C’est évidemment un quinté de prestige puisqu’il accompagne la grande journée du prix du Jockey-Club. Le Prix des Hauts de France réunira seize mâles et femelles de trois ans sur le mile de la fibrée.
Les incontournables
- 3 – Argentic : Le pensionnaire de Freddy Head a terminé 3e d’un quinté sur le sable cantilien début avril et 5e d’un autre quinté sur l’herbe à Saint-Cloud début mai. Mais c’est bien sur la sable que le fils de Kendargent est le plus à l’aise. Ici il fait figure de grand favori sous la selle de Maxime Guyon.
- 4 – Streets Of Rio : Dans ce même quinté du 3 avril à Chantilly, il devançait Argentic. Même lieu, même surface, même distance. Ces deux chevaux devraient logiquement être à l’arrivée de nouveau. La seule incertitude étant de savoir qui devancera l’autre. C’est Pierre Charles Boudot qui monte le pensionnaire d‘Henri-Alex Pantall.
Les challengers
- 11 – Shams Brazilero : Avec seulement trois courses au compteur il n’a pas l’expérience d’autres concurrents mais le fils de Shamardal ne cesse de progresser. Il s’alignera pour la première fois sur le sable mais ses qualités devraient permettre au pensionnaire de David Smaga de s’illustrer pour une place sous la selle de Grégory Benoist.
- 15 – Green Bay : En 10 courses, il en a disputé 6 sur le sable dont 3 à Chantilly. Et à chaque fois sur l’hippodrome des Princes de Condé il a a fait l’arrivée (4e, 3e et 2e). Certes ici il monte de catégorie mais il faudra compter avec lui. C’est Antoine Hamelin qui lui sera associé.
- 1 – Touching in The Sky : Elle a déjà réussi à plusieurs reprises sur le sable à Chantilly et à Deauville. Récente 2e d’un quinté sur le gazon à Saint-Cloud, la fille de Rip Van Winckle a tout à fait les moyens d’être dans les trois premiers et même pourquoi pas de faire encore mieux.
Les impasses
- 16 – Ettu : Cette ancienne élève de Jérémy Noseda est désormais dans les écuries de Stéphane Wattel. Malheureusement ses trois sorties cantiliennes n’ont pas été vraiment probantes et de plus elle monte ici sérieusement de catégorie. On l’oublie pour cette fois.
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