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Quinté+ du jeudi 6 juillet : Aufor de Mire trouve un engagement de choix

C’est à Enghien que se dispute l’événement de ce jeudi 6 juillet, le Prix de la Porte de Charenton. Dix-huit trotteurs de 7 à 10 ans seront aux prises sur la distance de 2.875 mètres. Idéalement engagé au plafond des gains, Aufor de Mire a l’occasion d’ajouter un troisième Quinté+ à son palmarès.

Lauréat à quatre reprises durant le meeting d’hiver de Vincennes, Aufor de Mire (18 – Charles Bigeon) a connu un léger passage à vide ensuite. Auteur d’une rentrée discrète au mois de mai, il a vite remis les pendules à l’heure, en prenant la deuxième place du Prix Sirrah, l’événement du 26 mai sur le plateau de Gravelle.

Il a repris beaucoup de fraîcheur depuis. Il bénéficie d’un engagement favorable au plafond des gains dans le Prix de la Porte de Charenton, qui sert de support aux paris à la carte, ce jeudi 6 juillet à Enghien. Son entraîneur, Christian Bigeon, le voit lutter pour la première marche du podium : « Dernièrement, pour sa deuxième course de rentrée, il a réussi à prendre le premier accessit derrière Attaque Parisienne, malgré un déroulement de course défavorable. Depuis, il a repris de la fraîcheur et va se présenter au mieux. Il bénéficie d’un bel engagement sur un parcours qu’il va apprécier. Tout est réuni pour qu’il dispute la victoire. »

Pour vaincre, il lui faudra tout de même venir à bout d’un adversaire de taille, Amarilla de Rabut (15 – Yoann Lebourgeois). La protégée de Philippe Duclos ne cesse pas de se distinguer depuis près d’un an, alignant les succès comme des perles. Elle devrait une nouvelle fois jouer les premiers rôles et peut, sans aucun doute, viser le graal, même si elle découvre la piste. C’est ce que pense son mentor : « Je n’étais pas rassuré pendant son heat vendredi passé au Mont-Saint-Michel. Elle s’est néanmoins imposée plaisamment ce jour-là. Elle n’a évidemment fait que du paddock depuis ça, ayant récupéré. Elle va courir très rapprochée, mais elle n’aura ensuite rien d’intéressant avant un moment. Il faudra battre Aufor de Mire. Elle est cependant extra. Je ne peux qu’être confiant… »

Nos deux favoris ont le handicap de rendre la distance, à l’image de Tessy du Moulin (12 – Yann Lorin) et Verso de Crennes (16 – Jérémy-Pascal Maillard), qui viennent de se distinguer dans une épreuve de ce genre à Vichy, le Prix de Cognat-Lyonne.

Respectivement troisième et cinquième de cette course, ils ont les moyens de se distinguer. Au premier échelon, la meilleure chance semble être Amour de la Vie (7 – Tony Le Beller), qui s’est déjà imposé à deux reprises dans ce type de tournois. Il tarde à se retrouver cette année, mais il détient une première chance théorique. Même s’ils n’ont pas beaucoup de marge, Armada des Iles (2 – Eric Raffin) et Armany d’Hermès (3 – Matthieu Verva) peuvent profiter de leur bonne condition actuelle pour tenter de surprendre.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du mercredi 5 juillet : Crazy Look ne sera pas toujours malheureux

Ce mercredi 5 juillet, un joli programme nous attend sur la piste de Bellerive, avec deux belles courses au programme : le Prix Hôtel de Barcelone (avec la présence notamment d’Avrik de Guez) et le Prix de Vincennes (course B – 5 et 6 ans – 2850 mètres), qui sert de support aux paris à la carte. Crazy Look, qui vient de jouer de malchance à deux reprises, découvre une belle occasion de renouer avec la palme.

Après avoir donné de grosses promesses en fin d’année de trois ans, Crazy Look (n°4 – P-Y. Verva) a connu une assez longue traversée du désert, mais semble sur le bon chemin depuis plusieurs semaines. Le fils de Look de Star vient de jouer de malchance par deux fois. Le 12 juin à Nancy, il a connu des problèmes de trafic dans la phase finale, où il aurait donné chaud à Cachou d’Occagnes (n°11 – F. Nivard), qu’il retrouve ici. Depuis, au Croisé-Laroche, il luttait pour les premières places lors de son incartade dans les ultimes longueurs. Il mériterait de renouer avec la palme, qui le fuit depuis le 23 février 2016 à Vincennes.
Stéphane Michel a eu le nez creux en réclamant Cronos d’Hameline (n°6 – M. Abrivard) suite à sa victoire à réclamer, le 21 avril à Maure-de-Bretagne. Sa récente deuxième place, à La Prairie, plaide en sa faveur. En effet, à cette occasion, il ne trouvait sur sa route qu’un certain Bolt, qui enfile les succès comme des perles actuellement. Son entourage effectue le déplacement avec des ambitions : « Il a pris une toute autre dimension depuis qu’on peut le déferrer des postérieurs. Il est également moins nerveux. En tout cas, nous sommes ravis de l’avoir réclamer. Matthieu Abrivard nous a poussés à disputer cette épreuve. Selon lui, en ayant le passage plus tôt à Caen, il se serait peut-être imposé. Il faut impérativement lui cacher l’effort. Si tout va bien, il devrait alors répéter. »
Buffalo Dub’s (n°12 – E. Raffin) arrive dans sa période de forme et n’a pas évolué déferré des postérieurs depuis le 4 septembre 2016. Remarqué le 10 juin à Lisieux après sa disqualification, confié à Eric Raffin et idéalement engagé, il compte de nombreux atouts dans son jeu.

Cachou d’Occagnes (n°11) nous doit une revanche sur sa 6e place sur l’hippodrome des Flandres. Franck Nivard nous incite à le racheter en confiance : « Dernièrement au Croisé-Laroche, dans une course sans train, il s’est retrouvé loin au moment du sprint. Mieux vaut le juger sur son succès, mi-juin à Nancy. C’est un excellent droitier. J’avais repéré cet engagement idéal à la limite du recul depuis un petit moment. Sauf incident, il devrait prendre une part active à l’arrivée. »

Du côté de la gent féminine, Cambridge (n°7 – J-M. Bazire) retrouve le Sulky d’Or, avec qui elle avait obtenu une 2e place le 12 mai à Vincennes. Elle n’a couru qu’à deux reprises à droite pour un trophée et une disqualification (avait laissé des regrets).

Capucine d’Avril (n°10 – S. Peltier) vient de devancer la précitée dans le Temple du Trot. A noter que son association avec Serge Peltier a donné lieu à une victoire, pour leur unique association, le 7 mars 2016 à Saint-Galmier. Elle devançait alors un certain Câlin de Morge

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du mardi 4 juillet : Duc de Guise, prêt à se réhabiliter

L’hippodrome de Clairefontaine est à l’honneur ce mardi 4 juillet à l’occasion du traditionnel Prix Léopold d’Orsetti. Ce handicap, disputé sur les 3.900 mètres du parcours de steeple a rassemblé seize chevaux, âgés de 5 ans et plus, parmi lesquels nous détacherons la candidature de Duc de Guise, à reprendre absolument.

Troisième lors de son unique essai à ce niveau, le 2 mai dernier, sur le steeple de Compiègne, Duc de Guise (13 – H. Tabet) ne peut être condamné sur sa récente chute, sur la butte Mortemart. Ce fils de Le Balafré, adepte de la course en avant et des terrains assouplis, va apprécier le profil coulant de la piste de Clairefontaine, et s’entend à merveille avec son cavalier du jour. Dans ces conditions, un rachat de sa part est escompté.

Son compagnon de box, Comeken (3 – L. Philipperon), ne part battu d’avance. Ce représentant de Philippe Sauvage a désormais deux parcours dans les jambes, et ne doit plus être loin de son meilleur niveau. Lauréat lors de son unique essai sur le tracé, ce spécialiste des pistes souples a un bon coup à jouer, d’autant qu’il a déjà montré de la qualité en 61 de valeur.

Fayas (8 – J. Duchêne) a tracé une fin de course remarquée sur l’hippodrome du Lion-d’Angers en s’emparant d’une probante troisième place. Ce pensionnaire de Patrice Quinton a repris de la fraîcheur en vue de ce rendez-vous, et semble capable d’arbitrer les débats, comme nous l’a indiqué son mentor : « Il a bien couru au Lion d’Angers, malgré une faute au mauvais moment. Le cheval est en forme : on est en train de le retrouver pas mal. Je pense qu’il a les moyens de bien faire à ce niveau-là. Il devrait s’adapter à Clairefontaine, ayant le profil et devrait donc bien courir. C’est un super sauteur. J’en attends une bonne performance. »

Surely Try (12 – S. Paillard) fait toutes ses courses. Cet élève d’Isabelle Pacault, capable de galoper dans tous les terrains, défendra chèrement ses chances : «  Après un bon meeting palois, j’ai essayé de lui trouver de bons engagements. Il s’est correctement défendu à plusieurs reprises mais je sais qu’il peut faire mieux. Il a du caractère et il lui faudra un parcours favorable pour donner le meilleur. Cette fois, il portera des oeillères australiennes pour le désorienter un peu. Dans un bon jour, il est capable de s’illustrer à ce niveau. »

Kaldou Euanas (10 – G. Masure) vient d’effectuer de bons débuts sur ce tracé (4e), pour son retour. Cet élève de François Nicolle a progressé sur cette sortie, et garde son mot à dire pour les places, tout comme Abaya du Mathan (11 – O. d’Andigne), irréprochable depuis le début de l’année.

Bialco (2 – J. Charron) reste sur une rentrée en demi-teinte, et n’est certainement pas présenté à la légère. Il dépend d’un entraînement toujours redouté à ce niveau, et peut ambitionner une 4/5e place, à l’image d’Honneur au Roi (1 – K. Nabet), jugé digne de participer au Prix Ferdinand Dufaure (Gr.I).

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du lundi 3 juillet : Guanacaste peut faire mouche d’emblée

Ce lundi 3 juillet, direction le Prix de Maisons-Laffitte pour un quinté en ligne droite des plus intéressants, le Prix Le Roi Soleil (3 ans – 1600 mètres LD – réf : +20). Mis dans du coton par son entourage, Guanacaste a les moyens de faire mouche d’emblée dans les handicaps.

Un poulain nous a particulièrement enthousiasmés le 23 avril, à Saint-Cloud : Guanacaste (n°8 – P-C. Boudot). Encore attardé à 200 mètres du poteau, dans une course rondement menée, le fils de Whipper a terminé dans une magnifique action.

Ce véritable rouleau compresseur a répété dans la foulée, ouvrant son palmarès en force, sur la piste de Chantilly. Bien qu’il effectue ses premiers pas en ligne droite et dans les handicaps, il se profile comme un solide favori. Henri-Alex Pantall n’a d’ailleurs pas caché sa confiance : « Il vient d’ouvrir son palmarès avec brio. Je juge ce poulain assez intéressant. Des pluies devaient tomber vendredi et samedi. Cet adepte du terrain souple sera peut-être avantagé, dès lors. Sachez que son manque d’expérience ne m’inquiète pas ! »

Son dauphin le 22 mai, Shams Brazilero (n°15 – G. Benoist), a, pour sa part, prouvé depuis qu’il avait la pointure d’un événement. En effet, dans l’épreuve de référence, le Prix des Hauts de France, il avait obtenu une plaisante 4e place.

Touching The Sjy (n°1 – G. Mossé) peut regarder les mâles dans le blanc des yeux, comme elle vient de le prouver par deux fois à ce niveau (3e et 2e).  Le 8 mai, à Saint-Cloud, elle ne trouvait sur sa route qu’un certain Roc Angel, qui s’est classé 3e dans le Prix Paul de Moussac (groupe III) ensuite.

Alexandre Fracas nous a confié : « Elle est régulière dans cette catégorie, où il ne lui manque plus qu’une victoire. On va essayer de remédier à cela dès ce lundi, même si c’est toujours très difficile de s’imposer à ce niveau, surtout qu’en ligne droite, il est compliqué de prévoir le déroulement de course. Quant au terrain, je ne souhaite pas qu’il s’assouplisse trop. »

Mujeeb (n°11 – A. Lemaitre) a obtenu deux places (3e et 5e) en autant de tentatives dans ce genre de confrontations. En dernier lieu, il a quelque peu craqué à la fin, sur 2100 mètres, ce qui incite son entourage à revenir sur le mile. L’assouplissement prévu des pistes ne sera pas pour lui déplaire.

Gigrette (n°12 – C. Soumillon) a séduit le 1er juin à Fontainebleau, où elle effectuait une reprise de contact après deux trophées dans le Sud-Est de la France.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du dimanche 2 juillet : Une belle course pour Xotic

Passé en valeur 38 suite à ses récents échecs, Xotic se retrouve bien placé dans le Prix du Béarn (Handicap Réf. +18 – Course D – 1.600 mètres – 4 ans et plus), support des paris à la carte ce dimanche 2 juillet.

Préserver le moral des chevaux rompus à l’exercice des handicaps est essentiel. C’est la raison pour laquelle Pauline et Didier Prod’homme ont décidé de courir sagement Xotic (13 – Pierre-Charles Boudot) les deux dernières fois, sur des parcours pas forcément faits pour l’avantager. Cela a aussi permis à leur élève d’être abaissé de deux livres sur l’échelle des valeurs. Pris en 38 désormais (sa plus basse estimation depuis juillet 2012), de retour sur un profil à son entière convenance et confié à Pierre-Charles Boudot, il semble capable de jouer un premier rôle dans cet événement dominical. Didier Prod’homme affiche ses ambitions : « Dernièrement sur 1.400 mètres, il a eu un bon comportement. Après avoir attendu comme il aime le faire, il n’a pas mal terminé. Le cheval est resté en bonne forme et va retrouver un parcours où il compte deux deuxièmes places, en trois sorties. Comme tout attentiste, il lui faudra un parcours limpide mais avant le coup, on serait déçu de ne pas finir dans la bonne combinaison. »

Après avoir effectué ses premières classes dans les courses à conditions, Gaetano Donizetti (9 – Stéphane Pasquier) s’est révélé dans cette catégorie, en prenant trois places. Dernièrement à Compiègne – où il dominait quelques-uns de ses rivaux du jour – il n’a été battu que par Snaad, qui semblait un peu déclassé à ce niveau. Dépendant d’un entraînement en pleine réussite, il a assurément sa place sur le podium. Les propos de David Smaga vont en ce sens : « Gaetano Donizetti reste sur deux bonnes sorties dans des quintés sur un peu plus court. Le fait de retrouver le mile ne devrait pas le dérouter. Tout comme Millfield un terrain souple ne devrait pas le gêner, bien au contraire… La lice étant à zéro dimanche, un petit numéro de corde serait le bienvenu. »

David Smaga pourra aussi compter sur Millfield (8 – Grégory Benoist). Celui-ci n’a déçu qu’une fois en quatre tentatives dans ce type de tournois, et devrait, tôt ou tard, enlever une épreuve de ce genre. Il en est tout à fait capable ce dimanche, sur un tracé où il a toujours répondu présent.

Victime de soucis de santé en 2016, Rakhsh (12 – Eddy Hardouin) a rejoint les boxes de la très habile Carina Fey. Auteur d’une rentrée dans un groupe III, faute d’engagements, il a montré qu’il avait retrouvé la pleine possession de ses moyens en participant à l’arrivée de deux Quinté+. Le 12 juin, il aurait même sans doute pu prétendre à un meilleur classement s’il n’avait pas fait bande à part dans la phase finale. Une nouvelle fois, il va falloir compter avec lui.

Remarqué par sa récente ligne droite, Nabucco (1 – Delphine Santiago) fait également partie des choix prioritaires. Il est intéressant de souligner qu’il s’est déjà imposé au Val d’Or.

Jugé sur sa prestation du 30 avril, Nice To See You (3 – Christophe Soumillon) garde son mot à dire, au même titre que Donuts Reyor (7 – Théo Bachelot), pour qui le raccourcissement de la distance devrait être un atout, et Skipéria (18 – Maxime Guyon), irréprochable avec les œillères.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du samedi 1 juillet : Sir Ratzeputz n’a pas tout montré

Le plein est fait dans l’événement de ce samedi 1er juillet, le Prix du Roussillon, avec dix-huit candidatures sur la grille de départ. Disputée sur les 2150 mètres derrière l’autostart, cette course ne devrait pas échapper à Sir Ratzeputz, impressionnant pour ses premiers pas sur notre sol.

Encore inconnu dans l’hexagone avant sa dernière tentative, Sir Ratzeputz (8 – Björn Goop) n’a pas mis longtemps avant de conquérir le cœur de nos parieurs. En effet, le fils de Love You, assurément en gros retard de gains, s’est rapidement installé au commandement du Prix Hygica, lors de la nocturne du vendredi 23 juin dernier, et n’a, ensuite, jamais été inquiété. En tout bon trotteur suédois, il ne sera, évidemment, pas rebuté par la courte distance et la piste plate d’Enghien, ne sera qu’un mieux. Avant le coup, il s’annonce comme le grand favori et cheval à battre du quinté.

Son mentor partage évidemment cet avis : « Il n’a vraiment pas « souffert » pour l’emporter en dernier lieu à Vincennes. Cette semaine, il a fait de l’entretien. Dans un premier temps, il est venu pour deux courses. Nous avons effectué la moitié du travail. Enghien devrait lui convenir à souhait. Franchement tous les feux sont au vert. »

Comme une course n’est jamais gagnée d’avance, tentons de lui trouver des opposants. Auch (1 – Charles-Julien Bigeon) est un pur cheval de vitesse. D’ailleurs, il fait afficher 2 sur 3 sur les 2150 mètres de la piste d’Enghien et obtient 81% de réussite, en seize tentatives, sans ses fers. Présenté dans cet uniforme samedi, il s’annonce également redoutable.

Désormais entraîné par Jean-Michel Baudouin, Ungaro d’Eva (16 – Eric Raffin) n’a pas été chanceux au tirage, mais sa dernière performance est excellente, derrière notre favori. Son mentor nous en dit quelques mots : « Il affichait une bonne condition physique avant sa dernière course et je n’ai pas été vraiment surpris du résultat. Il y a encore deux ou trois petites choses à régler pour qu’il se montre plus appliqué. Dans la foulée, il bénéficie d’un engagement correct mais il doit s’élancer en seconde ligne. Il n’est donc pas question qu’il prenne sa revanche sur ØSir Ratzeputz, Ømais une place est à sa portée. »

Mind Your Face (10) participait à une course, en commun avec Sir Ratzeputz, le 3 juin dernier. Même s’il ne s’y est classé que dixième, il n’a pas été des plus chanceux. En deuxième ligne, il ne gagnera sûrement pas, mais avec Franck Nivard au sulky, il faut le garder dans un jeu. Vivaldi d’Amboise (5 – Matthieu Abrivard) fait preuve d’une belle régularité. Bien placé derrière la voiture, sa place est encore à l’arrivée. Vega Wic (2 – Alexandre Abrivard) et Yankee’s Photo (7 – François Lecanu) sont également des belles chances en première ligne.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du vendredi 30 juin : Calizza Boko s’annonce redoutable

Course européenne réservée aux seules juments âgées de 4 et 5 ans, disputée sur les 2.100 mètres de la grande piste, le Prix Eva a fait le plein de partantes ce vendredi 30 juin, avec pas moins de dix-huit prétendantes au titre. Calizza Boko, au mieux, et confirmée sur les parcours de vitesse, doit profiter de ce bel engagement pour prendre une part active à l’arrivée de cette confrontation.

Calizza Boko (3 – F. Nivard) a montré d’évidents moyens depuis ses débuts, aussi bien sur longues que sur courtes distances. Au mieux comme l’atteste son récent succès obtenu sur les 2.200 mètres de la piste caennaise, irréprochable déferrée des postérieurs, et associée à Franck Nivard qui sait en tirer la quintessence, cette fille de Qwerty doit profiter de cet engagement sur mesure pour tirer son épingle du jeu. Franck Nivard a d’ailleurs confié à son sujet : « Elle a gagné facilement le mois dernier, alors qu’elle effectuait une rentrée après quasiment trois mois d’absence. C’est une jument maniable, facile à driver, et capable de tout faire. Elle a repris de la fraîcheur depuis son dernier succès. Elle s’est déjà imposée sur ce parcours et devrait logiquement disputer la victoire. »

Mais, comme une course n’est jamais gagnée d’avance, elle devra se méfier de Dalixoria (2 – E. Raffin). Cette pensionnaire de Sébastien Guarato a désormais deux parcours dans les jambes, et ne doit plus être loin de son meilleur niveau. Préparée en vue de cet engagement sur mesure, cette fille de Prince d’Espace va tenter de tenir la dragée haute à notre préférée.

Douce Aventure (14 – G. Junod) donne toujours sa pleine mesure. Absente de la compétition depuis son succès du 5 mai, sur les 2.100 mètres de la petite piste, cette représentante de Louis Baudron a repris de la fraîcheur en vue de ce rendez-vous. Titulaire de trois victoires et d’autant de places en six essais pieds nus, il faudra compter avec elle.

Corrida du Boulay (18 – S. Ernault) a retrouvé la plénitude de ses moyens comme en témoignent ses deux dernières performances. Certes, elle n’est pas des mieux loties derrière l’autostart, mais semble capable de brouiller les pistes, comme nous l’a indiqué Franck Harel : « Elle est revenue au mieux comme le prouve sa dernière sortie victorieuse. A Vincennes, on peut se permettre de la déferrer plusieurs fois de suite, ce qui sera le cas ici. Elle a déjà bouclé les 2.100 mètres de la grande piste sur le pied de 1’12 »6. Il ne faudra pas aller plus vite dans ce quinté, je pense. C’est une jument à qui il faut cacher l’effort. Le parcours fera la différence. »

Sur la montante comme nous le prouve sa deuxième place du 16 juin dernier, sur les 2.700 mètres de la grande piste, Dominicana (13 – L. Baudron) est en droit de jouer les trouble-fête, d’autant qu’elle ne sera déferrée des postérieurs que pour la deuxième fois de sa carrière.

Décennie (12 – M. Mottier) s’est imposée lors de son unique tentative, sans ses fers. De nouveau présentée dans cette configuration, elle garde son mot à dire, à l’image de Douloureuse (7 – J. Chavatte), dont la qualité de l’engagement attire l’attention. Terra del Rio (10 – Santo Mollo) est constante. Transcendée déferrée des quatre pieds, la méfiance est de rigueur.

Source : paris-turf.com

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