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Quinté du jeudi 8 mai : Baariz mérite crédit

Paris-TurfVu le parcours désastreux dont il a été victime dans le Prix de Lorraine, alors qu’il était en mesure de faire beaucoup mieux, il est normal de faire de ce pensionnaire de John-Edward Hammond une priorité dans le Prix de Chevilly (course D – 52.000 € – 1400 mètres NP – 4 ans et plus – Réf : + 18), ce jeudi 8 mai à Longchamp.

Cela faisait une semaine que Longchamp n’avait plus servi de Théâtre au quinté+ du jour ! Ce jeudi 8 mai, nous y retournons, à l’occasion du Prix de Chevilly. Seize concurrents expérimentés relèvent le défi, à commencer par Baariz (14), le grand malchanceux du Prix de Lorraine. Après avoir perdu du terrain au départ, il est parvenu à recoller au peloton, mais n’a pu véritablement s’exprimer sur la fin alors qu’il possédait des ressources. Il évoluait ce jour-là sur les 1200 mètres en ligne droite de Maisons-Laffitte. Le rallongement de la distance ne sera pas pour lui déplaire, à condition qu’elle gère sa mise en jambes cette fois, car sur les 1400 mètres de la nouvelle piste, il lambiner au début ! Sinon, cela ne pardonne pas. Toutefois, sa forme est sûre, ainsi que sa qualité à main droite. Il peut le faire !

Cette épreuve comporte, au papier, plusieurs possibilités. Si le partenaire de Sylvain Ruis constitue un bon point d’appui, il n’a pas gagné d’avance. Parmi les candidatures qui se détachent, attardons-nous sur le cas d’Admire Fuji (8). Certes, ce rejeton d’Oasis Dream a déçu dans le Prix des Landes à Saint-Cloud, mais il sera muni d’œillères normales cette fois (australiennes le dernier coup), et a hérité de l’as dans les boites. Il s’agit d’une stalle porte-bonheur, vu que le lauréat des deux dernières éditions de ce Chevilly portait ce dossard. Il faut le racheter, comme nous le confirme son entraîneur Satoshi Kobayashi : «Il vient de me laisser sur ma faim lors d’un quinté à Saint-Cloud. Il a coincé sur la fin ce jour-là, n’étant que sixième. Là, la distance est un peu courte. Mais il aura des œillères cette fois, pour qu’il soit plus concentré. Je juge ce lot à sa portée. Le terrain, sans doute pas trop souple ce jeudi, va lui plaire. Il a sa chance pour une place. »

Les deux derniers gagnants se nommaient Tirion et Sun Sea Bird, deux élèves de… Mathieu Boutin. Le professionnel qui marche sur l’eau actuellement sera doublement représenté avec Quirinus (10) et Karadargent (16), qui ont tous les deux séduit lors de leur précédente sortie. Il pourrait à nouveau se mettre en évidence. Activiste (6), classé quatrième de cette épreuve l’an passé et plaisant dans le Prix de l’Oise, l’allemand Turfjäger (9) ou encore Louvain (2), qui devraient progresser sur leur réapparition respective, ne sont pas hors d’affaire. Kanotier (11), dont l’écurie est en forme, Wahib (7), déjà vu niveau listed-race, et Manticore (13) annoncé prêt, sont aussi des trouble-fête en puissance.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du mercredi 7 mai : Stormy Flight bien située

Paris-TurfLes femelles sont à l’honneur en ce mercredi 7 mai sur l’hippodrome de Chantilly, puisque c’est le Prix Dunette, handicap disputé sur les 1500 mètres de la piste en sable fibré, qui sert de support aux paris à la carte. Une épreuve assez ouverte, dans laquelle Stormy Flight, qui retrouve sa surface de prédilection, semble bien située.

Même si elle vient de se montrer quelque peu décevante sur l’hippodrome de Longchamp, Stormy Flight (8 – Umberto Rispoli) présente quelques solides garanties. En effet, en plus de revenir sur sa surface de prédilection, elle a terminé bonne deuxième de l’épreuve référence, le Prix Carling. Ayant hérité d’un bon numéro dans les stalles de départ et retrouvant plusieurs de ses rivales dans des circonstances de poids intéressantes, cette fille de Stormy River semble constitue un bon point d’appui. Son entraîneur, Florent Monnier, se veut d’ailleurs relativement confiant : « La dernière fois, elle affrontait les mâles, ce qui a compliqué sa tâche. Je pense aussi qu’il s’agit d’une vraie jument de sable. Si elle peut rapidement être en bonne position, sur ce parcours où il est difficile de revenir, elle devrait bien se comporter. J’y compte ».

Bien que pénalisée de quatre kilos sur l’échelle des valeurs, Désilusion (1 – Maxime Guyon), qui la devançait le 18 mars, est à surveiller de près. En effet, le style dans lequel elle s’imposait laisse à penser qu’elle a suffisamment de marge pour confirmer, même si porter 61.5 kilos n’est jamais une sinécure. Ayant repris de la fraîcheur depuis et une nouvelle fois associée à Maxime Guyon, un jockey en pleine forme, il ne serait pas étonnant de la voir doubler la mise.  Récente lauréate sur l’hippodrome de Marseille-Borély, Samyntha (9 – Ioritz Mendizabal), qui s’était montrée fort courageuse sur ce parcours lors de son avant-dernière tentative, dispose d’une belle carte à jouer, d’autant qu’elle a hérité du numéro 3 dans les stalles. Michel Maillard compte sur elle : « Elle se montre régulière actuellement. Elle a beaucoup changé physiquement. Elle voyage bien et seules des femelles sont sur sa route là. Elle doit être montée près des leaders. Elle peut poursuivre sa belle série à l’issue d’un déroulement de course favorable ». Quatrième d’un événement disputé à Longchamp le 10 avril, Polarena (4 – Franck Blondel), qui avait également remporté une telle épreuve l’année dernière, sur 1900 mètres, justement sur cette piste, mérite crédit.

Munie d’œillères australiennes pour la première fois de sa carrière, Ayant Droit (14 – Fabrice Véron) ne part pas battue d’avance, tout comme Holly Filly (6 – Stéphane Richardot), déjà vue à son avantage dans des lots bien composés. Asteria (2 – Olivier Peslier), prise à un poids de méfiance par le handicapeur, et  One And Only (10 – Stéphane Pasquier), qui vient de décevoir, mais avait fourni un effort final remarqué dans la course qui nous sert de référence, sont également compétitives. Sargasses (3 – Christophe Soumillon), que l’on ne présente plus dans ce type de tournois et dont les récentes performances n’inspirent pas confiance, est « l’X de la course ».

Les rentrantes Lady Wood (5 – Thierry Thulliez) et Mazayyen (7 – Fabien Lefebvre), ayant des lignes correctes à faire valoir, mais également Reine Marie (11 – Anthony Crastus), dans un bon jour et Flute Enchanté (13 – Thierry Jarnet), malgré son numéro de corde défavorable, constituent des possibilités.

Source : paris-turf.com

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Quinté du mardi 6 mai : Catushaba sur sa lancée

Paris-TurfCe mardi 6 mai, la gent féminine sera à l’honneur dans le Prix de la Forêt de Chantilly (handicap divisé – pour juments de 4 ans et plus – 2100 mètres), sur l’hippodrome des Princes de Condé. Nous avons misé sur la forme de Catushaba, qui vient de se distinguer par deux fois à ce niveau.

Difficile de reprocher quoique ce soit à Catushaba (n°14), qui vient de terminer deuxième et troisième à ce niveau. En dernier lieu, dans le Prix du Palais des Glaces à Longchamp, elle a mis du temps à trouver le jour, avant de finir vite. Les œillères australiennes semblent lui être bénéfiques. Elle n’a jamais déçu avec (2 sur 2) et va tenter de renouer avec la palme, qui la fuit depuis le 22 juillet 2013 à Compiègne. Carlos Lerner attend une confirmation de la fille d’Aussie Rules : «Elle affiche une belle régularité ces derniers temps dans ce style de compétition. La jument a eu le temps de bien récupérer de sa prestation à Longchamp et montre une belle forme à l’entraînement. Elle va dans tous les terrains, y compris le sable. On espère la voir gagner un nouveau quinté dans le courant de l’année.»

Utopia Jem (n°4) n’a plus à faire ses preuves dans ce genre de confrontations (10 fois à l’arrivée en 18 sorties) et contrairement à notre préférée, elle a hérité d’un petit numéro de corde (4 contre 16 pour Catushaba). Elle devrait logiquement accuser des progrès sur sa course de rentrée, où elle a mieux couru que ne l’indique son classement.

Pivoina (n°10) doit porter 3 kilos de plus par rapport à son récent trophée à Longchamp. Toutefois, elle s’est déjà imposée en 36,5 de valeur (36 ici), comme le rappelait son mentor, Didier Prod’homme : «La jument a bien gagné dernièrement, dans une seconde épreuve. Elle a logiquement été pénalisée. Mais, par le passé, elle a prouvé sa compétitivité à cette valeur handicap. Elle a donc le droit de confirmer ses bonnes dispositions du moment. Elle retrouve Stéphane Pasquier, avec lequel elle a déjà vaincu à ce niveau.»

Costanza (n°9) a échoué d’une encolure face à Loussia dans l’épreuve de référence, qui est désormais prise en 41,5 de valeur (36,5 pour la pensionnaire d’Elie Lellouche). Seule ombre au tableau, elle aborde pour la première fois une distance aussi longue, tout en sachant que ses deux sorties sur 2000 mètres n’ont pas été concluantes.

Source : paris-turf.com

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Quinté du lundi 5 mai : Flavio Forte irréprochable

Paris-TurfHonneur aux sprinters ce lundi 5 mai à Maisons-Laffitte, qui vont en découdre sur les 1000 mètres en ligne droite du Prix Newmarket (pour 4 ans et plus). Bien évidemment, sur ce genre de parcours, la corde joue un rôle essentiel. Flavio Forte, bien loti au couloir 5, réunit pas mal d’atouts dans son jeu.

Au cours des deux dernières éditions de cette épreuve, le quinté se trouvait parmi les neuf plus petits numéros de corde, un élément qu’il faut prendre en compte avant de faire vos jeux. Depuis son arrivée dans l’Hexagone, Flavio Forte (n°15) ne cesse d’apporter des satisfactions à William Mongil, son nouveau mentor. Il n’est d’ailleurs jamais tombé du podium en trois tentatives. Il vient d’effectuer une remise en route de toute beauté dans le Prix d’Alsace, sur les 1200 mètres de Maisons-Laffitte. Il débutait à cette occasion dans les gros handicaps. Le raccourcissement de la distance ne devrait pas le déranger, comme le souligne son mentor : «Il a fait une belle rentrée, en s’octroyant l’accessit d’honneur. Il a l’air d’être resté extra. Je pense qu’il a assez de vitesse pour bien faire sur les 1000 mètres, distance qu’il va découvrir à l’occasion. L’assouplissement de la piste, par rapport à la dernière fois, ne sera pas pour lui déplaire. S’il ne connaît pas le syndrome de la fameuse deuxième course, il peut encore répondre présent.»

Ghor (n°11), stalle 6, connaît quant à lui le parcours proposé, où il enregistre 67% de réussite. Certes, il a déçu en pareille compagnie récemment. Néanmoins, il a été vu par l’ostéopathe depuis et semble nettement plus souple au travail. De plus, le terrain était trop ferme pour lui. Jugé sur sa deuxième place dans le Grand Prix du Conseil Municipal de Fontainebleau, il mérite un large crédit.

Fred Lalloupet (n°2), corde 4, n’a plus à faire ses preuves dans ce genre de tournois et retrouve une distance qui lui avait souri en fin d’année dernière à Chantilly (étant simplement battu par Murcielago). On peut également souligner qu’en 2012, il s’imposait sur la piste du jour au niveau listed. David Smaga part confiant : «Il faisait un canter dernièrement avant de ne pouvoir prolonger son effort, sans raison apparente. Il a très bien travaillé depuis. Et l’assouplissement du terrain devrait lui profiter. Il est donc légitime d’en espérer un rachat ici.»

Enfin, Frascata (n°8), dont l’entourage a préféré cette épreuve à une autre jeudi prochain, et Rapideur (n°3), qui n’a jamais déçu à ce niveau (2 sur 2), détiennent une première chance théorique. Maintenant, ils vont devoir négocier avec leur numéro de stalle en dehors, à savoir respectivement le 17 et le 16.

Source : paris-turf.com

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Quinté du dimanche 4 mai : Le Bel Anjou ou le hat-trick de Cottin

Les amateurs de l’obstacle vont se régaler ce dimanche 4 mai à Auteuil et notamment dans le quinté du jour, la Grande Course de Haies de Printemps (groupe III – pour 5 ans et plus – 4300 mètres). Cette épreuve a réuni pas moins de 19 partants. François-Marie Cottin a pris un abonnement à cette joute, dont il est le double-tenant du titre. Il tente le hat-trick ici et Le Bel Anjou semble constituer son meilleur atout.

François-Marie Cottin semble cocher chaque année le 1er dimanche de mai sur son calendrier. En 2012, Overlord, monté par Philipp Carberry, lui permet de décrocher sa première Grande Course de Haies de Printemps. L’an passé, Serienschock (n°1), associé à Kévin Nabet, lui apporte un deuxième trophée d’affilée dans ce groupe III. Cette année encore, le professionnel paraît décidé à conserver sa couronne. Il délègue pas moins de trois représentants, dont le tenant du titre, Le Bel Anjou (n°11) et Parigny (n°15). En obtenant un troisième succès, il imiterait Bernard Sécly, lauréat des éditions 1998, 2000 et 2001. Le top-weight aura vraisemblablement du mal à rééditer son exploit de 2013, au vu de ses deux parcours de l’année qu’il n’a pu boucler (arrêté puis tombé). Son compagnon de box, Le Bel Anjou (n°11), paraît par contre de taille à le suppléer. Il a été l’auteur d’une belle rentrée dans le Prix Juigné, bien qu’il se soit montré un peu trop brillant pour l’occasion. Non partant le 1er avril, cela ne semble pas inquiéter son mentor : «Il a tracé une bonne course de rentrée. Le cheval est confirmé à ce niveau et sa forme est sûre. Enfin, la longue distance devrait lui aller comme un gant.»

Quant au vieux tonton, Parigny (n°15), il a certes été baissé de deux kilos sur l’échelle des valeurs, mais reste meilleur sur les gros obstacles.

Le Poulidor Plumeur (n°12) vient de tomber par deux fois sur des os, pour ses premières sorties à ce niveau et pourrait bien briser la glace. Sa seule sortie sur la butte Mortemart s’est soldée par un accessit d’honneur dans le Prix Prédicateur. Gilles Chaignon aborde cet objectif avec une certaine confiance : «David Cottin, qui ne peut le monter à cause du poids, m’a conseillé de courir cette épreuve après sa deuxième place d’Enghien. Depuis qu’il ne souffre plus de ses jambes, il peut mieux se livrer, mais je ne le travaille qu’à 80% de ses capacités pour qu’il donne la plénitude de ses moyens le jour de la course. Il apprécie le terrain lourd et a très bien travaillé. Il peut gagner un handicap à ce poids.»

Next Round (n°6) a pris quatre kilos pour son dernier succès, où il tenait en respect le précédent nommé. Il enregistre 75% de réussite à Auteuil et vu le style de sa victoire, il devrait répéter tout au moins pour les places.

Source : paris-turf.com

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Quinté du samedi 3 mai : Aladin d’Ecajeul, le nouveau génie de la génération

Paris-TurfQuinté de luxe ce samedi 3 mai à Vincennes, puisqu’il s’agit du Critérium des 4 ans (groupe I – 2850 mètres – Grande Piste). Si cette génération a mis du temps à se trouver un leader, cela semble chose faite désormais avec Aladin d’Ecajeul. Lauréat du Prix de Sélection en fin d’hiver, le nouveau génie du tandem Guarato/Raffin semble en mesure d’exaucer un nouveau vœu pour son entourage ce samedi…

Si Avila, partie au haras désormais, avait pris le leadership de la génération en s’adjugeant le Critérium des Jeunes et le Prix de l’Etoile, elle s’est fait voler la vedette cet hiver par Aladin d’Ecajeul (n°15). Plus réputé pour sa vitesse avant le meeting 2013/2014, le pensionnaire de Sébastien Guarato a franchi un cap, en remportant le Critérium des 3 ans et le Prix de Sélection, groupe I dans lequel il repoussait l’assaut d’Uhlan du Val. Il paraît en mesure de faire mieux que son papa, Quaker Jet, seulement 4e en 2008. Son mentor, qui a déjà glané le Critérium des Jeunes avec Billie de Montfort et donc le Critérium des 3 ans avec son nouveau petit génie, compte bien empocher son douzième classique dans l’Hexagone : «J’avais prévu de ne courir qu’une seule préparatoire à ce Critérium des 4 Ans. Il m’a fait une belle impression dans le Prix Gaston Brunet, sur la petite piste, en allant de l’avant. Il prouve qu’il est capable de s’imposer ainsi. Il est resté très bien depuis et sera déferré des quatre pieds. Je pars très confiant.»

Non partante dans le Sélection en raison de petites coliques, Atlessima (n°13) représente la valeur montante de la génération. Ses récentes fins de course ne sont pas passées inaperçues, notamment dans le Prix Paul Leguerney, le 5 avril. Elle était tenue en respect à cette occasion par Africaine (n°10), dont les progrès ont également été constants depuis plusieurs semaines. Jean-Etienne Dubois, qui a récemment remporté le Grand Prix du Centre-Est avec Used To Me, marche sur l’eau actuellement. Il nous a confié ses impressions : «Elle a bien évolué depuis le début de l’année. Sur sa lancée du meeting d’hiver, elle a remporté un groupe II début avril. Peu après, elle a très bien conclu dans le Prix Gaston de Wazières, sur la petite piste. Là, face aux mâles, ce ne sera pas la même musique. Mais elle a conservé une forme optimale et fera de son mieux.»
Issu de la championne Lazio du Bourg, 3e de ce Critérium en 2003, Athos des Elfes (n°5) peut encore manquer de maniabilité dans ce grand rendez-vous. Toutefois, son succès du Prix Phaëton, acquis en 1’13’’7 sur le parcours du jour, atteste de son gros potentiel.

Les possibilités sont nombreuses ensuite, avec Aldo des Champs (n°11), totalement déferré pour la première fois, Astor du Quenne (n°12), extra sans ses baskets, Akim du Cap Vert (n°16), remarqué récemment, As Doré (n°3), qui vole en ce moment, Ausone du Kastel (n°8), qui a très bien travaillé, ou encore Athéna de Vandel (n°4), à condition qu’elle soit sage.

Source : paris-turf.com

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Quinté du vendredi 2 mai : Orient Horse représente la classe

Paris-TurfLe Prix de Kerjacques n’ayant malheureusement réuni que 10 partants ce vendredi 2 mai à Vincennes, le Prix Bettina (6 à 10 ans – 2100 mètres auto) a pris le relais et fait donc office de quinté en nocturne. Ils ne sont que quinze au départ, mais l’épreuve s’annonce toutefois ouverte. Orient Horse, vu à un meilleur niveau, peut s’imposer malgré sa position en seconde ligne.

Le 12 janvier dernier, Orient Horse (n°13) prenait part au Prix Ténor de Baune à Vincennes, épreuve amenant directement au Grand Prix d’Amérique. Sans sa faute au début de la ligne droite il aurait pris à coup sûr une belle place. Auparavant, l’élève de Fabrice Souloy devançait un certain Univers de Pan, même si celui-ci lui rendait la distance. Jugé là-dessus, il apparaît comme un soleil dans ce quinté. Seule ombre au tableau, il s’agit de la fameuse deuxième course après une bonne rentrée.

Ulk du Las Vegas (n°4) vient de perdre en route ses rivaux à Ecommoy. Maintenant, ce rouleau compresseur n’est pas confirmé sur la vitesse, et notamment sur le parcours du soir, qu’il découvre à l’occasion. Jacques Fernandes, son mentor, ne se montre toutefois pas inquiet à ce sujet : «Il a gagné très facilement à Ecommoy, alors qu’il rendait la distance, il y a peu. Il a parfaitement récupéré de ses efforts et a travaillé de manière convaincante. L’opposition est plus sérieuse vendredi, mais me paraît dans ses cordes. Les 2100 mètres ne m’inquiètent pas. Il n’a besoin de personne et détient une première chance.»

Top Price Piya (n°7) n’a pas hérité d’un parcours favorable en dernier lieu, d’où son échec. Il retrouve un tracé réduit à son entière convenance. Il y avait trotté 1’12’’6 le 11 février. En rééditant un tel chrono, il faudra compter avec lui.

Uranie Lorraine (n°9) n’a pour sa part pas été gâtée au tirage au sort derrière la voiture. Néanmoins, elle n’a pas évolué sans ses quatre baskets depuis le 12 août 2013. Pierre-Alain Rynwalt-Boulard s’est confié à nos reporters : «Sa fin de course n’a pas été très tranchante à Strasbourg, il y a deux semaines. À sa décharge, elle avait effectué un long voyage en camion, seule. Comme elle est nerveuse de nature, ceci peut expliquer cela. Elle possède beaucoup de vitesse, il n’est pas nécessaire de la « démarrer ». Il lui faut la bonne course. Dans ce cas, elle apparaît compétitive.»

La candidature du rentrant Ucébé (n°1) pose quelques problèmes. Sur ce qu’il a montré cet hiver, il détient une première chance théorique. Maintenant, il n’a pas été revu depuis le 5 janvier et le numéro un ne constitue pas du tout un avantage pour ce trotteur compliqué, notamment au départ.

Source : paris-turf.com

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