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Equidia dévoile sa nouvelle grille

Logo Equidia.frQuand rentrée rime avec nouveautés. Mercredi à Paris, Éric Brion, directeur général d’Equidia, a présenté la nouvelle grille des programmes de la chaîne du cheval. “Depuis sa création il y a quinze ans, Equidia a bien évolué”, lance-t-il en guise d’introduction.

Et cela semble continuer. En témoignent les évolutions et autres innovations de cette rentrée. Les rendez-vous quotidiens d’Equidia Live ont été quelque peu repensés. Depuis mardi, “L’avant Courses” s’attarde davantage sur le Quinté+, “véritable fil rouge avec une étude plus en longueur”. Dans un “Un jour aux Courses”, le téléspectateur découvrira de nouvelles statistiques sportives. “On les analysera et on leur donnera un sens”, glisse Jean-Baptiste Pigalle, le nouveau rédacteur en chef arrivé cet été. D’importants moyens techniques ont également été mis en œuvre pour que les courses soient diffusées en Haute Définition. “Tout est prêt, souligne Éric Brion. On attend le feu vert de Canalsat. On espère un passage à la HD courant été 2015.” Ce dernier en a aussi profité pour évoquer le tracking, système testé récemment à Toulouse.

On travaille avec les sociétés-mères sur ce procédé”, poursuit-il, avant de rappeler et d’insister sur le fait que “rien n’est encore décidé”. La décision finale sera prise par le Trot et France Galop. Les émissions “Côté Courses” et “L’After Courses” ont également été modifiées. La première se concentrera sur les dix principales épreuves de la journée, la seconde sera diffusée uniquement le dimanche soir. Quant à “Equidia Turf Club”, l’émission du lundi accueille un nouveau consultant au trot. Pierre Vercruysse “essaiera d’apporter son expérience du terrain”. Côté Equidia Life, la chaîne surfe sur son excellente audience réalisée pendant les JEM (1,7 million de téléspectateurs). Tous les jeudis, des documentaires évoqueront le monde du turf. Sans oublier les émissions spéciales les jours de grandes réunions. Comme pour mieux rappeler que ce canal créé il y a trois ans sert aussi l’intérêt des courses.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du vendredi 19 septembre : Ucapata a la pointure

Paris-TurfUne nouvelle fois, c’est à Vincennes que les trotteurs ont rendez-vous ce vendredi 19 septembre. C’est le Prix Cléomède, réservé aux femelles âgées de 6 à 8 ans n’ayant pas gagné 177.000€ (avec recul de 25m à 96.000€) sur le parcours des 2850 mètres de la petite piste, qui sert de support aux paris à la carte. Idéalement engagée au plafond des gains et confirmée dans le Temple du Trot, Ucapata devrait encore répondre présente, dans ce lot qui n’a rien d’extraordinaire.

Ucapata (18 – François-Pierre Bossuet) n’est pas de tous les jours, mais dispose d’un sérieux potentiel lorsqu’elle se montre appliquée. Pour preuve, sage lors de ses trois plus récentes tentatives, elle a terminé dans le couplé gagnant. Le 7 septembre, à Rambouillet, elle a fourni une excellente fin de course, échouant du minimum pour la victoire. Idéalement située ici, au plafond des gains, et confirmée à Vincennes, où elle a déjà gagné trois fois, elle s’annonce redoutable en pareille société, malgré son handicap initial de vingt-cinq mètres.  Son driver, François-Pierre Bossuet, est plutôt confiant : « Elle a très bien terminé à Rambouillet. De condition, elle est vraiment bien. L’engagement est favorable ici. Mais rendre 25 mètres n’est jamais facile sur la petite piste. Une fois de plus, le déroulement de l’épreuve fera la différence. Bien sûr, avec un bon parcours, elle a sa place à l’arrivée ».

Sa principale opposante s’élance en tête. Elle se nomme Ula de Navary (5 – Thomas-Emile Loncke). Même si elle se produit pour la première fois dans le Temple du Trot, cette fille de Kepler  ne cesse de progresser depuis plusieurs semaines. Elle reste d’ailleurs sur deux prestations victorieuses, et va tenter de profiter son avantage initial pour prendre sa revanche sur notre favorite, qui l’avait devancée, déjà en lui rendant la distance, le 10 août, à Enghien. Son mentor, Théophile Loncke, émet de solides ambitions : « Elle a eu quelques soucis articulaires. Nous l’avons soignée. Nos efforts portent leurs fruits, comme vous pouvez le constater. Elle est extra physiquement actuellement. Mais cette redoutable finisseuse apprécie surtout les grands anneaux. J’espère qu’elle ne sera pas trop gênée sur ce profil avec quatre virages à négocier. Elle est néanmoins capable de poursuivre sur sa lancée ».

Tess de Villeneuve (13 – Séverine Raimond) a crevé l’écran pas plus tard que vendredi dernier, sur l’hippodrome du Croisé-Laroche, affichant une réduction kilométrique de 1’14’’2 sur 2850 mètres. Si elle a parfaitement récupéré de ses efforts, elle peut très bien endosser le rôle de troisième larron, d’autant qu’elle a triomphé quatre fois et pris une quatrième place en cinq tentatives déferrée des quatre pieds. Ufana Nonantaise (12 – Matthieu Abrivard), en net regain de forme depuis le début de l’été, doit être surveillée de près, d’autant qu’elle est capable de fournir de superbes finish.

Il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent lorsque l’on regarde le papier récent de Tierce Des Racques (4 – Jean-Michel Bazire). Toutefois, confiée à Jean-Michel Bazire pour l’occasion, et déferrée des quatre pieds, il semble difficile de faire sans, surtout que son entourage a tout misé sur cette épreuve.

Tirade (15 – Franck Ouvrie) effectue sa rentrée, mais jugée sur ce qu’elle a fait de mieux, elle est en droit de prétendre à un accessit, à l’instar de Tagada Castelets (11 – Arnaud Chavatte), remarquée en dernier lieu, après sa faute. Ubinette (1 – Franck Nivard), cette fois associée à Franck Nivard, et Ukija (8 – Claire-Marie Delacour), déchaussée des postérieurs, peuvent également être envisagées en bout de combinaison.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du jeudi 18 septembre : Altesse du Mirel bien située

Paris-TurfA défaut de partants dans le Prix Bernard le Quellec, c’est le Prix de Narbonne, course réservée aux pouliches de 4 ans sur le parcours classique de la grande piste de Vincennes, qui sert de support au pari quinté+ en ce jeudi 18 septembre. Altesse du Mirel, qui fait face à un engagement de choix, s’annonce redoutable dans en pareille société.

Altesse du Mirel (13 – Pierre Vercruysse) n’a quasiment jamais déçu depuis ses premiers pas en compétition. Le 15 août, à Cabourg, où elle rendait vingt-cinq mètres, pour sa rentrée, Pierre Vercruysse lui a donné un parcours sage, pour prendre une prometteuse sixième place. Cette fois déferrée des postérieurs, comme lors de son dernier succès, en date du 20 juin, ici-même, dans un lot plus relevé, elle s’annonce redoutable, d’autant qu’elle fait face à un engagement de choix. Son entraîneur-driver affiche clairement ses ambitions : « Elle rendait la distance à Cabourg alors qu’elle rentrait le mois dernier. Cette sortie lui aura permis de se remettre dans le bain. J’avais déjà en tête cette course pour elle. Elle se plaît beaucoup sur ce parcours. Elle sera aussi déferrée des postérieurs, cette fois. Elle ne devrait pas être loin de la vérité, sans incident. J’ai cependant répéré deux ou trois concurrentes qui peuvent lui mener la vie dure. Nous allons bien voir… ».

Plusieurs pouliches ont les moyens de lui apporter la réplique. A commencer par Altesse des Brumes (11 – Yoann Lebourgeois), qui compte désormais trois parcours dans les jambes. L’élève de Franck Harel, cette fois présentée sans ses quatre fers, devrait logiquement lutter activement pour un bon classement. Son metteur au point compte sur elle : « Elle s’était vraiment bien comportée en début d’année. Je l’ai donc arrêtée volontairement. Elle a eu trois sorties publiques au mois d’août pour préparer ce Prix de Narbonne. Je vais la déferrer des quatre pieds ce coup-ci. Je veux mettre tous les atouts de son côté, en effet. Il lui faut une course cachée. Elle a sa place parmi les cinq premières. Elle peut trotter 1’15 » ici, voire même ou un peu moins… ».

Americaine (12 – Anthony Barrier) fait preuve d’une grande régularité depuis le début de l’année, sans parvenir à s’imposer pour autant. Une nouvelle fois déferrée des antérieurs, cette pensionnaire de Jean-Paul Marmion, qui vient de devancer assez facilement la plupart de ses rivales du jour, sur 2100 mètres, devrait, encore une fois, répondre présente. Il ne faut d’ailleurs pas oublier qu’elle n’a jamais déçu sur ce parcours, en trois apparitions. Peut-être le jour J ?

Anantara Jet (14 – Jos Verbeeck) a triomphé avec un certain brio le 25 août, ici-même, trottant sur le pied de 1’15’’6.  Encore une fois déchaussée des postérieurs et confiée à Jos Verbeeck, qui en a souvent tiré le meilleur parti, elle mérite, aussi, un large crédit.

Alsace Doedvic (5 – Jean-Michel Bazire), pieds nus et de nouveau associée à « JMB », va tenter de se surpasser. Ardente du Clos (9 – Matthieu Abrivard), remarquée à l’occasion de sa plus récente tentative, a les moyens de bien faire aussi, même si elle dispose d’un bel engagement le 3 octobre sur le tracé réduit (plafond des gains à 75.000€). Amarena Danover (7 – Adrien Lamy), si elle reste sage, ou encore Amazone du Dollar (10 – Sylvain Roger), qui a de la qualité, et Astrid (2 – Jean-Baptiste Lemoine), qui doit faire ses preuves sur ce profil, peuvent être envisagées en bout de combinaison.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du mercredi 17 septembre : Remember Salsa tente le triplé

Paris-TurfA défaut de partants dans le Grand Prix de la Fédération Régionale du Nord, à la Capelle, c’est le Prix des Gorges d’Apremont, handicap d’un faible niveau (référence +32) ouvert aux chevaux âgés de 5 à 10 ans, sur les 2000 mètres de l’hippodrome de Fontainebleau, qui sert de support au pari quinté+. Plaisante lauréate lors de ses deux plus récentes tentatives, Remember Salsa va tenter de tripler la mise.

Invaincue en deux tentatives sous l’entraînement de Patrice Châtelain, Remember Salsa (8 – Mickael Barzalona) trouve une belle occasion de tripler la mise. En effet, même si elle a été pénalisée de quatre livres suite à son récent succès à Moulins, cette fille de Green Tune a plusieurs atouts dans son jeu. En plus d’apprécier les tracés comportant une longue ligne droite et le bon terrain, elle est cette fois associée à Mickaël Barzalona, qui devrait en tirer le meilleur parti. Bien placée dans les stalles de départ, elle ne devrait pas taper loin. Son mentor se montre plutôt confiant : « Elle a rejoint mon effectif il y a un mois et demi. Lors de sa première tentative sous ma responsabilité, elle m’a agréablement surpris en dictant sa loi. Elle a ensuite doublé la mise à Moulins. Ce succès lui a valu d’être remontée de deux kilos. Par ailleurs, elle va trouver un bon terrain cette fois ci. Je la connais encore assez peu, mais elle ne me surprendrait pas en se comportant bien ».

Abaissé d’une livre sur l’échelle des valeurs, Inzeo (4 – Stéphane-Mélaine Laurent) paraît capable de lui apporter une belle réplique. Car si sa récente musique n’attire pas forcément l’attention, ce fils de Vespone a bien mieux couru que ne l’indiquaient ses derniers classements. Redoutable finisseur, qui devrait être avantagé par la longue phase finale de l’hippodrome de la Sole, il est en droit de bien faire en pareille société. Something Else (12 – Clément Cadel) a joué de malchance à Mont-de-Marsan, le 3 septembre, la selle de son jockey s’étant retournée, alors qu’elle semblait partie pour la gloire. Elle se voit raccourcie de quatre cents mètres cette fois, mais son entourage n’hésite pas à faire le déplacement. Dès lors, il convient de la surveiller de près, surtout lorsque l’on se fie aux propos de son entraîneur : « Nous avons pris notre temps avec cette jument tardive qui n’a débuté qu’à 6 ans. Le 3/9, la petite selle a tourné et ce ne devait pas être assez sanglé. Elle n’a donc pas pu être solicité. C’est dommage car elle l’aurait peut-être emporté. Something Else a été déclarée non partante dimanche car le camion était en panne, nous obligeant à faire demi-tour. Nous nous déplaçons avec des ambitions ».

De retour en bonne forme, Happy Monster (13 – Théo Bachelot) semble proche de sa course. Le 18 août, il terminait tout près de Gianni River, qui a gagné son handicap depuis, et était devancé par Bohemian Rapsody, classé d’un quinté+ relevé ensuite. Il lui suffirait de répéter une telle valeur pour jouer un bon rôle. Cependant, ses deux tentatives à Fontainebleau se sont soldées par des échecs. De plus, l’élève de Mathieu Boutin aura à se sortir de son numéro 16 dans les stalles de départ, ce qui ne constitue jamais une sinécure, tout comme le fait de courir à quatre jours d’intervalle. Sa candidature suscite donc quelques interrogations

Les possibilités sont encore nombreuses. Dancing Belief (1 – Alexis Badel), retrouve les œillères australiennes, qui lui ont souvent bien réussi. Il faut s’en méfier. Bank Guard (6 – Pierre-Charles Boudot) voit sa marge de manœuvre réduite, puisque pénalisé de trois kilos, mais a pour lui d’être en pleine possession de ses moyens. Il peut donc se surpasser.  Golden Criss (7 – Fabrice Veron), régulier, Ange d’Azur (11 – Maxime Guyon), qui aurait cependant préféré évoluer sur une piste plus souple, ou encore Sandoka (14 – Christophe-Patrice Lemaire), qui a tiré d’un bon numéro de corde, avec le 4, ont également leur mot à dire.

Source : paris-turf.com

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Quinté du mardi 16 septembre : Ship Rock mérite crédit

Paris-TurfLe moins que l’on puisse dire, c’est que le Prix de l’hippodrome de Maisons-Laffitte (handicap divisé – réf : +18,5 – course D – 1600 mètres ligne droite), quinté de ce mardi 16 septembre sur l’hippodrome mansonnien, s’annonce des plus ouverts. Très chuchoté pour ses débuts à ce niveau, Ship Rock ne doit pas être condamné hâtivement.

Chuchoté pour ses premiers pas dans les événements, le 15 août à Deauville, Ship Rock (n°8) est venu comme un gagnant ce jour-là, avant de demander à souffler. Il va logiquement progresser là-dessus. De plus, le handicapeur le soulage déjà d’un kilo sur l’échelle des valeurs. Il a hérité de la stalle 2 et s’entend à merveille avec Ioritz Mendizabal (6 sur 7). Il a les moyens de remettre les pendules à l’heure.

Cabidochop (n°12) est plus expérimenté dans ce genre de tournois (2 sur 4, dont une victoire) et vient d’effectuer de probants débuts sur un profil rectiligne, celui de Deauville. Il y obtenait une probante troisième place, juste derrière Wahib, qui a répété par un trophée à Longchamp dans une épreuve similaire. Antoine de Watrigant aborde ce rendez-vous avec un certain optimisme, malgré une petite réserve : «le cheval a parfaitement répondu aux attentes la dernière fois à Deauville. On recommence sur la ligne droite, qui lui convient très bien. Il sera certes encore davantage performant sur des pistes plus souples. Mais le terrain de Maisons-Laffitte devrait parfaitement lui convenir.»

Saphirside (n°4) ne doit pas être jugé trop sévèrement sur son échec dans le Grand Handicap de Deauville, où le terrain était trop profond pour ses aptitudes.  Certes, depuis sa pénalisation suite à son succès à Compiègne à la fin juin, il ne détient plus de marge à ce niveau. Néanmoins, il a prouvé en 41 de valeur qu’il gardait sa chance dans ce genre de tournois, se classant 5e du Grand Handicap des Bords de Seine.

Almalyk (n°7) s’est remarquablement comporté pour sa première sortie sur une distance aussi courte en dernier lieu. Xavier Nakkachdji, son mentor, craint simplement un terrain un peu trop ferme à son goût : «le cheval vient de très bien courir dans le Grand Handicap de Deauville. Le parcours en ligne droite, ainsi que le terrain souple qui allongeait quelque peu la distance, l’ont servi. Ici, la piste sera plus roulante, ce qui va le défavoriser. Il est en effet plus facile de reprendre les battus dans un terrain très souple. Mais c’est un sujet que j’aime beaucoup sur cette distance et il est très bien de condition.»

Source : paris-turf.com

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Quinté du lundi 15 septembre : Thalia de Thiego mérite crédit

Paris-TurfAprès la magnifique réunion de samedi à Vincennes, on redescend de plusieurs étages ce lundi 15 septembre et tout particulièrement avec notre quinté, le Prix de la Roche-Posay (7,8 et 9 ans – 2100 mètres GP – auto). Cette épreuve de vieux tontons a l’allure d’une course pour amateurs, voire d’un réclamer amélioré. Malgré tout, c’est l’occasion de toucher de jolis rapports. Thalia de Thiego, sur ses meilleurs titres, représente la jument de la course.

15e, 10e, 14e telle est la musique de Thalia de Thiego (n°9) cette année. Autant dire que cela n’incite pas à la confiance. Maintenant, un élément change bien évidemment la donne, puisque l’élève de Jean-Michel Baudouin évolue sans ses quatre baskets cette fois, chose qui ne lui est plus arrivée depuis le 9 novembre 2013. Ce jour-là, au Croisé-Laroche, elle était simplement battue par Trophée de Jaba et Sancho du Parc, qui seraient tout simplement déclassés ici. Plus tôt dans son année de six ans, elle laissait dans son rétroviseur Tornade du Digeon et Thé de Chine… Excusez du peu ! Elle a connu une tendinite, raison pour laquelle elle s’est retrouvée un long moment sur la touche. Malgré son numéro 9 derrière la voiture, elle a largement les moyens de dicter sa loi dans ce lot des plus modestes.

Idéalement engagé à 330 euros du recul, Randjany (n°1) a mieux couru que ne l’indique son classement en dernier lieu, à Grenade-sur-Garonne.  Auparavant, sur le plateau de Soisy, malgré un parcours le nez au vent, il ne déméritait surtout pas, s’intercalant entre Ton Ami du Prieur et Tempo. Benjamin Goetz aborde ce rendez-vous avec confiance : «Il aurait fini plus près que cinquième sans des ennuis de trafic mi-août dans le Sud-Ouest. Il est très bien en ce moment. Le numéro 1 est préférable au 8 ou 9. Mais il devra éviter de se retrouver enfermé en dedans. Sa forme est sûre et l’opposition à sa portée. Il sera encore pieds nus, bien sûr, sans oublier que j’ai pu m’assurer les services de Matthieu Abrivard.»

Troïka de l’Iton (n°18) ne doit pas être condamnée hâtivement sur sa 9e place du Prix de Neuilly, sur les 2850 mètres de la grande piste. A cette occasion, elle a dû longtemps ronger son frein, avant de finir correctement, mais la messe était dite. Elle a l’avantage de retrouver son parcours de prédilection, où elle n’a jamais déçu en trois essais.

Shirley Berry (n°3) retrouve ses meilleures dispositions, à savoir déferrée des quatre pieds et confiée à Tony Le Beller. Dans ces conditions, elle a couru à deux reprises, pour un succès et un accessit d’honneur dans un événement à Enghien. Daniel-Marcel Olivier nous livre ses impressions : «Je l’ai laissée souffler après sa bonne quatrième place du 2 août à Châteaubriant. Sa course vichyssoise lui était nécessaire. Elle lui a fait du bien. Elle est dépendante du parcours. Elle se montre plus performante lorsque sa pointe de vitesse peut être préservée. Mais elle a déjà trotté 1’13 » sur ce même tracé. Ce chrono l’autorise à avoir quelques prétentions. Elle évoluera aussi pieds nus cette fois.»

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du dimanche 14 septembre : Whispering Hero proche de sa course

Paris-TurfDurant la prestigieuse réunion de ce dimanche 14 septembre, sur l’hippodrome de Longchamp, c’est le Prix Qatar Racing And Equestrian Club, handicap pour les poulains de 3 ans, disputé sur le parcours des 1600 mètres de la moyenne piste, qui sert de support aux paris à la carte. Whispering Hero, qui reste sur deux bonnes tentatives à ce niveau de la compétition, va peut-être, enfin, remporter sa première course.

Même s’il n’a pas encore vaincu en six apparitions publiques, Whispering Hero (14 – Maxime Guyon) a montré d’indéniables moyens depuis ses débuts en compétition. Ses deux premières prestations dans les gros handicaps se sont avérées concluantes, puisqu’après une troisième place, il s’est emparé de l’accessit d’honneur dans le Prix Darley, sur une distance pourtant un peu courte pour ses réelles aptitudes. Adepte de la course en avant, ce qui constitue un avantage considérable lorsque la piste de Longchamp est bien roulante, ce fils de Soldier Hollow pourrait bien ouvrir son palmarès ce dimanche. Son mentor, Hans-Albert Blume affiche clairement ses ambitions : « C’est vraiment une bonne recrue dans cette catégorie. Son excellente dernière prestation, à Deauville, le prouve bien. La distance est plus longue de deux cents mètres ici. Mais il n’y aura aucun problème. Sa belle forme est toujours d’actualité. J’espère que le bon terrain lui conviendra. Il ne lui faut pas une piste trop ferme, en effet. Je reste malgré tout confiant ».

Plusieurs de ses rivaux ont également déjà bien fait dans ce type d’épreuves, sans parvenir à vaincre. C’est le cas notamment d’Alicenora (1 – Grégory Benoist), qui doit, il est vrai, rendre du poids à tous ses adversaires, mais qui a montré, à plusieurs reprises, qu’elle allait, tôt ou tard, faire sien un événement. En dernier lieu, elle a terminé remarquablement, face à ses aînés, se classant au cinquième rang. A l’aise dans tous les terrains, elle devrait, a priori, lutter pour la victoire. Easterburg (6 – Fabrice Veron) a manqué d’une courte encolure pour rafler la mise dans le quinté+ du 29 juillet. Probant cinquième ensuite, après avoir tardé à trouver sa cadence, sur 1400 mètres, il fait, lui aussi, partie des sérieux prétendants au succès. Seul ombre au tableau, son numéro 17 dans les stalles… Ludovic Gadbin, l’assistant d’Henri-Alex Pantall en attend une performance de choix : « Il vient de bien courir sur les 1400 mètres rectilignes deauvillais, en étant cinquième. Cette distance s’est avérée finalement peut-être un peu courte, malgré ce qu’on pouvait penser. Ce poulain allant aura encore des bouchons dans les oreilles. Le fait de revenir sur le mile sera certainement positif. Il a parfaitement travaillé. Il devrait fournir une nouvelle bonne performance… ».
Jusquiame Noire (12 – Christophe Soumillon) compte elle aussi deux places en autant de tentatives dans ce type de confrontations. Excellente finisseuse, elle peut encore mieux faire, d’autant qu’elle retrouve le mile, distance de son plus récent triomphe, et se voit confiée à Christophe Soumillon pour l’occasion.

Vodka Redbulla (16 – François-Xavier Bertras), peu chanceuse le 29 juillet, mérite d’être reprise en confiance. Car, en plus de s’élancer du couloir 5 cette fois, elle bénéficie d’un geste du handicapeur, qui lui retire un kilo sur l’échelle des valeurs. Sunstream (18 – Christophe-Patrice Lemaire), contrainte aux grands extérieurs dans un réclamer deauvillais à la fin du mois d’août, se retrouve bien située en bas de tableau. Sa candidature ne doit pas être négligée. Oasis Valley (4 – Lanfranco Dettori), associé à Lanfranco Dettori, ainsi que Honeysuckle Rose (7 – Stéphane Pasquier), régulière, ont également leur mot à dire.

Source : paris-turf.com

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