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Lundi 29 septembre à Enghien, un Quinté+ Martens ?

Equidia LiveAprès Vincennes, le Quinté+ de ce lundi se disputera au trot à Enghien (R1C1-13H50). Dans ce lot de femelles de 5 ans, Sahara Fairytale, pour sa première sortie française, peut être le conte de fées des parieurs.

L’analyse

Sahara Fairytale (16) fait la quasi-unanimité auprès de la presse spécialisée. Elle vient juste d’arriver dans les boxes de Vincent Martens mais ses performances en Suède suffisent à la placer favorite. Autre concurrente venue hors de nos frontières qui détient une première chance, Pleasure Kronos (5). Notre confrère complète le podium avec Porpora Lux (2) élève de Fabrice Souloy. Au vu de sa forme, Vanina des Baux (11) peut avoir des ambitions pour rentrer dans le Quinté et pourquoi pas décrocher la victoire. Varina (15) est une jument régulière qui est l’une des mieux engagées.

Primula d’Esi (7) sera sans doute plus à l’aise piste plate qu’à Vincennes, même si ses premiers pas en France sont bons. Victoire Quesnot (4) peut très bien faire l’arrivée à belle cote idem pour Peace of Mind (6).

Pour le petit bonus Vamp de Nganda (9) et Volga du Châtelet (12) pour une place à belle cote.

Source : equidia.fr

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Arc de Triomphe : Le jeu dans cette épreuve mythique

Paris-TurfEn 2013, 33 millions d’euros avaient été investis lors de la journée du Qatar Prix de l’Arc de Triomphe. à l’image de la journée du Prix d’Amérique, c’est un événement majeur dans le calendrier hippique…

“ Mettons-nous dans l’ambiance de ce que représente cette course.” Musique, images à couper le souffle avec une Trêve qui éclabousse l’Arc de toute sa classe. Nous sommes le 17 septembre.  A peine son discours entamé que le président de France Galop, Bertrand Bélinguier, a laissé s’exprimer le spectacle de la course. Souvenirs grandioses de moments rares qu’il nous faut préserver. Des instants futiles qui marquent les acteurs, mais également les turfistes, devenus propriétaires d’un jour le temps d’une épreuve. Car au-delà de toutes les émotions générées par le sport, les courses n’en demeurent pas moins un jeu d’argent. Et l’occasion également pour les parieurs d’empocher un bon petit magot. En effet, les épreuves phares du calendrier hippique, comme celle du dimanche 5 octobre, génèrent des enjeux forcément élevés, la notoriété de ces Everest dépassant largement les frontières de la communauté turfiste. Le PMU rappelle souvent que 6 millions de Français valident au moins un pari hippique dans l’année ; aucun doute, une grande partie d’entre eux le fera ce premier dimanche du mois d’octobre ou le dernier dimanche de janvier (Grand Prix d’Amérique).

Vers quels jeux vous tourner ?

Sauf “cataclysme”, le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe et ses 5 millions d’euros de dotations devrait être support des paris à la carte. On ne peut que s’en réjouir car, par le passé, ce ne fut pas toujours le cas. Rappelez-vous l’édition de 2006 lorsque Rail Link s’imposait face à seulement sept rivaux. Pour une telle épreuve de gala, il serait fort dommage de ne pas “titiller” la chance au Quinté+. D’autant plus avec une Tirelire du PMU portée à 10 millions d’euros en cette occasion. Toutefois, le défi est de taille, car ce jackpot n’a pas vacillé dans l’Arc depuis 2005 (5 millions tombaient alors automatiquement s’il y avait un gagnant au quinté ordre). à noter également qu’en 2011 et 2012, années des sacres de Danedream et de Solémia, personne n’avait trouvé les cinq premiers dans l’ordre. Comme l’explique notre confrère Sylvain Collin, l’épreuve s’annonce ouverte et des paris comme le Trio (il n’y a plus de Trio Ordre à 8 partants ou plus), le Quarté (trois rapports dans l’ordre ont été supérieurs à 25.000 € lors des 4 dernières éditions) ou même le 2sur4 (surtout s’il y a 20 partants) peuvent s’avérer intéressants. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue que ce jour-là les Britanniques et les Japonais vont venir en nombre supporter leurs champions. Et ce public mise surtout en jeu simple, sans vraiment s’attarder sur les paris de combinaisons. Ainsi, si les chances des cracks tricolores comme Ectot ou Avenir Certain vous sautent aux yeux, les rapports aussi bien à la gagne qu’à la place pourraient bien en valoir la chandelle. à vous d’en profiter…

Source : paris-turf.com

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Quinté du lundi 29 septembre : Sahara Fairytale s’attaque à la France

Paris-TurfPrécédée d’une flatteuse réputation du côté de la Suède, Sahara Fairytale ne peut rêver meilleur engagement pour ses premiers pas sur notre sol que ce Prix d’Egletons, événement au féminin du lundi 29 septembre 2014 sur les 2875 mètres de la piste d’Enghien, étant la plus riche du lot.

Fraîchement arrivée chez les frères Martens, Sahara Fairytale (16 – Christophe Martens) ne fait pas afficher un compte en banque rond, venant de l’étranger, mais se retrouve à moins de 2000 euros de la qualification. Régulièrement sous la barre des 1’12 » en Suède, elle a battu une certaine Bibi Barosso, qui a brillé cet hiver à Vincennes. La piste plate d’Enghien sera un avantage et elle a déjà brillé sur des distances supérieures à 2600 mètres. Avant le coup, elle s’annonce des plus redoutables comme nous le confirme son nouveau mentor : « Elle est arrivée à l’écurie quelques jours après sa dernière sortie. A l’entraînement, elle n’a pas été poussée, elle est prête. Elle a une bonne tête, beaucoup de mental. Bref, c’est assurément une recrue de choix. Pour moi, elle a largement la pointure d’un tel lot. » Nous voilà prévenus…

Titulaire de statistiques incroyables sur l’hippodrome d’Enghien (5 sur 6) et même sur le parcours du jour (2 sur 3), Varina (15 – Jos Verbeeck) pourrait bien être sa rivale principale. Elle vient de laisser une très bonne impression sur les 2100 mètres de la grande piste de Vincennes. Le changement de piste ne lui sera que profitable et même si elle ne gagne que rarement, sa place est encore à l’arrivée. Vanina des Baux (11 – Matthieu Abrivard) reste sur une plaisante victoire sur la petite piste en trottant 1’14 » et fractions. Derrière, on peut penser à Victoire Quesnot (4 – Eric Raffin), performante sur le parcours ou encore Porpora Lux (2 – Roberto Andreghetti), pieds nus. Enfin, Vamp de Nganda (9 – David Thomain) vole sans ses fers. Hubert Hardy nous en parle : « Elle vient de complètement me rassurer à Argentan. Elle n’a été devancée que par une bonne jument. J’ai attendu cet engagement avec les seules femelles pour la présenter à nouveau. Elle sera déferrée des quatre pieds. Elle est plus sûre pour partir à la volte désormais. Elle a une belle carte à jouer à ce niveau. »

Source : paris-turf.com

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Quinté du dimanche 28 septembre : Urgos a tout pour plaire

Paris-TurfPieds nus, idéalement placé derrière la voiture et associé à Jean-Michel Bazire, qui est également son mentor, Urgos a beaucoup d’atouts dans son jeu pour ce Prix d’Issigeac, événement du dimanche 28 septembre 2014, sur les 2100 mètres de la grande piste de Vincennes.

Qu’il fait bon retrouver Vincennes, un dimanche, après tous les quintés difficiles dont nous avons eu le droit durant ces derniers jours. Ce Prix d’Issigeac réunit quinze concurrents d’âge, bien connus des quintéistes. Cependant, pour la plupart, la grande piste n’est pas leur tasse de thé et la condition de chacun reste encore à déterminer. Pieds nus cette fois et après une rentrée correcte sur l’hippodrome de Craon, Urgos (5 – Jean-Michel Bazire) devrait refaire parler de lui. Son aptitude sur le parcours n’est plus à prouver, ayant enregistré un excellent 1’12 »1, en fin d’année dernière. Idéalement placé derrière la voiture, ce fils de Kesaco Phedo apparaît comme une excellente base. JMB partage d’ailleurs cet avis : « Il a été absent durant de nombreux mois, après sa dernière sortie du meeting d’hiver mi-janvier. Il vient d’effectuer sa rentrée sur l’herbe, à Craon. Il n’aura donc qu’une course dans les jambes avant ce retour parisien. Il a cependant bien travaillé. Je vais le déferrer des quatre pieds cette fois. Il a la pointure pour terminer parmi les trois premier en classe pure… »

Il ne court cependant pas seul. Oneghin Del Ronco (15 – Matthieu Abrivard) n’est pas des mieux placés au start, mais ses titres sont excellents. L’hiver dernier, il trottait le parcours classique en moins de 1’14 ». Reparti dans son pays d’origine durant l’été, il revient en France avec de grosses ambitions. Bien que meilleur corde à droite, Tarass d’Amour (6 – Eric Raffin) dépend d’un entourage redoutable et fait afficher une telle régularité, qu’il est difficile de ne pas le voir dans les cinq premiers. Sébastien Guarato est très confiant : « Il avait deux engagements intéressants sur l’herbe récemment. Il a donc gagné à deux reprises. Je peux le déchausser complètement sur cette surface. Je préfère le protéger sur les pistes en dur, comme dimanche. Il aura toutefois des petites plaques très légères. L’effet sera identique. Je ne crains pas la grande piste. Il est dans sa catégorie. Je lui vois une première chance. »

Enfin, on retiendra en vrac Marimari (1 – Christophe Martens), rarement déferré et qui avait réalisé une performance incroyable, sur ce parcours précis, le 3 janvier 2013 ou encore Récital du Lys (2 – Cédric Terry), revenu à son meilleur niveau et pieds nus cette fois. Utinka Selloise (7 – Jacques Bruneau) apparaît comme un coup de poker. Certes décevante ces derniers temps, elle n’a pas été présentée totalement déferrée depuis juin 2012. Une éternité…

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du samedi 27 septembre : Jemy Baie, encore

Paris-TurfLes steeple-chasers de 5 ans et plus seront à l’honneur en ce samedi 27 septembre, puisque c’est le Prix Violon II, handicap-listed ouvert aux chevaux âgés de 5 ans et plus, sur le parcours des 4300 mètres de l’hippodrome d’Auteuil, qui sert de support au pari quinté+. Jemy Baie, qui vient de s’imposer facilement sur le parcours qui nous intéresse, semble capable de doubler la mise.

Jemy Baie (7 – Bertrand Lestrade) a été pénalisé de neuf livres sur l’échelle des valeurs, suite à son succès du 2 septembre, dans le Prix World Citizen, disputé ici-même. Cependant, le style avec lequel il s’est imposé laisse à penser qu’il dispose de suffisamment de marge pour remettre le couvert ici, d’autant qu’il retrouve Viviane Royale (6 – Alexis Acker), qu’il devançait nettement le 9 mars, dans de bien meilleures circonstances pondérales. Modèle de régularité, ce fils de Crillon semble à même de doubler la mise. Son mentor, Michel Postic, se montre particulièrement confiant : « Il a bien couru pour sa rentrée, puisqu’il s’est imposé. Il va sûrement briller à nouveau. Il a encore progressé au travail, en effet. Il est au top ! Ce sauteur sympa, très gentil, s’améliore sans cesse. Il possède aussi un finish assez rare. Il semble mieux que la dernière fois, je le répète. On ne connaît pas ses limites. Il n’a que 5 ans. Il pourrait aller vers les groupes… ».

Derrière ce concurrent, qui fait office de solide point d’appui, tentons Viviane Royale, qui ne cesse de progresser sur les gros obstacles et qui est une nouvelle fois munie d’œillères australiennes, comme lors de ses trois plus récentes prestations. Même si elle découvre le parcours proposé, elle vient de remarquablement se comporter sur celui des 4400 mètres, ce qui atteste de son aptitude à la distance et devrait donc jouer un bon rôle. Marcel Rolland, la juge compétitive : « Elle effectue sa rentrée. Elle a cependant beaucoup de travail derrière elle. Je la trouve très bien le matin. Cette bonne sauteuse aurait certes préféré un terrain plus souple. Mais elle retrouve un hippodrome où elle s’est déjà imposée. Je la pense compétitive ».

Messire Fontenail (14 – Régis Schmidlin) va évoluer sur un terrain peu profond, ce qui accentue ses chances de bien faire en pareille société. Bien que remonté de deux kilos pour pouvoir participer à cette épreuve, ce fils de Maresca Sorrento mérite un certain crédit. Le top-weight Messire Fontenail (1 – Mathieu Carroux) vient de vaincre dans un bon style, pour son retour dans le steeple, dans une course à conditions, rendant six kilos à Saint Du Chênet, pris en 71 de valeur. L’élève d’Arnaud Chaillé-Chaillé étant seulement pris en 67 là, sa candidature doit être retenue avec le plus grand intérêt. Northwest du Lys (4 – Thomas Beaurain) ne compte qu’une cours dans les jambes, mais a terminé troisième de cette épreuve l’an dernier. Adepte de ce tracé, où il compte une victoire et trois places en six apparitions, il convient de ne pas l’écarter, même s’il risque de manquer d’un petit quelque chose pour finir.

Extrême Sud (2 – David Cottin) demeure davantage à son affaire sur les pistes détrempées, mais a suffisamment de qualité pour rivaliser en pareille société. Il a donc son mot à dire, au moins pour les places, à l’instar du Gallorini, Pindare (8 – Jacques Ricou), dont les limites dans cette discipline sont inconnues, et d’Ultra Lucky (12- Thierry Majorcryk), qui va découvrir un profil aussi long sur le steeple, mais fait preuve d’une grande régularité.

Quant au tenant du titre, Sundahia (3 – Kévin Nabet) il aura fort à faire pour réitérer sa performance de l’an dernier, en raison, notamment des cinq kilos qu’il devra porter en plus.

Source : paris-turf.com

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Quinté+ du vendredi 26 septembre : Vosne Romanée tente le hat-trick

Paris-TurfUne nouvelle fois, c’est à un quinté+ de remplacement auquel nous avons droit en ce vendredi 26 septembre, puisqu’à défaut de partants dans le Prix Austria, c’est le Prix Ella, épreuve réservée aux femelles sur le parcours des 2850 mètres de la petite piste, qui sert finalement de support aux paris à la carte. Bien engagée au premier échelon et en pleine forme actuellement, Vosne Romanée tente la passe de trois.

Après un passage à vide au printemps, Vosne Romanée (7 – Franck Ouvrie) a retrouvé la pleine possession de ses moyens, comme l’attestent ses deux récents succès. Déferrée des quatre pieds, configuration dans laquelle elle a remporté trois des quatre sacres de sa carrière et bien engagée à la limite du recul, elle paraît capable de tripler la mise, d’autant que Franck Ouvrie est appelé à son sulky. Ajoutons qu’elle se classait deuxième de sa seule apparition sur la petite piste de Vincennes, avant d’être disqualifiée après enquête pour un changement de ligne, en novembre 2013, seulement déchaussée des antérieurs. Son metteur au point, Bertrand Kernivien se montre assez confiant : « Je l’ai travaillée gentiment mercredi matin. Elle me semble être restée très bien. Elle sera dans sa catégorie ce vendredi soir et elle a l’avantage de partir en tête. Elle va être encore pieds nus et je la confie une nouvelle fois à Franck Ouvrie. Sa marge de marge de manoeuvre sera cependant mince. Elle n’aurait d’ailleurs pas disputé une telle épreuve sur la grande piste… ».

Pas de tous les jours mais douée, Valse de Zaeri (5 – Franck Nivard) s’annonce comme sa plus sérieuse opposante. Car même si elle a été incapable de boucler ses parcours au trot lors de ses plus récentes apparitions, elle avait, le 15 août, rivalisé avec des juments de la trempe d’Alpine du Rib et Agape Gwen, qui auraient une première chance à défendre dans ce lot. Redoutable sur les profils corde à gauche, où elle a remporté les quatre succès de sa carrière, il lui suffirait de se montrer sage tout au long de la course pour mettre tout le monde d’accord.

Vaena Fun (10 – Jean-Michel Bazire) n’est pas une championne, mais  a déjà montré sa compétitivité dans ce type d’épreuves. Présentée sans ses fers et associée à Jean-Michel Bazire pour l’occasion, il convient de retenir cette fille de Jag de Bellouet assez haut. Vénus de Neulliac (14 – Alexandre Abrivard) déçoit depuis plusieurs semaines, mais fait ici face à un engagement sur mesure, au plafond des gains. Titulaire d’une victoire et d’une place en cinq sorties sur le tracé proposé, l’élève de Laurent-Claude Abrivard a les moyens de remettre les pendules à l’heure, car jugée sur ce qu’elle a fait de mieux, elle a largement la pointure.  Son entraîneur affiche des ambitions : « Bien que huitième dans le Prix Alhéna le 12 septembre sur ce tracé, j’estime qu’elle a couru en amélioration. Elle semble en regain de forme. Je ne demande qu’à la voir confirmer, surtout qu’elle dispose d’un engagement favorable au plafond des gains ».

Vigne des Ulmes (4 – Gabriele Gelormini) a gagné avec autorité le 14 septembre, à Chartres. C’est un peu tout ou rien avec elle, mais sa prestation du 2 août, à Graignes, où elle a trotté 1’15’’6 sur 2700 mètres est intéressante. Elle mérite donc un certain crédit. Venise Soyer (12 – Thibault Viet), en belle condition actuellement, ainsi que Valse du Pirai (13 – Michel Lenoir), pas ridicule en dernier lieu, ou Vicomtesse d’Amour (8 – Eric Raffin), qui connaît une belle réussite avec Eric Raffin, auront également quelques supporters.

Source : paris-turf.com

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Quinté du jeudi 25 septembre : Naloudia va décrocher son quinté

Paris-TurfCe jeudi 24 septembre, nous prenons la direction de l’hippodrome de Maisons-Laffitte, avec en point d’orgue le Prix du Château de Maisons-Laffitte (handicap divisé – réf : +19 – 2000 mètres ligne droite – pour 3 ans). Placée à trois reprises dans les événements, Naloudia mériterait d’y trouver la consécration.

Progressivement rallongée, Naloudia (n°6) a prouvé en dernier lieu que les 2000 mètres lui convenaient à merveille. Elle effectuait une petite rentrée à cette occasion, ce qui rehausse sa performance. Certes, les mâles sont sur sa route cette fois et elle débute en ligne droite. Toutefois, cela ne semble pas inquiéter Ludovic Gadbin, l’assistant-entraîneur d’Henri-Alex Pantall : «Elle avait eu un petit passage à vide en juin. Mais elle revient fort, étant plus gaie le matin au travail. Sa récente sortie en apporte d’ailleurs la preuve. Cette prestation date de plus d’un mois. Elle a donc pu bien récupérer. Elle semble avoir des dispositions pour les 2000 mètres. On en attend un bon comportement ici. Le seul bémol, c’est le profil proposé ici. Nous allons voir.»

Le tout neuf Tatooine (n°10) a réalisé des probants débuts dans les événements, le 1er septembre à Longchamp. Il a fourni un plaisant effort final et va logiquement progresser là-dessus. Il a hérité de la corde une et devrait confirmer toute l’estime de son entourage ici.

Le Navaro (n°11) constituait pour sa part la bonne note de l’épreuve de référence, le 1er septembre. A cette occasion, il s’était pourtant retrouvé «mal garé» à la corde 19. Il se retrouve bien mieux loti cette fois (corde 8). Alessandro Botti, son mentor, fait logiquement preuve de confiance : «Il n’a pas eu beaucoup de chance à Longchamp ce 1er septembre, au même niveau, avec sa corde numéro… 19. Il aurait terminé beaucoup plus près à l’arrivée en étant mieux situé. C’est dommage. Finir troisième dans ces conditions était vraiment remarquable. Il est très régulier. Il cherche son quinté. Ce tracé en ligne droite devrait lui convenir, car il est maniable. Sachez aussi qu’il s’adapte à tous les terrains.»

Second atout «Botti», Le Scribe (n°1), comme beaucoup des concurrents de cette épreuve, débute  en ligne droite. Sa récente sixième place à Craon est meilleure qu’il n’y paraît. Il a dû voyager en dehors et ne sera pas plus mal sur cette distance plus courte.

Source : paris-turf.com

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