – Allocations : 400 000 € (180.000, 100.000, 56.000, 32.000, 20.000, 8.000, 4.000. )

Départ 15h15

Difficulté de la course : Assez difficile

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Quinté+ du jeudi 23 février à Vincennes : Propulsion a une revanche à prendre

2e du Grand Prix de Bretagne, 4e de l’Amérique, il aurait pu bien faire dans le Grand Prix de France. Mais dans tous les mauvais coups, Propulsion se contente d’une 6e place. De retour en piste ce jeudi, il a une revanche à prendre sur le sort et cette fois, personne ne devrait l’en empêcher.

R1C2 – Prix du Plateau de Gravelle

Les incontournables

  • 1 – Propulsion D4 : Quatrième dans l’Amérique puis mal loti dans le Grand Prix de France, c’est clairement l’un des meilleurs du lot. Seul hic dans sa candidature, le numéro au départ de ce Prix du Plateau de Gravelle : le 1 derrière les ailes.
  • 2 – Indigious D4 : La dernière fois qu’il s’est présenté sur le parcours, il s’est classé 2e. C’était dans le Prix du Luxembourg et il s’inclinait, de peu, derrière Aubrion du Gers. Si l’on oublie sa dernière sortie et que l’on se concentre sur les conditions de course de ce jeudi (pieds nus et numéro 2 derrière les ailes), c’est une première chance.

Les challengers

  • 12 – Treasure Kronos D4 : Lauréate plaisante du Critérium Continental, elle a tenu sa partie dans l’Amérique (9e) puis dans le Prix Jean Le Gonidec (Gr.2) duquel elle conclut troisième. Douée, rapide et affûtée, c’est l’une des belles possibilités de cette édition. Pour preuve, elle affiche un pourcentage de 76% dans les 3 lorsqu’elle court sur des parcours de vitesse (21 tentatives, 16 fois dans les 3).
  • 9 – Ave Avis D4 : Quand il a le bon parcours, c’est un concurrent redoutable sur ce parcours. C’est d’ailleurs le plus rapide du lot. Mais avec le numéro 9 au départ, mieux vaut viser une place.
  • 5 – Beau Gamin : Il a de la classe et de la régularité, il se plaît sur le parcours et est bien loti au départ. Il a sa place dans un jeu.

Les impasses

  • 4 – Orione Degli Dei D4 : Ça fait un an qu’il n’a pas terminé dans les 5. Même s’il est bien loti au départ, les choses paraissent très compliquées pour lui ce jeudi.
  • 13 – Thé de Chine : Loin de son meilleur niveau, il aura en prime contre lui de s’élancer ferré de la deuxième ligne. À revoir.

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Quinté+ du jeudi 23 février : Un épouvantail nommé Propulsion

Groupe III, disputé sur le parcours de vitesse des 2.100 mètres de la grande piste de Vincennes, le Prix du Plateau de Gravelle a rassemblé un joli lot de quatorze concurrents ce jeudi 23 février. Découvrant des conditions de course idéales, face à une opposition apparemment dans ses cordes, Propulsion s’annonce comme le cheval à battre.

Excellent deuxième du Prix de Bretagne (Gr.II) lors de ses débuts dans l’Hexagone, le 20 novembre dernier, Propulsion (1 – O. Kihlström), victime d’un abcès à un pied, n’a pu être revu en piste que dans le Prix d’Amérique (Gr.I) dans lequel il s’est octroyé une probante quatrième place. Malheureux dernièrement dans le Grand Prix de France (Gr.I), le pensionnaire de Daniel Redén a une nouvelle fois prouvé son excellente condition en concluant plaisamment au sixième rang, sans que son driver ne lui demande le maximum. Jeudi, le fils de Muscle Hill descend nettement de catégorie, et doit profiter de son numéro « 1 » derrière les ailes de l’autostart pour décrocher un premier succès sur la cendrée parisienne.

Ave Avis (9 – J.-M. Bazire) n’a plus à faire ses preuves sur les 2.100 mètres de la grande piste. En effet, titulaire de 3 victoires et de deux places, en six essais sur le tracé, ce rejeton de Késaco Phédo évolue sur son tracé favori. Auteur d’une rentrée convaincante dans le récent Prix du Luxembourg  (4e), l’élève de Jean-Michel Bazire a progressé sur cette sortie et n’est pas là pour faire de la figuration, d’autant qu’il donne toujours son plein potentiel sans ses fers.

Treasure Kronos (12 – B. Goop) s’est imposée dans le Critérium Continental (Gr.I). Récente troisième du Prix Jean Le Gonidec (Gr.II) derrière Charly du Noyer et In Vain Sund, cette fille de Raja Mirchi, particulièrement à son affaire sur les parcours réduits, s’annonce compétitive pour les premières places.

Devancé par l’intouchable Aubrion du Gers dans le Prix du Luxembourg, Indigious (2 – F. NIvard), fautif au départ du Prix Jules Roucayrol, à Cagnes, ne peut être condamné sur ce faux pas. Confirmé sur le tracé, et bien loti en première ligne, ce protégé de Philippe Billard doit remettre les pendules à l’heure.

Remarqué lors de ses deux dernières sorties sur le plateau de Gravelle, Rod Stewart (14 – F. Ouvrie) tentera de brouiller les pistes. Son mentor a d’ailleurs déclaré à son sujet : « Il aime Vincennes et sa piste souple : c’est indéniable. Je le trouve meilleur que jamais. Franchement, je ne m’attendais pas à cela de sa part. Comme avec Treasure Kronos, nous ne serons que des outsiders. Je ne vous cache pas que cette situation me convient très bien. Une allocation dans les cinq premiers ferait mon bonheur ainsi que celui de ses propriétaires. »

Beau Gamin (5 – E. Raffin) a prouvé sa bonne condition lors de ses deux derniers essais. Certes, il n’est pas réputé pour ses talents de débouleur, mais a toujours réussi sur le tracé, en deux essais. Il garde son mot à dire pour les places d’honneur, à l’image de Timone Ek (8 – J.-Ph. Monclin), jugé sur ses meilleurs titres. Orione Degli Dei (4 – R.Andreghetti) n’est pas de tous les jours mais n’en est pas pour autant dénué de moyens. Dans un jour faste, une surprise de sa part n’est pas à exclure.

Source : paris-turf.com

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