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Quinté du 22 octobre : Difficile de résister à Satanicjim

Paris-TurfAuteur de fins de course remarquées ces dernières semaines, Satanicjim devrait être repris par beaucoup de joueurs dans le Prix des Equidays (D, +18,5 – 4A+ – 1.500, PSF), support du quinté de mardi à Deauville.

Remarqué lors de ses trois dernières sorties (dans des gros handicaps), récoltant à chaque fois le label « meilleure impression » du spécialiste de Paris-Turf, Satanicjim (14) fait partie des chaleurs du moment. Encore baissé d’une livre par l’handicapeur, le pensionnaire de Rodolphe Collet trouve, en 36 de valeur, des conditions a priori favorables pour retrouver son jour dans ce genre de tournois, surtout sur un parcours où il a brillé lors de ses deux tentatives. Mais être pris en note, sans jamais terminer dans la bonne combinaison, pourrait être insuffisant pour certains, qui lui préfèreront König Bernard (3), qui reste lui sur trois places dans les trois premiers dans des gros handicaps du même genre. Sa dernière sortie (Longchamp, 1.600 mètres, terrain souple) a montré qu’il avait encore son mot à dire en 41,5 de valeur. S’il a déjà très bien fait sur le sable, le pensionnaire de William Mongil n’a cependant encore jamais brillé sur celle de Deauville (en trois tentatives).

En dehors de ces deux chevaux, et dans un quinté ultra-difficile, où les possibilités semblent très nombreuses, Bravia (5) mérite une certaine confiance au regard de son très grand sérieux. Lauréate pour son unique tentative dans un handicap, il y a plus d’un an, elle revient dans ce type de tournois avec trois livres de plus à porter. Moins convaincant cette année, Totxo (1), issu d’une lignée de sprinters (Diktat et Mehany par Danehill), retrouve une surface où il a toujours terminé dans les quatre premiers en dix sorties ! Pas toujours simple à saisir, Rageur (12) reste sur deux bonnes sorties. A l’aise sur tous les types de terrain et compétitif à ce poids, il semble risqué le l’exclure. Avec Quirinus (6), c’est souvent tout ou rien : on est prévenu. Sirène Dorée (16) apprécie particulièrement la PSF et a encore de la marge au poids. Voilà pour les principales candidatures de ce quinté, où il est difficile de rayer un cheval.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du lundi 21 octobre : Sole Mio, sur la bonne voie

Paris-TurfBien mois fantasque et plus à son travail depuis le printemps, Sole Mio rattrape le temps perdu et va tenter de poursuivre sur sa lancée dans le Prix de Pomarez (Att -E – 6 à 8 ans – 2.875m – n’ayant pas gagné 216.000 euros-recul 116.000).

Lundi à Enghien. Entre mai 2011 et avril 2013, Sole Mio (7) s’est produit en piste à vingt reprises et a été disqualifié à  … treize reprises. Au cours de ses neuf dernières sorties, le fils d’Halimède a signé quatre succès, faisant afficher l’harmonieuse musique : 1a4a2a1a1a2aDa1a2a. Sole Mio (7)  rattrape le temps perdu, cela ne fait guère de doute et s’il parvient à s’adapter au profil de la piste d’Enghien (avec sa longue ligne droite), il ne devrait pas être loin de la vérité. Par ailleurs, il a gagné à Cagnes-sur-Mer au mois de juillet sur 2.700 mètres, c’est pourquoi, nous pouvons supposer que le tracé du plateau de Soisy devrait lui convenir. C’est un bon point d’appui qui visera la victoire.

Un autre point d’appui apparemment

L’autre point d’appui, semble-t-il, se nomme Take (13). Même si ce dernier devra rendre 25 mètres, le partenaire de Franck Nivard est irréprochable et nous sommes sûrs de son aptitude à Enghien, une piste sur laquelle il a gagné sur ce parcours en octobre 2011 et sur le pied de 1’12’’8 (2100m) cet été.

Tout ou rien ?

Tekos de Max (2) est un autre prétendant à la plus haute marche du podium, toutefois, il présente moins de garanties dans la mesure où il n’est pas à l’abri d’une faute, et a été disqualifié à trois reprises lors de ses cinq derniers tournois. Avec lui, on peut supposer que ce sera ‘’tout ou rien’’. Il n’en demeure pas moins qu’il se présente en grande forme, fort de succès convaincants, en trottant 1’14’’ et fractions à Vincennes et La Capelle.

Faisons confiance aux chevaux des 25 mètres

Les concurrents du second échelon, sont pour la plupart des congénères des chevaux du premier (échelon), et comptent quasiment deux fois plus de gains que ces derniers.

On accordera du crédit à Rezéen Cayennais (11) qui avait passé le poteau en tête lors de son unique tentative sur ce parcours (2009). Avant d’être disqualifié en dernier lieu, il progressait dans le dernier tournant et ne devrait pas tarder à refaire parler de lui. Attention.

Requiem de Chenu (16), d’une louable régularité depuis le printemps a surement les moyens d’intégrer le quinté, tout comme Sherif de Silly (12), auteur d’une belle fin de course à Caen dans une course pour trotteurs n’ayant pas gagné 400.000 euros. Thoury le King (1) a franchi un palier cet été, et a démontré sa qualité à Vincennes (2a – 1’14’’8 sur 2.850m P.P.) à deux reprises.

Source : paris-turf.com

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Banc d’essai pour le nouveau site PMU.fr

Logo PMUIl y a quelque jour lors de la Conférence de presse du PMU, le PDG du PMU, Philippe Germond, avait annoncé le déploiement d’un nouveau site : « Il est beaucoup plus rapide pour la prise de paris (3 manipulations au lieu de 6) et novateur avec la “Timeligne” (le programme des courses défile comme un programme de télévision) et la “Parieuse” (un outil permettant de connaître tout de suite les paris proposés sur telle ou telle course) ».

Dès aujourd’hui, il est possible de tester cette nouvelle interface via l’adresse suivante : https://www.turf.pmu.fr/. Comme le site n’est pas officiellement lancé, n’hésitez pas lorsque vous découvrez un bug, d’utiliser le formulaire de contact suivant : https://www.turf.pmu.fr/#!/contact.

Une prise de pari, plus simple, plus rapide et plus ludique

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Prix du Conseil de Paris 2013, avec le poids de l’histoire

Parce qu’il se déroule sur le parcours du prix de l’Arc de Triomphe précisément deux semaines plus tard, le prix du Conseil de Paris est considéré comme une sorte de lot de consolation, avec les hongres en prime. Mais cette épreuve puise dans son histoire bien d’autres motifs pour s’intéresser à elle.

Le saviez-vous ? Le prix du conseil de Paris date d’avant le prix de l’Arc de Triomphe. Il a même longtemps été considéré comme « l’épreuve de l’automne » du galop français. La deuxième course du calendrier français. Créé en 1863, le Grand prix de Paris, disputé en juillet, en était la première. Et donc le prix du conseil de Paris (à ses débuts appelé « prix du conseil municipal de Paris ») la seconde. Le Grand prix de Paris était réservé aux 3 ans, le prix du Conseil aux 3 ans et plus.

Aujourd’hui, ces deux courses ont perdu de leur superbe. Le prix du Jockey Club est considéré comme la course française de l’année pour les 3 ans, et bien sûr le prix de l’Arc de Triomphe pour les 3 ans et plus. Le prix du Conseil de Paris n’est estampillé « que » groupe II, et sa position au calendrier 15 jours après l’Arc ne lui donne guère que la place de la revanche… Mais même celle-ci n’est pas respectée. Ils sont rares les protagonistes du prix de l’Arc de Triomphe à prendre le départ du prix du Conseil de Paris 15 jours plus tard. Tellement rares qu’il n’y en a pas un ce dimanche à Longchamp. En guise de revanche donc, on trouve une course ouverte aux hongres, qui peut permettre à ceux-ci de s’illustrer dans une course qui leur est ouverte.

Ce dimanche, les tout meilleurs hongres ne seront pas là non plus, car le week-end prestigieux d’Ascot leur est ouvert au même moment. Alors, pour les parieurs, pourquoi ne pas jouer la carte de la révélation ? Le jeune (3 ans) hongre Dupontal a à son palmarès trois victoires et deux deuxièmes places, certes à un niveau inférieur, la plupart de ces résultats ayant été obtenus sur les hippodromes du sud-ouest de la France. Mais justement, pour lui, une telle course peut être celle de la révélation. Autre hongre au départ, le 4 ans Norse King reste sur deux victoires et peut constituer également un vainqueur potentiel. Le nom de Last Train, auteur d’une belle saison 2012 avec une deuxième place dans le Grand prix de Paris (tiens, on en reparle…) et une troisième dans le prix Niel, vous évoquera peut-être davantage quelque chose : il mènera l’opposition aux hongres.

Au-delà de cette course, c’est à toute la réunion de Longchamp de ce dimanche 20 octobre 2013 qu’il faudra s’intéresser pour faire main basse sur sa part de la promotion proposée par ZEturf : une cagnotte de 10 000 € est à partager entre ceux qui y auront trouvé cinq jumelés ordre.

Source : zegagnant.com


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Matthieu Abrivard déclaré apte à reprendre la compétition

Matthieu Abrivard

Matthieu Abrivard a été écarté des pistes
durant près de quatre mois

Victime de multiples fractures du bassin et d’un déboîtement de la jambe suite à une terrible chute survenue sur l’hippodrome de Chartres le 27 mai dernier, Matthieu Abrivard va prochainement effectuer son retour en piste. En effet, il a reçu mardi dernier le feu vert du professeur Nathan.

Un peu moins de cinq mois après son accident, Matthieu Abrivard a été déclaré apte à reprendre la compétition par le professeur Nathan. Matthieu Abrivard devrait être en piste lors de la nocturne de Vincennes du mardi 22 octobre. Une bonne nouvelle à quelques jours de l’ouverture du meeting d’hiver 2013-2014 (Info Paris-Turf et La Lettre du Trot).

Source : zone-turf.fr

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Quinté du 20 octobre : Prime à la régularité

Paris-TurfAvec Ranthambore et Turtle Green, qui cherchent leur jour avec application dans cette catégorie, le Grand Handicap de la Seine (B, +15,5 – 4A+ – 2.400, GP), support du quinté de dimanche à Longchamp, tient probablement ses deux favoris.

Ce super quinté à 70 000 € pour chevaux d’âge est franchement compliqué pour les joueurs. Dès lors, comme à la bourse, les valeurs refuges devraient connaître un regain d’intérêt. C’est pourquoi que Ranthambore (12) devrait attirer beaucoup d’argent. Titré en 2010, il mériterait d’empocher un second gros handicap tant sa régularité, ces derniers mois, dans ce genre de tournois est remarquable. Avec le 5 dans les stalles et sur une piste qui lui plaît, il devrait être une nouvelle fois pas loin du compte… « Il est à son affaire sur des distances allant de 2 000 à 2 400 mètres, précise Jean-Marie Béguigné. Il est aussi important pour lui de bénéficier d’une piste bien souple. »

Turtle Green (10) est peu ou prou fait du même bois que ce dernier. A la recherche de son premier succès dans un gros handicap, cet autre modèle de régularité a été supplémenté pour l’occasion. Il aime la piste et a très bien fait lors de son unique tentative sur la distance (le 7 juillet à Maisons-Laffitte). Avec le 8 dans les boîtes, les choses s’annoncent pas mal pour le pensionnaire de François Rohaut qui s’attendait « à trouver un lot plus relevé pour un super handicap. » « Celui-ci me semble très abordable et est la raison de la supplémentation de mon protégé. »

Impressionnant lauréat (six longueurs d’avance) du gros handicap du 15 septembre (Ranthambore 2e, Turtle Green 5e), Descartes (6) a reçu… cinq kilos et demi de la part de l’handicapeur. Les 400 mètres supplémentaires et le terrain un peu plus profond ne devant pas lui poser de problème, on a le droit de le voir répéter. Il est presque inutile de présenter Utopia Jem (9). Même en 40 de valeur, la fille d’Okawango (Grand Critérium) reste un bonheur pour les joueurs de quinté (dix fois sur seize dans la bonne combinaison). Huitième du Prix Scaramouche (listed) lors de sa dernière sortie, Sant’alberto (1) revient faire un tour dans les handicaps, une catégorie qu’il n’a plus fréquenté depuis plus de deux ans. Il est très chargé, mais il a fait preuve sur ce genre de terrain et est bien placé dans les stalles.

Fantastic Love (2), spécialiste de la distance et de ce genre de terrain, Amirant (4), remonté de cinq livres suite à son dernier succès, Telbes (5), qui retrouve un parcours à sa convenance, Skyline du Casse (8), qui semble avoir retrouvé une marge de manœuvre intéressante au poids, ou encore Cabaretune (11), qui a fourni sa meilleure valeur sur ce parcours (terrain souple) il y a un an et demi, sont les autres candidatures les plus sérieuses.

Source : paris-turf.com

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Quinté du 19 octobre : United Park est-il un crack ?

Paris-TurfGagner le Prix Montgomery sous 70 kilos est seulement à le fait de très bons chevaux. Guillaume Macaire relève le pari en présentant United Park, qui n’a que 5 ans, avec le « top weight », samedi à Auteuil.

En 2006, Alarm Call, qui a brillé au plus haut niveau en haies et en steeple, s’était imposé dans le Prix Montgomery sous 69 kilos mais avec une référence « 0 », ce qui lui donnait donc une valeur « 69 ». Cette année, la référence « + 2 » donne à United Park une valeur « 68 », signe d’une grande estime du handicapeur… S’il gagne, il aura tout à fait le droit de défier les meilleurs dans le Prix La Haye Jousselin ou le « Courtois ».  Mais nous n’en sommes pas là. Le pensionnaire de Guillaume Macaire n’a que 5 ans et comme titre de gloire une victoire dans le gros handicap Prix Jean Victor. En outre, il n’a jamais dépassé 4.400 mètres et rend du poids à tout le monde, y compris à ses aînés. Voilà pour les réserves. Reste ses atouts. Nombreux. United Park est un « sauteur né », au fond inépuisable. Les 4.700 mètres devraient avantager ce « diesel ». Dans le Prix Jean Victor, il s’est déjà imposé face à ses aînés sous 70 kilos. Il porte donc bien le poids. Le terrain ? Il a gagné sur une piste très souple et a laissé des sauteurs de qualité (Utopia Dream, Upwelling, etc.) à distance en terrain pénible. Alors, oui, United Park peut nourrir des ambitions dans ce quinté. Cela dit, dans les handicaps, il faut parfois se méfier d’adversaires mieux placés sur l’échelle des valeurs. Et ils sont nombreux les professionnels à avoir pointé sur le calendrier cette épreuve dotée de 175.000 euros…

Qui peut donc l’inquiéter parmi ses 16 adversaires ? On peut penser en particulier à Symphonie d’Anjou, de retour en steeple (3e du Gillois !), où il a un bel avenir, à Monétaire, préparé avec soin pour ce rendez-vous, à Mukonzi Has, taillé pour réussir dans cette catégorie, Vivacissimo, dont la dernière sortie nous a beaucoup plu. Mais les Cokydal, Sundahia, Northwest du Lys, Tito Dela Barrière et Upwelling peuvent aussi nourrir de grandes ambitions.

Source : paris-turf.com

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