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Quinté : A chacun les siens !

Paris-TurfLe Prix d’Arcachon (B, euro. – 7 à 10 ans – 2.100, GP), support du quinté de lundi à Vincennes, semble très compliqué pour les joueurs.

A l’image de la réunion, qui affiche trois groupes II au programme, ce quinté réunit des trotteurs d’âge de qualité, que l’on a plaisir à voir débuter ce meeting d’hiver. Mais, côté jeu, cette épreuve s’annonce très difficile : les possibilités semblent en effet très nombreuses.

Par défaut, ou plutôt sur sa formidable régularité, Septuor (6) devrait rassembler de nombreux suffrages. Toujours dans les cinq premiers lors de ses treize dernières sorties (!), le pensionnaire d’Alexandre de Jésus est un trotteur qui ne fait pas d’histoires et possède une redoutable pointe de vitesse. Titulaire de cinq succès dans des courses-évènement (mais un seul avec Matthieu Abrivard, contre quatre avec Julien Dubois, retenu lundi par Racing Charm), le fils du roi Love You a repris de la fraîcheur cet été… histoire de briller, comme l’an dernier, de mille feux durant ce meeting d’hiver. Si son entraîneur estime qu’il ne sera au top que dans quelques semaines, il a été très agréablement surpris par sa course de rentrée. En résumé, une place dans les cinq (ou mieux) lui paraît à nouveau promise.

Bien que plus connue sur les parcours de tenue, la tout aussi régulière Reine Hélène (8) a montré qu’elle pouvait aussi bien faire sur plus court, comme en témoigne sa deuxième place du 19 septembre, sur ce parcours, dans un lot très similaire. Meilleure que jamais en vieillissant, on aura du mal à s’en passer.

En première ligne, Renardo Bello (15) aurait une bonne tête de favori. Mais il s’élancera depuis la seconde… Reste que le cheval de Christian Bigeon a les moyens de dominer un lot comme celui-ci, surtout si le train venait à être suffisamment soutenu. En quête de rachat après sa disqualification de début octobre, il fait partie des premières chances les plus régulières.

Très bien engagée, Sissi du Morin (9) reste sur une belle troisième place, derrière les très bonnes Soléa Rivellière et Roxana de Barbray, dans un groupe II disputé à Mons (2 300 mètres). Elle aime ce parcours (deux fois deuxième en deux tentatives) et n’a qu’à répéter sa dernière sortie pour terminer sur le podium. Gare à elle malgré son numéro derrière la voiture !

Habitué à courir hors de ses bases, l’italien (Gubellini) Marlon Om (1) revient faire un tour à Vincennes. Sa dernière apparition ici remonte à janvier dernier : c’était dans une course de groupe III, disputée sur ce tracé, et cela s’était conclu par une quatrième place. Bref, il faut se méfier de ce trotteur véloce mais pas toujours sage. Rock Barbés (4) est malheureusement trop intermittent pour consituer une base de jeu. Mais, quand il est décidé, il peut faire valoir des moyens peu communs et sera, lundi, déferré des quatre pour la première fois depuis très longtemps… Attention ! Pedro Vici (3) reste sur deux très bonnes sorties (sur plus long), où il a devancé plusieurs adversaires qu’il retrouve ce lundi (notamment Reine Hélène le 7 septembre et Sissi du Morin le 4 octobre). Racing Charm (12) est doué mais très délicat : c’est un pari risqué, mais un parfait trouble-fête aussi. Mentionnons pour finir les candidatures de Québir de Léau (7), associé à Franck Nivard, et Snob de Corday (5), assez doué mais probablement meilleur piste plate.

Source : paris-turf.com

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Le PMU s’engage à séparer ses masses

Paris-TurfAfin de répondre aux attentes de l’Autorité de la concurrence, saisie par une plainte de Betclic, le PMU a proposé de “de séparer, dans un délai de 24 mois et pour chacun des paris proposés sur Pmu.fr, ses masses d’enjeux enregistrées en ligne de celles enregistrés en dur”. Une mesure qui pourrait être lourde de conséquences pour le marché des paris en ligne, pour l’Institution, mais aussi pour les turfistes… (Voir les propositions du PMU en fin d’article).

Depuis l’ouverture des paris en ligne, les nouveaux opérateurs de paris hippiques se plaignent d’une concurrence déloyale du PMU : son monopole sur le réseau physique (qui lui rapporte 8,4 milliards d’euros contre 972 millions d’euros pour PMU. fr) lui permet de tirer de nombreux avantages de cette mutualisation. Ainsi, grâce à sa masse d’enjeux importante, le PMU peut avoir des gains plus attractifs (ne serait-ce qu’une tirelire qui peut atteindre 10 millions d’euros), des cotes plus stables et des paris plus nombreux (moins de risque de cannibalisation entre les jeux)..

Dans le cadre d’une procédure ouverte par Betclic Everest Group, le PMU s’est donc engagé, dans les vingt-quatre mois, à séparer son activité de paris hippiques en ligne (internet et mobile) de celle de son réseau physique. L’Autorité de la concurrence a bien pris acte de ces propositions mais, afin “d’en vérifier l’utilité et l’efficacité”, elle entend tout d’abord consulter les acteurs du marché, qui ont jusqu’au 2 décembre prochain pour faire part de leurs observations. On peut d’ores et déjà se poser la question de savoir si ces propositions seront suffisantes, PMU. fr possédant 84 % du marché des paris hippiques en ligne. La marque PMU, largement répandue, donne plusieurs longueurs d’avance à l’opérateur historique. Reste aussi l’impact sur les joueurs, qui vont être obligés de choisir entre les points physiques et le réseau virtuel, dont les gains redistribués seront moins alléchants. Espérons que le gagnant de cette nouvelle donne ne soit pas la Française des Jeux, pour l’instant épargnée par une réelle concurrence.

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Quinté du 2 novembre : Buck’s peut faire sauter la Bank

Paris-TurfQuasiment irréprochable cette année, Buck’s Bank s’annonce comme l’un des chevaux à battre dans le Prix Cacao (S. – +10 – 5A+ – 4.300), support du quinté de samedi à Auteuil.

Franchement performant depuis qu’il est passé durablement sur les gros obstacles à la fin du printemps, Buck’s Bank (6) a ainsi enlevé le Grand Steeple-Chase de Clairefontaine (L., +7) fin août, avant de confirmer, un mois plus tard, en prenant une très bonne deuxième place, malgré une pénalisation de quatre kilos, dans le Prix Violon II (L., +6 – 2e), disputé sur le parcours qui nous qui nous intéresse. Bref, le pensionnaire de Yannick Fouin est compétitif pour cette course qui a été visée par son entraîneur. « Après sa très bonne deuxième place dans le Prix Violon II, nous avons décidé de faire l’impasse sur le Prix Montgomery afin de le préserver pour ce handicap, explique en effet ce dernier. »

Tremp’d’Emeraude (9) reste sur deux bonnes sorties sur la butte Mortemart (à un niveau un peu moindre) et se pose donc comme une chance très régulière. Seul bémol : cela fait très longtemps que l’on n’a pas vu sur aussi long à Auteuil. Quatrième du Violon II, puis troisième du Montgomery (G. III, +2) trois semaines plus tard, Upwelling (2) ne doit pas craindre grand monde dans ce lot en dépit d’une situation au poids peu évidente. On attendait un peu mieux d’Hawk The Talk (12) dans le Prix Céréaliste (hcap. +8) le 24 octobre. Mais sur ce qu’il a montré ces derniers mois, il paraît très difficile de l’exclure. De retour en compétition en septembre, après un longue interruption de carrière, Numéro Spécial (5), 12 ans, semble revenir doucement ves son bon niveau, comme en témoigne son récent succès face à plusieurs vieux serviteurs d’Auteuil. Dans ce lot plus consistant, sa candidature n’est cependant pas simple à évaluer. Arkat (16), que David Cottin montera à 66 kilos au lieu des 65 auxquels son partenaire aurait eu droit, a devancé par deux fois Buck’s Bank (en lui rendant du poids) au mois de juin. S’il se sort du terrain, il peut, après une course de rentrée, en surprendre plus d’un à cette valeur. Tiptop Ville (3) reste sur une belle sortie le 19 octobre, dans un Prix Prince d’Ecouen (L. +8) bien composé. S’il répète cette sortie, il ne sera pas loin.

Source : paris-turf.com

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Quinté du 1 novembre : La revanche du Wildenstein

Paris-TurfEn choisissant le Prix Perth (G. III – 3A+ – 1.600 m) comme support des paris à la carte, France Galop contente une nouvelle fois les sportsmen. Mais ce vendredi 1er novembre Saint-Cloud, c’est avant tout une revanche (une consolante ?) du dernier Prix Daniel Wildenstein (G. II) qui se joue.

Sept chevaux qui ont disputé le Prix Daniel Wildenstein, le week-end de l’Arc, sont encore là, presque un mois plus tard, pour ce Prix Perth. La lauréate du 5 octobre, Pollyana, n’étant pas de la partie, on regardera donc d’abord du côté de ses suivants.

Bon finisseuse (quatrième au poteau) dans le Wildenstein, Yellow Rosebud (15) sera logiquement reprise. Confirmée à ce niveau (en France comme en Irlande) et surtout sur piste profonde (plus c’est lourd, mieux c’est pour elle), la pouliche irlandaise apparaît comme une première chance dans ce semi-classique. Seul son numéro de corde (16 sur 16) joue contre elle, comme le regrette son entraîneur Dermot K. Weld, pas content et pas loin d’insinuer que le tirage au sort des places à la corde n’est pas clair. « Y a-t-il quelque chose à l’encontre de mes partants ? demande-t-il. Mes élèves évoluent très fréquemment tout à l’extérieur. Cela me décourage vraiment de courir en France. Si la pouliche avait tiré un numéro correct dans le Daniel Wildenstein, je pense qu’elle aurait gagné, mais elle avait le 17 sur 17.  Ceci dit, elle s’adapte à tous les terrains, est arrivée ici mercredi et est en très bel état. Je serai là pour la voir. »

Tout aussi bonne finisseuse que cette dernière (et cinquième à une encolure de sa rivale) dans le Daniel  Wildenstein, Topaze Blanche (16) est l’autre première chance évidente de ce Prix Perth. Dauphine de Silasol dans le Marcel Boussac à 2 ans, puis revenue parmi les très bonnes pouliches de 3 ans cet été (2e du Sandringham [G. II], puis 4e du Rothschild [G. I]), c’est une vraie miler qui s’aligne au départ. Indifférente à l’état du terrain et bien mieux servie par le tirage au sort (avec le 1), l’élève de Carlos Laffon-Parias s’annonce incontournable. « Dans le Prix Daniel Wildenstein, elle avait hérité d’un mauvais numéro et s’est retrouvée loin, fait remarquer son mentor. Mais j’ai bien aimé sa fin de course. Depuis cette sortie, elle est restée extra. Cependant, la place à la corde est moins importante à Saint-Cloud que sur les 1.600 mètres de Longchamp, surtout sur une piste lourde. »

Derrière ces deux pouliches, qu’il sera compliqué de départager, Pinturicchio (11), pourtant deuxième du Wildenstein, arrive un peu en retrait dans la synthèse de la presse. Si sa trajectoire manque d’un peu de clinquant (il vient des gros handicaps), le pensionnaire d’Elie Lellouche n’a pourtant désormais plus grand-chose à envier à quiconque dans ce lot. « Le cheval a tellement de métier et l’habitude de courir dans des lots touffus qu’il a été son affaire, faisait justement remarquer son jockey, Anthony Crastus, après sa deuxième place du début du mois. Avec seize partants, ce sera encore le cas ce vendredi… Bref, sur son terrain et sa distance de prédilection, on s’en méfiera vraiment.

Venue du Prix de l’Opéra (8e) et raccourcie de 400 mètres pour cette épreuve, Sarkiyla (14) n’est pas incapable de faire parler une autre ligne que celle du Prix Daniel Wildenstein. Très régulière, la pouliche entraînée par Alain de Royer Dupré ne déparaillerait pas au palmarès de ce Prix Perth, qu’elle a terminé à la troisième place l’an dernier. Titrée au niveau groupe III sur cette distance à 3 ans, la dauphine de Romantica dans le Jean Romanet (G. I) cet été à Deauville mériterait, au minimum, d’en empocher un second.

Peace Burg (6) a un peu plafonné dans le Prix Daniel Wildenstein (6e), mais reste, sur sa meilleure valeur, largement capable de monter sur le podium. Tout comme Kokaltash (12), deuxième de listed sur la ligne droite (1 800 mètres) de Maisons-Laffitte en début de mois et au sujet duquel son entourage estime qu’il a encore une belle marge de progression. Zinabaa (7) a un poil déçu pour sa grande rentrée mi-octobre. Mais ce double lauréat de groupe II (Muguet et Wildenstein) l’an dernier inspire logiquement la méfiance. Gengis (3) a sûrement de la classe, mais force est de constater qu’il est moins convaincant qu’au printemps. Enfin Gris de Rêve (4) a refait parler de lui récemment et n’est pas une impossibilité pour une petite place.

Source : paris-turf.com

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Quinté du 31 octobre : Ministre d’Etat a du crédit

Paris-TurfBon deuxième de l’épreuve de référence, Ministre d’Etat est lolgiquement très en vue avant le Prix du Therain (D, +18,5 – 3A+ – 1.000 m, l.d.), support du quinté de jeudi à Chantilly.

Contrarié à 250 mètres du but, alors qu’il venait depuis la seconde moitié du peloton, dans le gros handicap du 8 octobre à Maisons-Laffitte (1 200 mètres, ligne droite), Ministre d’Etat (13) avait pourtant réussi à s’emparer du premier accessit derrière Murcielago. S’il avait échoué à trois longueurs de ce dernier ce jour-là, il va retrouver celui-ci avec un avantage de quatre kilos… qui lui confère une première chance théorique dans ce nouveau rendez-vous. S’il a échoué lors de son unique tentative sur le parcours (mais déjà brillé sur la distance), il ne faut probablement pas s’en inquiéter comme le confirme son entraîneur, Chrystelle Cardenne. « Il apprécie particulièrement les pistes alourdies et le raccourcissement de la distance ne sera pas un problème, estime-t-elle en effet. Toutes les conditions semblent requises pour le voir réaliser une performance de choix.  »

Malgré sa valeur nettement (et logiquement) revue à la hausse, Murcielago (3) paraît cependant capable de réaliser la passe de deux, un enchaînement qui reste assez rare dans cette catégorie. Sa démonstration du 8 octobre, où il a gagné avec une marge peu fréquente sur ce type de parcours, laisse en effet penser qu’il a bénéficié d’une situation remarquable sur l’échelle des valeurs. A 40,5, il court sûrement plus à son poids. Toujours frais et en bel état et sur un terrain qu’il affectionne, le fils du sprinter germanique Areion devrait répéter sa valeur.

Plus connu en bon terrain, Caspian Prince (4) n’en reste pas moins capable, après un échec au niveau groupe III le jour des préparatoires de l’Arc et malgré un poids limite, d’accrocher quelque chose dans cette épreuve. Reconverti sur le sprint depuis quelques mois, ce fils de Dylan Thomas a trouvé son sport. Le pur flyer qu’est Kolokol (12) prétend à une place dans la bonne combinaison, lui qui reste sur deux sorties très correctes et semble pris à une hauteur franchement intéressante (36,5, soit la plus petite valeur handicap de sa carrière).

Lauréat de la deuxième épreuve du 8 octobre, Activiste (11) a été pénalisé de cinq livres et a hérité du 15 à la corde : sa tâche ne sera pas simple malgré sa belle forme évidente. Fred Lalloupet (1) a les meilleurs titres à faire valoir, mais a déçu dans le quinté de référence : avec trois livres de moins à porter, un petit rachat est envisageable. Troisième de la course de référence, Quirinus (6) a un coup de reins digne des meilleurs du lot… mais a malheureusement montré par le passé qu’il était insaissable. Telles sont les principales candidatures dans ce quinté. Mais, comme souvent dans ce genre d’épreuves, les amateurs de longues auront probablement eu raison une fois le poteau franchi…

Source : paris-turf.com

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Quinté du mercredi 30 octobre : Swing d’Eronville pour ouvrir le bal

Paris-TurfDisputé mercredi sur les 2.700 mètres de la grande piste, le Prix de Soulac, qui servira de support au quinté, lance le célèbre meeting d’hiver de Vincennes. Régulièrement à l’honneur pendant cette période, Swing d’Eronville (12) est prêt à ouvrir le bal et inscrire un premier événement à son palmarès.

Huit. Il s’agit du nombre de succès de Swing d’Eronville (12) au cours des trois derniers hivers sur la cendrée. Vous l’aurez compris, le meeting est un objectif à part entière pour ce fils de Jag de Bellouet. Chef d’orchestre de ce « grand 8 », un certain Jean-Michel Bazire, un homme qui n’a pas son pareil pour préparer ses pensionnaires.

Après une longue période de repos, il n’aura fallu que trois parcours à Swing d’Eronville (12) pour renouer avec le succès, à Rambouillet, le 6 octobre. Un retour en forme confirmé dix jours plus tard dans l’étape du GNT de Lyon-La Soie. Ce jour-là, il se classait troisième de Swedishman et Ugo deNeuil, qui ne sont pas les premiers venus. Irréprochable sur ce type de parcours (cinq succès), où il est capable de trotter en 1’13’’ et fractions, il aura aussi l’avantage d’évoluer déferré des quatre pieds, ce qui n’a plus été le cas depuis pratiquement dix mois sur une piste en dur. Le représentant de Jean-Yves Beneat s’annonce, à juste titre, comme un lauréat en puissance et mériterait (enfin) d’inscrire un premier quinté à son palmarès.

Du côté de l’opposition, Sam Gibus (11) constitue un rival de choix. Auteur d’une saison 2013 fructueuse, période durant laquelle il a accompli de sérieux progrès et engrangé près de 150.000 euros, ce fils de Jet Fortuna se montre particulièrement redoutable sur les parcours de tenue de la grande piste – deux succès et huit accessits en onze essais. Lors de sa récente sortie à Cherbourg, ce trotteur dur à l’effort n’a pas démérité face à l’intouchable et talentueux Sthiéric. Dépendant d’une écurie qui marche sur l’eau dans les quintés (neuf fois de suite à l’arrivée !), il peut émettre de logiques ambitions pour la victoire.

Après une absence de près de cinq mois, Radieux Bégonia (14) a effectué une rentrée pleine de promesses dans l’événement du 11 octobre, sur la petite piste (quatrième). S’il n’a pu confirmer lors de la récente étape du GNT, à Lyon, où il était notamment devancé par Swing d’Eronville, ce fils de Look de Star a peut-être été victime du fameux syndrome de la deuxième course. En net regain de forme, il mérite d’être repris. En effet, il sera driver par Franck Nivard et revient sur un parcours où il avait réalisé un numéro en mars dernier.

Surprise du Lupin (7) ne doit pas être condamnée sur ses deux disqualifications. Il est vrai qu’elle déferrée des quatre pieds et « n’était pas à l’aise » dans cette configuration selon son mentor, Jean-Paul Marmion. Cette fois, elle restera ferrée. « Chaussée », elle a signé neuf de ses onze succès. Capable de trotter en 1’13 » sur ces 2.700 mètres, la fille de Kérido du Donjon est capable de remettre les pendules à l’heure.

« Meilleur que jamais » d’après Pierre Belloche, Shadow d’Odyssée (4), qui sait finir vite, peut prétendre à une belle place, à l’instar de Ricmic de Val (5), amené au mieux pour cette épreuve. En forme ascendante, Rapide d’Epuisay (15), qui n’est autre que le lauréat de l’édition 2012 de ce Prix de Soulac, et Quel Instant (6), jugé sur sa victoire dans l’étape du GNT à Vivaux, peuvent venir compléter la combinaison du quinté. On aurait pu en citer d’autres…

Source : paris-turf.com

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Quinté du 29 octobre : Vol Dolois, sans secret

Paris-TurfMardi à Saint-Cloud. Battu lors de sa dernière sortie par le bon Nocturnal Secret, Vol Dolois nourrit de grandes ambitions mardi à Saint-Cloud. Confié à Christophe Soumillon, le pensionnaire d’Alain Bonin est en effet un lauréat en puissance, dans le Prix du Rhin, support du quinté.

La ligne attire l’attention. Lors de sa dernière sortie, Vol Dolois a été devancé par Nocturnal Secret et Iznate, tous deux à l’honneur depuis. La qualité de ce fils de Stormy River n’est d’ailleurs plus à prouver depuis qu’il a remporté le Prix de Chauffour le 23 juillet, aux dépens d’un certain Nocturnal Secret (qui avait fini à la vitesse du vent).  Certes, ses meilleures performances ont été réalisées sur des pistes plutôt fermes et corde à droite, mais le solde de ce miler reste très positif.
Alain Bonin comptera sur deux autres pensionnaires dans ce quinté : Gaieté et Prince du Raz. La première citée a réalisé ses meilleures valeurs sur de courtes distances mais elle compte une performance digne du plus grand intérêt sur le mile, en terrain lourd (elle a devancé Snow Bell, gagnante de listed…) et surtout Prince du Raz, bien placé sur l’échelle des poids (a déjà devancé Vol Dolois à poids égal) et à l’aise en terrain très souple, en digne fils de Vatori. Il n’est d’ailleurs pas sûr que Vol Dolois puisse prendre sa revanche, mardi…
Mais les Bonin ne courent pas seuls… loin de là. Le handicap est vraiment très ouvert. Ainsi Brooklyn Bowl, deuxième d’un bon handicap à Chantilly, comptera aussi de nombreux supporters, même s’il manque de références sur les pistes très souples. Anthares, quatrième du gros handicap disputé le jour de l’Arc, est aussi lauréat potentiel, avec Spiliada, de retour dans une catégorie où elle a laissé quelques espoirs. Mantao, Banu, Fair Moon et Toni Fortebracci, en vue dans des handicaps, méritent aussi une mention.

Source : paris-turf.com

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