Dans l’édition 2017 du Prix de l’Aveyron, Bilfie de Guez découvre un engagement d’exception au premier poteau. Double tenant du titre, Jean-Michel Bazire a tout mis en oeuvre pour préserver son fief.
Les incontournables
- 209 Bilfie de Guez : Idéalement engagée au premier échelon, à seulement 40 euros du recul, la protégée de Jean-Michel Bazire sera la logique favorite de cette épreuve. Pour cet objectif préparé de longue date, son entraîneur lui enlève, cette fois, les quatre fers. L’adversité est à sa mesure. Toutes les tactiques sont applicables la concernant.
- 201 Bea de Beauval : Éternelle malchanceuse cet hiver, la représentante d’Alban Cottard vaut mieux que ses récentes performances brutes. Il faut donc la reprendre les yeux fermés. Au premier poteau, elle a les capacités pour monter sur le podium. Vous êtes prévenus…
Les challengers
- 211 Valentine’s Day : Sur la montante après un break estival, elle s’annonce compétitive pour les belles places. En revanche, il faut préciser que ce n’est pas la jument la plus simple à utiliser dans un peloton. Jugée sur son potentiel et ses titres en région parisienne, elle peut faire des étincelles. Outsider séduisant.
- 216 Barbue : Entraînée par Karl Champenois, elle se livre pleinement à chacune de ses sorties. Lors de sa plus récente tentative, même si le résultat n’est pas au rendez-vous, l’impression demeure bonne, en retrait. C’est un choix prioritaire.
Les impasses
- 204 Betsy du Quenne : Absente durant six mois, elle a prouvé son manque de compétition lors de sa réapparition. Encore ferrée, elle devrait être discrète pendant l’emballage final, ce lundi. On la regarde dans l’attente d’un meilleur engagement.
- 207 Benjamine Gédé : Plus à son affaire sous la selle, elle aura d’autres objectifs prochainement. Impasse tentante.
- 212 Aïda des Valois : Mise au repos depuis le mois d’avril 2017, elle est, purement et simplement, surclassée à ce niveau. Rayure instinctive.
Commentaires récents