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Quinté mercredi 7 octobre : elle répondait au nom de « Vella »

Paris-TurfVella Blue possède d’évidents atouts, qu’elle pourra utiliser pour dompter l’opposition dans le Prix du Pont des Arts (course E – 44.000 € – 2150 mètres – autostart – 6, 7 et 8 ans), support de l’événement du mercredi 7 octobre à Enghien. La pensionnaire de Loïc-Marie Dalifard, en pleine possession de ses moyens, est en lice pour enlever son deuxième quinté+ consécutif.

Le Prix du Pont des Arts a fait le plein, seize candidats, ce mercredi 7 octobre sur le plateau de Soisy. Plusieurs concurrents affichent une belle régularité. Ils composent un événement très intéressant, d’où ressort la candidature de Vella Blue (5 – Jean-Michel Bazire).

La musique de cette représentante de Michel Vella (elle ne porte donc pas ce nom pour rien) parle pour elle. Elle remplit son compte en banque à la manière d’un métronome depuis l’été 2014, ayant réussi, depuis cette saison-là, à passer le poteau en tête à sept reprises. Elle vient d’effectuer d’impeccables débuts dans ce type de tournois, sur les 2100 mètres de la grande piste de Vincennes, en gagnant aisément. Dans la foulée, cette fille de Kalahari a établi un nouveau record de vitesse (1’12’’3). Franck Nivard étant à pied, c’est « JMB », avec qui elle s’est déjà imposée, qui revient aux affaires. A l’aide d’une position idéale derrière les ailes de la voiture, elle ne devrait avoir aucun mal à réaliser le doublé, comme l’escompte son mentor Loïc-Marie Dalifard : «Elle m’épate sans cesse. Elle l’a bien fait mi-septembre sur 2.100 mètres à Vincennes, en affichant un excellent 1’12″3. Elle a eu le temps de récupérer. Elle n’est pas trop démonstrative le matin. Mais elle paraît toujours aussi plaisante. Elle devrait confirmer, même en affrontant les mâles cette fois. »

L’opposition la plus sérieuse vient de la coalition européenne, à commencer par Oliver Kronos (1 – Carl-Johan Jepson). Ce modèle de vitesse va réaliser ses débuts dans l’Hexagone, sur une courte distance à son entière convenance. Parmi ses plus beaux faits d’arme, citons son succès dans le Malmö Stads Pris 2014, labellisé groupe 2 dans son pays d’origine, une sacrée ligne, où il devançait un certain Riff Kronos, qui a depuis gagné groupe 1 dans le Grand Prix d’Allemagne. Son mentor Ulf Stenströmer n’y va pas par quatre chemins : «C’est l’une des valeurs sûres dans les « divisions d’argent » suédoises, ce qui correspond à vos « gros » quintés. Il fait toutes les distances. C’est vraiment un amour de cheval. Toutes les conditions sont réunies ce mercredi. Il devrait réusssir d’entrée de jeu sur le sol français. Carl-Johan Jeppson, qui débutera aussi en France, aura la pression. Mais on se déplace pour gagner… » You Talking To Me (3 – Thierry Duvaldestin) vient aussi du froid, mais a déjà pris la température à plusieurs reprises sur notre sol. Il alterne les sorties au monté et à l’attelé avec une certaine réussite. Sa seule sortie sur ce tracé s’est soldée par une sixième place. Cependant, il s’élançait au second rideau, ce qui ne sera pas le cas ce mercredi. Venant de bien courir à Laval, cet élève de Thierry Duvaldestin peut se rappeler à notre bon souvenir. Vasco de Viette (4 – Gabriele Gelormini) vient de s’imposer, comme notre préféré, sur les 2100 mètre de la grande piste de Vincennes, mais en affichant un chrono bien meilleur (1’11’’8). Ce protégé de Fabrice Lercier s’entend à merveille avec son partenaire, qui ne touche pas terre. Sa place est à l’arrivée.

La récente déconvenue de Volcan du Garabin (7 – Lorenzo Donati) à Laval n’est pas à prendre au pied de la lettre (victime d’un déroulement de course défavorable). Cette fois déferré des postérieurs, il peut se racheter, surtout qu’il a enlevé ses deux dernières courses au départ lancé. Super Ariel (13 – Joseph Verbeeck), récente dauphine de Vella Blue, a plus que jamais son mot à dire, même en seconde ligne.

Enfin, Vanychof (6 – Michel Lenoir), en forme et déjà placé à ce niveau, comme Namale Kronos (10 – Pierre Vercruysse), cette fois sans ses chaussures, peuvent aussi jouer un rôle utile.

Source : paris-turf.com

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7/10/2015 – Enghien – R1C1 – Prix du Pont des Arts

Quinté+ – PMU.frAttelé – Européenne – Course E (trot) – 44 000€ – 2150m – 16 partants – Sable – corde : à gauche – Départ : Autostart – Pour 6, 7 et 8 ans, n’ayant pas gagné 173.000. – Allocations : 44 000 € (19.800, 11.000, 6.160, 3.520, 2.200, 880, 440.)

Départ 13h50

Difficulté de la course : Assez difficile

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Quinté de lundi 5 octobre à Feurs : Osiride Grif, incontournable

Equidia LiveJamais remporté par un concurrent d’origine étrangère depuis qu’il support des enjeux des paris à la carte, le Prix Raymond Goléo (Prix de la Ville de Feurs – R1C1 – 13h50) pourrait bien l’être en 2015. Bien que ferré, Osiride Grif a combattu a un tout autre niveau lors de ses batailles parisiennes.

Président de la Société des Courses de Feurs pendant près de quinze ans et de la Fédération Régionale du Centre-Est de 2011 à 2015, le Quinté+ de ce lundi rend hommage à l’un des personnages emblématiques de la région, Raymond Goléo, décédé cette année.

Présentons rapidement la piste de l’hippodrome de Feurs. Corde à gauche, le tour de piste est de 1300 mètres. Toutes les tactiques sont applicables, mais il est préférable d’être bien placé au moment de l’emballage final. La ligne d’en face est en léger faux-plat descendant et la ligne droite d’arrivée en léger faux-plat montant. Il ne faut donc pas avoir fait trop d’effort sous peine de le payer dans les derniers mètres.

Le Prix Raymond Goléo a la particularité de se dérouler sur la distance inhabituelle de 3500 mètres. Dureté et aptitude seront exigées. Des qualités détenues par Osiride Grif.

Les incontournables

Osiride Grif : En faisant le papier strict, il a bataillé dans de bien meilleurs lots. L’italien d’origine s’est livré un match de luxe face à Ulster Perrine et Alfas da Vinci. Ces deux derniers seraient les grandissimes favoris de la course s’ils couraient ce lundi. Il sera ferré, ce qui n’apparaît pas non plus rédhibitoire. Le rendement de distance va lui permettre d’attendre et de tenter de se faire ramener lors du dernier tour de piste. C’est un sérieux client pour la victoire.

Tropic du Hêtre : Courir en dehors de Vincennes ne peut lui faire que du bien. Après un été ponctué par plusieurs bonnes prestations, et une victoire à Enghien, la suite a été plus nuancé. Devant subir la course de par sa tactique d’attentiste, sa récente fin de course dans le Prix Ovidius Naso laisse présager une bonne course de sa part.

Les challengers

Playing Tua : Sa première sortie sur notre sol ne s’est pas passée comme prévue. Rapidement en tête, sans être souple au niveau de ses postérieurs, elle a filé au poteau avant de subir les foudres des juges aux allures, après enquête. En quête de rachat, Conrad Lugauer délègue sa place au sulky à Franck Jamard, l’un des pilotes les plus en réussite sur la piste de Feurs.

Sem Jafet : La famille Untersteiner, père et fils, ont pris la décision de laisser Sem Jafet courir en France. C’est Ronny Kuiper qui en a la responsabilité, et le cheval est assez appliqué jusqu’à présent. Sa prestation sur la piste de Bellerive sur Allier est bonne, après avoir fait avancer Zonguldak « sur un bout ». Avec un avantage initial de 25 mètres, une place est à sa portée.

Buck Boko : C’est un des outsiders amusants de la course. Malgré ses tendances à faire la faute de temps à autre, il a le potentiel pour mettre un brin de piment dans les rapports. Sans son ultime disqualification, il aurait terminé deuxième sur l’herbe d’Alençon, dans un lot bien constitué.

Sergey : Désormais sous la férule de David Békaert, sa nouvelle expérience dans le Sud de la France se passe assez bien. Surprenant vainqueur sur 1609 mètres, sa régularité et son expérience sur une aussi longue distance de 3500 mètres. Une petite place est jouable pour ce cheval dont la dureté ne fait pas de doute.

Les impasses

Ulysse de Vrie : Passé dans l’écurie de Loris Garcia, il faut encore trouver les bons boutons avec ce facétieux hongre.

Tchao Tempo : En phase de reprise après avoir été mis au repos au cours de l’été, l’impasse est plus qu’envisageable.

Tony Boy : Son objectif est pour plus tard. De plus, il n’est plus dans la même forme que lorsqu’il était entraîné par Jean-Michel Bazire. Nous le mettons de côté.

Roquebrun : Il réalise une rentrée de près de près de cinq mois. Il serait surprenant de le voir d’entrée de jeu compétitif face à une telle opposition.

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Quinté lundi 5 octobre : La vengeance de Playing Tua

Paris-TurfCe lundi 5 octobre, après ce magnifique week end de l’Arc de Triomphe, le trot reprend ses droits à Feurs avec le Prix Raymond Goléo (attelé – 3500 mètres – 7 à 10 ans – course européenne), qui sert de support aux paris à la carte. Playing Tua, qui a perdu son succès pour ses débuts en France sur tapis vert, découvre une belle occasion de se réhabiliter.

Playing Tua (n°8 – Franck Jamard) ne doit surtout pas être condamnée sur sa disqualification du 8 septembre à Toulouse, alors qu’elle débutait sur notre sol. A cette occasion, la fille de Gigant Néo a surclassé l’opposition du départ à l’arrivée, mais dans des allures répréhensibles qui lui ont valu d’être disqualifiée logiquement après enquête.

Elle débutait corde à droite et n’était visiblement pas à l’aise sur cette corde. Elle dispose d’excellentes lignes en Suède, ayant notamment devancé Red Rose America ou Canaka B.F., que l’on a vues briller à un excellent niveau dans l’Hexagone. De retour corde à gauche et confiée à Franck Jamard, elle devrait pouvoir pleinement se réhabiliter. L’entraînement de Conrad Lugauer a brillé vendredi soir à Vincennes avec l’impressionnant Calvin Borel. Il pourrait bien rééditer : «Il faut avoir de la vitesse aussi sur les longues distances. Elle n’en manque pas. Je ne me fais donc aucun souci de ce côté-là. Elle n’aurait pas été sanctionnée en Suède la dernière fois. Mais il faut accepter le code des courses françaises. Elle est extra au travail. J’espère qu’elle plaira plus aux commissaires cette fois…»

Tropic du Hêtre (n°15 – Bruno Bourgoin) donne toujours son maximum et n’est plus à présenter dans les événements (8 sur 12, dont 2 victoires). Il n’a pas démérité dans le Prix Ovidius Naso, échouant de peu pour la troisième place.

Sa seule sortie à Feurs s’est soldée par un trophée. Assez lent dans sa mise en jambes, les 3500 mètres lui iront comme un gant. Il retrouve Bruno Bourgoin à son sulky, avec qui il a signé son dernier trophée, le 23 août à Divonne.

Sem Jafet (n°6 – Pierre Callier) n’a certainement pas retrouvé son niveau de 2013, où il dominait des concurrents de la trempe d’Uppercut Orange et d’Umberto de Nacre. Néanmoins, il vient de devancer plusieurs de ses rivaux du jour sur les bords de l’Allier. Ronny Kuiper y compte au premier poteau : “Il ne reste que sur des bonnes sorties. Il a ainsi pris une belle place de deuxième à Vichy voilà peu. Les 3500 mètres ne vont surtout pas le déranger. Plus c’est long et mieux il se plaît, en effet. Je peux vous garantir sa grande forme. Ce trotteur facile voyage bien. Il devrait pouvoir prendre un beau chèque.”

Osiride Grif (n°14 – Nicolas Ensch) n’a rien à envier aux précités. D’ailleurs, jugé sur sa récente troisième place à Vincennes (derrière Ulster Perrine et Alfas Da Vinci), il représente la première chance théorique de la course. Maintenant, il garde ses fers cette fois. Dans ces conditions, il avait obtenu l’accessit d’honneur dans le Prix de Rome Tor Di Valle. Il garde ainsi sa chance pour les bonnes places.

Source : paris-turf.com

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5/10/2015 – Feurs – R1C1 – Prix Raymond Goléo

Quinté+ – PMU.frAttelé – Européenne – Course C (trot) – 34 000€ – 3500m – 17 partants – Sable – corde : à gauche – Pour 7 à 10 ans inclus, n’ayant pas gagné 330.000. – Recul de 25 m. à 173.000. – Allocations : 34 000 € (15.300, 8.500, 4.760, 2.720, 1.700, 680, 340.)

Départ 13h50

Difficulté de la course : Peu difficile

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Quinté+ de vendredi 2 octobre à Vincennes : Calvin Borel, c’est de la dynamite !

Equidia LiveLe slogan de l’une des plus célèbres marques suisse convient parfaitement pour Calvin Borel. Aussi doué qu’imprévisible, il est très difficile d’aller contre le suédois d’origine. Sujet de grande classe, l’inconnu ce vendredi soir réside dans son aptitude à la petite piste et surtout à la longue distance.

Avec 16 partants et surtout un seul échelon de départ, les concurrents européens se frottent les mains, les Français rigolent moins. Sur le papier, l’avantage revient aux chevaux étrangers dans ce Prix Atropos (R4C2 – 20h30).

Les incontournables

Calvin Borel : S’il n’a pas de référence sur le parcours, Calvin Borel est incontournable de par son talent… mais il est loin de constituer une base certaine. Conrad Lugauer n’est qu’un simple passager au sulky. Fougueux, c’est le cheval qui décide de trotter ou de se mettre au galop, et pas le driver. Une chose est certaine, c’est sa qualité.

Archange Am : D’entrée de jeu, Lutfi Kolgjini met tous les atouts de son côté : déferré des quatre pieds et Franck Ouvrie au sulky. Il a affronté à plusieurs reprises l’élite de sa génération à quatre et cinq ans. Ses dernières tentatives sont à nuancer, selon les propos de son entraineur récoltées par l’équipe de Paris-Turf. C’est l’un des seuls étrangers à avoir des références sur les longues distances.

Les challengers

Red Team Rex : Nouvelle recrue de Fabrice Souloy, ce cinq ans originaire d’Italie mais venu de Suède a réalisé des premiers pas convaincants sur notre sol, dans une course où le rythme était soutenu. Sur un sport de tenue ce vendredi, il demeure compétitif dans les cinq premiers, c’est indéniable.

Astral Viretaute : Grand adepte de la course d’attente prolongée, il a une pointe de vitesse redoutable sur 300 mètres. Assez dur, il aurait eu une première chance en l’absence des européens. C’est tout de même une course où il peut faire parler de lui en bien. Il peut apporter un peu de spéculation aux rapports.

Bandit Hornline : Débarqué dans l’établissement français de Robert Bergh depuis peu, il s’est frotté lui aussi aux meilleurs suédois à quatre ans, comme Archange Am. Sa deuxième place derrière Ru de l’Airou en Belgique est correcte, suffisante pour qu’il puisse prétendre à une place.

Ah Quel Micha : Il a passé une année calamiteuse. Entre contre-performance et regrets, il a tardé à nous montrer ce qu’il a fait de mieux, à son fin d’année de trois ans. Troisième sur 2100 mètres, où il est peut-être plus à son aise sur les parcours de vitesse, son comportement était excellent. C’est sans aucun doute la meilleure chance tricolore au départ.

Les impasses

Already Wic : Alban Cottard n’a pas le choix des engagements, raison pour laquelle il est au départ de cette course. Il serait surprenant de le voir figurer dans les cinq premiers.

Rotary OK : Sa dernière sortie publique remonte au 18 avril. Très logiquement, il va manquer de compétition dans les jambes.

Tosca Victory : Trop d’incertitudes planent sur sa candidature, ses dernières performances ne prêtent pas à l’optimisme.

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Quinté vendredi 2 octobre : Archangel Am annoncé comme une terreur

Paris-TurfCe vendredi 2 octobre, c’est le Prix Atropos qui va servir de support aux paris à la carte. Seize trotteurs de 5 ans vont en découdre sur les 2.850 mètres de la petite piste de Vincennes. La tâche s’annonce compliquée pour les parieurs car beaucoup d’étrangers sont au départ. Parmi eux, Archangel Am. Son mentor Lutfi Kolgjini le dit prêt à frapper un grand coup.

La première est souvent la bonne. Les étrangers qui se produisent pour la première fois à Vincennes font souvent un coup d’éclat. Ce sera le cas du scandinave Archangel Am (5 – Franck Ouvrie). Ne tenez pas compte de ses dernières sorties en Suède. Son mentor nous affirme qu’il sera beaucoup mieux sur le plateau de Gravelle. Il ne faut pas oublier que ce fils Going Kronos était parti favori dans le Critérium des 4 ans suédois la saison passée. Il avait certes été disqualifié mais cela prouve qu’il faisait partie de l’élite de sa génération à ce moment-là. Il vient d’effectuer une bonne rentrée sur un long tracé dans son pays d’origine et va arriver au top pour cette course. Jugé sur ce qu’il a fait de mieux, ses adversaires ne devraient pas être à la fête.

Justement, l’opposition est représentée par quelques visiteurs très ambitieux. D’ailleurs ces derniers devraient se tailler la part du lion. Par rapport aux chevaux français, mis à part Ah Quel Micha (14 –Jean-Philippe Dubois), toujours capable de faire un numéro sur sa classe, ils s’annoncent difficile à devancer. Citons pêle-mêle, Red Team Rex (2 – Franck Nivard), qui a intégré récemment les boxes de Fabrice Souloy. Pour sa première sortie sous ses nouvelles couleurs, il n’a pas démérité en prenant la quatrième place du Prix de Mehun-sur-Yèvres. La distance plus longue ne devrait pas le gêner comme nous le confirme son partenaire : « Je ne vous cache pas qu’il m’a laissé une impression favorable voilà deux semaines. Il se classe bon quatrième ce jour-là. Il est agréable à mener, déjà. Il possède vraiment un brin de classe intéressant. Je pense qu’il a une chance non négligeable ce vendredi soir. » Calvin Borel (3 – Conrad Lugauer), qui vient de jouer de malchance dans une épreuve analogue, alors qu’il aurait lutté pour la victoire et le petit poucet de la course, Dex Beuckenswijk (1 – Rick Ebbinge), redoutable quand il court pieds nus, sont deux autres prétendants aux premières places.

Enfin notons la confiance de Jean-Michel Bazire, qui sera au sulky du second représentant du team Fabrice Souloy, Re Degli Dei (4) : « Je l’ai découvert mi-août. Il m’a plu ce jour-là, en étant cinquième. Il avait concédé beaucoup de terrain au départ, sur une faute, avant un joli retour. Il m’a toutefois quand même laissé sur ma faim la fois suivante. Il avait certes le 18 derrière l’autostart, mais j’ai pu lui donner une assez bonne course. Il a surtout mal respiré. Moi, je ne le condamne pas. » Il faudra certainement compter avec lui.

Source : paris-turf.com

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