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Calendrier des courses étrangères du mois de juillet 2013

Logo PMUEn ce mois de juillet, le PMU propose à sa fidèle clientèle de jouer sur 143 courses internationales, dont quinze mini-meetings. Ceux-ci vont se dérouler exclusivement dans des pays voisins : Suisse (huit), Belgique (trois), Espagne (deux), Allemagne et Royaume-Uni (un). A ces réunions, il faut ajouter quelques grandes affiches sportives. En plat, il s’agit des Eclipse Stakes (2 000 mètres) courus à Sandown le samedi 6 juillet, du Derby allemand (3 ans, 2 400 mètres) couru à Hambourg le 7, des Falmouth Stakes de Newmarket le vendredi 12 juillet (1 600 mètres pour pouliches de 3 ans et plus), des Oaks Irlandaises (3 ans, 2 400 mètres) disputées le 20 juillet, et enfin des King George VI & Queen Elizabeth Stakes programmés le samedi 27 sur l’hippodrome d’Ascot. Tous ces Groupe I attireront les meilleurs pur-sang Européens.

Au trot, la réunion du 14 juillet de la Saint Michel à Mikkeli, en Finlande, constitue l’une des plus belles affiches internationales du mois avec le Hugo Abergs Mémorial, couru le mardi 30 juillet à Jägersro, en Suède. Ces deux Groupe I se disputent sur le mile (1 609 mètres) et sont autant d’occasions de passer sous la barre des 1’10 au kilomètre, pour les meilleurs d’entre-deux.

Côté plus exotique, trois autres dates sont à retenir. En Afrique du Sud, l’hippodrome de Greyville, situé dans la banlieue de Durban, propose deux réunions phares les samedi 6 (Golden Slipper, Gold Vase) et 27 juillet (Gold Cup), réunissant les meilleurs pur-sangs de 3 ans et au-dessus. En Australie, le 6 juillet, se dispute l’une des réunions phares du trot de ce Continent, à Melton, situé dans la banlieue de Melbourne.

La curiosité du mois se situe, par contre, chez nos voisins belges où deux mini-réunions de courses de galop sont proposées sur l’hippodrome d’Ostende, ré-ouvert l’an passé. Ce site prestigieux du galop européen d’ entre les deux guerres était tombé en désuétude à partir des années 80, pour fermer ses portes en 2004. Grâce à la volonté de quelques dirigeants et sponsors locaux, Le « Deauville belge » est en passe de retrouver tout son lustre, sur des pistes sélectives et refaites à neuf. Les turfistes français ne seront pas dépaysés, puisqu’une majorité de professionnels belges courent régulièrement en France, à l’image de Fabrice Vermeulen valeur en hausse chez les entraineurs, et du plus connu d’entre eux, la quintuple cravache d’or de plat, Christophe Soumillon.

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Prix du Président de la République 2013, une journée exceptionnelle

Prix du Président de la République 2013, une journée exceptionnelleRéservez votre dimanche 21 avril 2013 pour le Prix du Président de la République à Auteuil !

Programme de la journée :

  • 11h30 : Accueil à l’hippodrome
  • 12h30 : Déjeuner de Gala dans le restaurant panoramique de l’hippodrome
  • 13h30 : Début des courses
  • 18h00 : Fin des courses

Présence exceptionnelle de nos journalistes et pronostiqueurs experts !

Date limite d’inscription : mercredi 17 avril 2013

Formulaire d’inscription

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Grand National de Liverpool : Walsh contre Walsh

9 minutes, 40 partants, 30 obstacles redoutables sur 7.100 mètres, 975.000 £ d’allocations en jeu, à guichets fermés devant 70.000 spectateurs, avec relais TV vers 600 millions de foyers… Le Grand National de Liverpool 2013 va-t-il se muer en une explication singulière entre Ruby Walsh et sa sœur Kathy ? Pourquoi pas, car tous les scénarios les plus invraisemblables sont… vraisemblables à Aintree.

Ruby Walsh, qui a la latitude de partager ses services à sa guise entre Paul Nicholls, numéro1 en Angleterre, et Willie Mullins, son alter ego en Irlande, a donc opté pour ce dernier et son On His Own, comme l’an passé. Un cheval en liberté avait provoqué leur chute au second passage du Bechers Brook, et c’est le Nicholls Neptune Collonges (Daryl Jacobs en selle) qui s’était imposé, en guise d’adieux.

De son côté, également privilégié du choix entre plusieurs montes enviables sous la puissante casaque de John-Paul Mc Manus, Tony McCoy, dix-sept fois tête de liste et rival désigné de Ruby Walsh, a finalement lié son sort à celui de Colbert Station, de préférence à l’autre “Mc Manus”, Sunnyhillboy, pourtant deuxième, à un nez, de Neptune Collonges il y a un an (où, pour sa part, Mc Coy était allé au tapis dès le sixième fence avec Synchronised ).

Or, ce Colbert Station est entraîné par… Ted Walsh, le père de Ruby. D’ailleurs, Ted Walsh présente un autre redoutable atout “anti-Ruby” : Seabass, confié à sa fille, Kathy, devenue la femme-jockey la mieux classée dans le Grand National en 2012, en y décrochant le second accessit avec le même Seabass.

Suite et source : paris-turf.com

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Dubai World Cup 2013, cinq chances françaises

Dubai World CupCinq des treize partants de la Dubai World Cup, la course la plus richement au monde, intéressent la France à un niveau ou un autre. Prêts pour un cocorico au pays de l’Or Noir ?

La Dubai World Cup, c’est la course la plus richement dotée au monde, avec 10 millions de dollars américains de dotation, soit presque 8 millions d’euros au cours actuel. De fait, cette course disputée sur 2000 mètres attire les convoitises, et les chevaux au départ sont tous spécifiquement préparés, tous avec des chances réelles de parvenir à remporter cette épreuve mythique au pays de la démesure.

Pour cette édition 2013, cinq des treize concurrents intéressent la France. Méandre est le seul totalement français au départ. Entraîné par André Fabre, monté par Maxime Guyon, il est désormais âgé de 5 ans. Il connaît parfaitement son métier, apprécie cette distance inhabituelle en France, et ne devrait pas être dérangé par la surface, le « dirt », bien que légèrement différent de notre « sable fibré » à la française. Méandre ne sera pas « le » favori, mais a suffisamment de qualités pour espérer briller.

Ensuite, parlons de Planteur. Elevé en France, anciennement entraîné par Elie Lellouche, ce galopeur âgé désormais de 6 ans a changé de mains et ne défend plus désormais les couleurs bleu-blanc-rouge. Entraîné aujourd’hui par Lucie Botti, officiellement irlandais, cet ancien « éternel espoir » de l’hippisme français a pour lui de connaître la course, il fut troisième en 2012. Mais avouons aussi qu’il créerait une drôle de surprise en réussissant mieux…

Enfin, nous avons trois jockeys français au départ (autres que Maxime Guyon donc).

Monterosso, un improbable doublé ?

Mickael Barzalona avait gagné l’année dernière avec Monterosso. Il était ainsi devenu le premier jockey français à inscrire son nom au palmarès de cette course de prestige. Monterosso et lui se retrouvent pour cette course. Jamais dans l’histoire un cheval n’a réussi le doublé, ce serait inédit, et fabuleux… Et pas impossible, même si les plus chauds favoris sont aillleurs.

Le franco-belge Christophe Soumillon va monter un fils de Galileo, Treasure Beach. Pas une première chance. Il faut remonter à août 2011 pour retrouver une victoire à ce concurrent.

Red Cadeaux, monté par Gérald Mossé, semble davantage recommandable car restant sur une belle victoire au Japon, mais sans plus tout de même car il affiche deux handicaps : ce sera le concurrent le plus âgé de la course (7 ans), et il préfère a priori des distance plus longues (à partir de 2400 mètres).

Des cinq chevaux que nous avons des raisons plus particulières de suivre en France, ce sont finalement Monterosso, le tenant du titre, et Méandre, toujours très compétitif, qui paraissent les mieux lotis.

Toutefois, les épouvantails de la course semblent ailleurs : Royal Delta pourrait devenir la première jument à gagner l’épreuve, elle en a montré les capacités ; Hunter’s Light vient de gagner un groupe I sur le parcours de la course ; Animal Kingdom se déplace des Etats-Unis avec des ambitions ; African Story est très chuchoté même si son palmarès montre qu’il préfère des distances plus courtes.

Source : turfoo.fr

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Deauville Cheval, un label qui en a sous le sabot

Polo, courses, jumping, randonnée, horseball… l’offre cheval à Deauville est pléthorique, encore fallait-il le faire savoir. Les diverses organisations d’évènements hippiques ont donc décidé de réaliser un carrousel ensemble en créant la marque « Deauville Cheval » qui prendra véritablement corps en juin 2013.

Il est possible de réaliser un séjour cheval à Deauville. Oui, mais comment ? Les grandes structures de la cité normande se sont regroupées pour créer Deauville Cheval : plus qu’une marque, c’est une symbiose de tous les aspects équins de ce bijou normand situé en bord de mer mais avec accès direct au bocage dans un cadre typique de l’architecture locale. « Le cheval est notre première religion, explique Philippe Augier, le maire de Deauville (voir VIDEO ci-dessous). Le Duc de Morny a organisé des courses et construit l’hippodrome avant d’édifier l’église. Alors aujourd’hui où les offres de loisirs liés aux chevaux sont très diversifiées, il fallait créer une offre globale et complémentaire. « Une passion partagée » est le slogan de Deauville Cheval qui compte bien aussi rationaliser ses coûts en partageant ses ressources ou en achetant ensemble du matériel.

Deauville n’a pas les deux pieds dans le même sabot

Pour les afficionados d’Equidia, Deauville, ce sont les courses avec 42 réunions de plat par an sur Deauville auquel s’ajoute le pluridisciplinaire hippodrome de Clairefontaine, le ring de la société Arqana avec ses prestigieuses ventes de yearlings en août. Mais c’est aussi le Polo de Deauville qui existe depuis 1907 ou encore le tout récentPôle International du cheval qui organise depuis 2010 de multiples compétitions et spectacles équestres au point qu’en 2013, 80 jours sont déjà réservés aux différents concours. Pour donner aux petits Deauvillais la fibre cheval, des stages municipaux pour les élèves de primaires sont désormais proposés aux écoliers. Antoine Sinniger, le directeur du Pôle International, est persuadé « que la demande est là puisque lors de la création de sa structure, il s’est vite retrouvé complet. Le projet va permettre de synchroniser les actions de chacun ».

Deauville internationalise son offre

Le public visé par Deauville Cheval, c’est un marché familial et européen. Cette marque veut montrer que Deauville existe pour la spécificité cheval au-delà de la cité balnéaire et de ses casinos. « C’est une manière de se démarquer à l’heure où les offres touristiques sont de plus en plus denses », explique Philippe Augier. Joëlle Mestrallet, présidente de Deauville Sports Equestres, souligne également que le cheval permet de séduire toute la famille : « Il y a toujours une manière de pratiquer une activité liée au cheval, quels que soient ses goûts ». Des séjours linguistiques liés au cheval sont prévus et pourraient même s’étendre au-delà de l’Europe puisque le marché chinois est un débouché où les initiatives sont déjà à pied d’œuvre.

Deauville en parle à son cheval

Pour faire connaître Deauville Cheval, un site internet a été créé. Quelques pages sont déjà visibles mais son développement sera finalisé pour le 15 juin. Et du 3 au 4 août 2013, les « 24 heures du cheval » seront l’évènement baptême de ce nouveau label. Philippe Augier promet du grandiose mais préfère pour l’instant laisser planer le mystère.

Source : equidia.fr

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Dubaï World Cup

Logo Equidia.frSamedi 30 mars, à partir de 15h, vibrez au rythme des huit courses de la réunion de Meydan diffusées sur Equidia Live. Ne manquez pas l’épreuve la plus richement dotée au monde, la Dubaï World Cup !

Soixante mille spectateurs sont attendus pour voir quarante et un chevaux de groupe 1 et non moins de treize nations en découdre (USA, Japon, Afrique du Sud, Emirats Arabes Unis, France…). A noter que sept chevaux français font le déplacement.

Plus de 26 millions de dollars US de dotation au total, dont 10 millions sur la seule Dubaï World Cup (5 millions pour le vainqueur). Point d’orgue de cette journée exceptionnelle, tout le monde retiendra donc son souffle au départ de l’épreuve reine, la Dubaï World Cup.

Elle regroupe non moins de dix lauréats de groupe 1 (13 partants) et se court sur 2 000 mètres. Méandre sera le seul tricolore au départ. Une première pour le pensionnaire d’André Fabre. Le lauréat du Grand Prix de Paris en 2011 et du Grand Prix de Saint-Cloud en juin 2012 devra faire face à une rude concurrence.

L’an dernier, c’est l’écurie Godolphin qui l’emportait avec Monterosso, monté par Mickaël Barzalona. Cette année, il remet son titre en jeu, fera t-il le doublé ?

Source : equidia.fr

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Le come back d’Utoky

Déjà lauréat de deux épreuves labellisées groupe 1, Utoky, le champion de Franck Leblanc fera son grand retour à la compétition, ce samedi, sur la cendrée de Vincennes, dans le prix Louis Forcinal. Une épreuve au monté réservée aux cinq et six ans sur 2700 mètres.

En 10 courses Utoky s’est imposé 5 fois. A son palmarès notamment le prix de Vincennes le 25 décembre 2011 à 3 ans mais surtout le prix du Président de la République. C’était le 16 juin 2012, course dans laquelle il avait été impressionnant. Mais il n’a plus été revu depuis. Il devait faire une rentrée le 24 février dernier. Oui mais voilà, suite à une blessure (un coup au genou qu’il s’était donné au paddock) son retour en piste avait été différé. Difficile donc de savoir si le fils de Cygnus d’Odyssée pourra de nouveau faire une démonstration face à ses adversaires du jour Ugo de Nieul, Tsar de Tonnerre, Taiga du Rib ou encore Unikaranes lauréate du prix Paul Bastard (gr2) le 24 février dernier. Utoky sera bien entendu associé à Franck Nivard.

Source : equidia.fr

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