Vincennes accueille le Quinté+ de ce jeudi, un 2850 mètres grande piste pour de bons chevaux de 7 à 10 ans déjà bien connus des quintéistes. Notre favori à nous, c’est Univaldi d’Aval, confié à Jean-Michel Bazire. Détaillons le programme…
Les incontournables
- 4- Univaldi d’Aval : Univaldi d’Aval + Jean-Michel Bazire = 5 courses, 4 victoires. Vainqueurs tous les deux du Grand Prix de la Ville de Laval dans un très bon style, devançant la bonne Une Sérénade, ils semblent en mesure de peaufiner encore leurs statistiques communes. Notre favori.
- 18- Valea Mip : Dans la course référence (cf au-dessous), elle avait fait un bout de classe à l’intersection des pistes, venant comme pour chatouiller l’intouchable Aero King. Elle s’est mise à la faute avant que l’on puisse voir si le combat aurait pu tourner en sa faveur. Mais sur ce simple bout de classe, on est obligé de croire fort en elle.
- 2- Athos des Volos : Sa 4e place du 2 novembre dernier vaut le coup d’œil. Mal embarqué dans un wagon de 3 emmené par un Aufor de Mire dans un mauvais jour, il était encore en queue de peloton dans le tournant final. Relancé par Matthieu Abrivard, il avait ensuite tracé une très belle ligne droite. Depuis cette performance, il a fait un petit parcours à Nantes avec son entraîneur au sulky, probablement en vue de ce Quinté+. On y croit !
Les challengers
- 8- Vasco Flower : Lors de son dernier parcours, on attendait Aufor de Mire et Auch, et c’est lui, le moins joué des trois Bigeon, qui créait la surprise en se classant 2e de notre Quinté+ de référence. Sa ligne droite nous avait alors vraiment séduits. S’il a gardé cet état de forme, alors le lot étant à peu de choses près le même, sa perf pourrait bien être à peu de choses près la même aussi !
- 13- Avrik de Guez : Même si JMB lui a préféré – et c’est un choix à prendre en compte, évidemment – Univaldi d’Aval ici, c’est l’un des plus légitimes prétendants à la victoire. Son dernier parcours s’est soldé par une disqualification de fatigue après un parcours toujours nez au vent. Il ne faut sûrement pas lui en tenir rigueur, d’autant plus qu’il était alors très chuchoté. Reprenons-le.
- 16- Arius du Douet : Franck Nivard absent, c’est Jean-Philippe Monclin qui se placera au sulky de son pensionnaire, 3e de notre course référence. Sa forme est certaine (deux victoires, une 3e place et une 5e place lors de ses cinq dernières sorties) et il se plait sur la grande piste, en atteste sa victoire du 24 septembre dans le Prix d’Ancenis.
Les impasses
- 9- Unique de l’Iton : Il n’est pas parvenu à s’immiscer sur un podium depuis le début de l’année, malgré des tentatives à un niveau bien inférieur, notamment outre-quiévrain. Difficile dans ces conditions de ne pas en faire une impasse…
- 12- Aquitaine d’Aron : C’est une pure spécialiste du trot monté. Elle n’a couru qu’à six reprises à l’attelage pour une seule 2e place, et c’était en 2014. Même déferrée des quatre pieds, on décide de la rayer, et de la regarder courir en vue d’engagements futurs sous la selle.
- 17- Un Satin Rose : En 11 courses cette année, il n’a chipé qu’une petite 3e place, et c’était à Enghien sur un parcours de vitesse. Désormais bien chargé en gains, il trouve des tâches un peu ardues. Difficile d’y croire…
Les partants en détail
- Tsar d’Andain : Il sera dans un petit peu plus d’un mois atteint par la limite d’âge, et ce sont là les dernières cartouches en France pour ce valeureux pensionnaire de Pierre-Emmanuel Mary. Il sait suivre tous les rythmes, dur comme tout. De fait, si – et c’est plausible – les chronos intermédiaires sont rapides, alors il faudra compter avec lui. C’est notre regret.
- Athos des Volos : Sa 4e place du 2 novembre dernier vaut le coup d’oeil. Mal embarqué dans un wagon de 3 emmené par un Aufor de Mire dans un mauvais jour, il était encore en queue de peloton dans le tournant final. Relancé par Matthieu Abrivard, il avait ensuite tracé une très belle ligne droite. Depuis cette performance, il a fait un petit parcours à Nantes avec son entraîneur au sulky, probablement en vue de ce Quinté+. On y croit !
- Amarilla de Rabut : Elle était la petite sensation du calendrier automne-hiver 2016-2017. Depuis juillet 2017, elle n’a plus brillé au sulky, se trouvant une nouvelle jeunesse sous la selle de Yoann Lebourgeois. Elle n’a plus couru au sulky à Vincennes depuis le mois de mai dernier. Aussi, c’est ici un sacré point d’interrogation. Elle a le droit de faire l’arrivée : s’en priver sur un ticket serait extrêmement risqué.
- Univaldi d’Aval : Univaldi d’Aval + Jean-Michel Bazire = 5 courses, 4 victoires. Vainqueurs tous les deux du Grand Prix de la Ville de Laval dans un très bon style, devançant la bonne Une Sérénade, ils semblent en mesure de peaufiner encore leurs statistiques communes. Notre favori.
- Aribo Mix : C’est l’éternelle note. Contraint à courir caché pour ne faire que 500m, il est souvent dépendant du sort, et se retrouve régulièrement un peu dans la boite lorsque la course s’emballe. Si le profil de course s’avérait clément avec lui, il pourrait chiper une petite place dans le Quinté+.
- Viva de Luna : Toujours plus performante l’hiver, elle reste sur une belle série de courses, affichant la musique d’une jument en forme. Ce qui nous a fait ne pas la garder dans notre prono, ce sont ses stats récentes à Vincennes : la jument de Guillaume Lessieu n’est plus parvenue à se placer sur le podium sur la cendrée depuis septembre 2014 (en 12 courses).
- And de Saint Prest : A l’instar de bon nombre des pensionnaires de l’écurie de Vincent Martens, il a retrouvé la forme depuis quelques semaines, remportant même sa course à Salon-de-Provence le 16 octobre dernier. Néanmoins, il retrouve ici un lot bien supérieur à ceux qu’il affrontait lors de ses deux – bonnes – dernières sorties. C’est pourquoi on ne l’a pas gardé.
- Vasco Flower : Lors de son dernier parcours, on attendait Aufor de Mire et Auch, et c’est lui, le moins joué des trois Bigeon, qui créait la surprise en se classant 2e de notre Quinté+ de référence. Sa ligne droite nous avait alors vraiment séduits. S’il a gardé cet état de forme, alors le lot étant à peu de choses près le même, sa perf pourrait bien être à peu de choses près la même aussi !
- Unique de l’Iton : Il n’est pas parvenu à s’immiscer sur un podium depuis le début de l’année, malgré des tentatives à un niveau bien inférieur, notamment outre-quiévrain. Difficile dans ces conditions de ne pas en faire une impasse…
- Ultra du Gade : Ce courageux hongre qui trouve désormais des engagements difficiles eu égard à son compte en banque va découvrir à son sulky, c’est amusant, le frère de son driver habituel. Eric Raffin prend en effet les guides qu’Olivier tient souvent d’ordinaire. Il va falloir que son pilote inédit lui donne un parcours parfait pour qu’Ultra du Gade parvienne à s’emparer d’une petite place…
- Paparazzi : Son avant-dernier parcours à Laval fut très bon. Deuxième de la bonne Athéna des Ravaux, il montrait qu’il faudrait compter avec lui cet hiver. Le lot d’aujourd’hui, toutefois, nous semble trop bien composé pour qu’il tire son épingle du jeu : à Vincennes, avec les costauds, il ne s’est plus placé sur un podium depuis août 2015.
- Aquitaine d’Aron : C’est une pure spécialiste du trot monté. Elle n’a couru qu’à six reprises à l’attelage pour une seule 2e place, et c’était en 2014. Même déferrée des quatre pieds, on décide de la rayer, et de la regarder courir en vue d’engagements futurs sous la selle.
- Avrik de Guez : Même si JMB lui a préféré – et c’est un choix à prendre en compte, évidemment – Univaldi d’Aval ici, c’est l’un des plus légitimes prétendants à la victoire. Son dernier parcours s’est soldé par une disqualification de fatigue après un parcours toujours nez au vent. Il ne faut sûrement pas lui en tenir rigueur, d’autant plus qu’il était alors très chuchoté. Reprenons-le.
- Tsunami : C’est lui. La bête noire de tout pronostiqueur. A l’arrivée lorsqu’on ne l’attend pas, moins bien lorsque l’on croit en lui. Au trot monté, attelé, il est pétri de talent mais n’a jamais bien fait à Vincennes en trois courses cette année. Avec lui, c’est la loi de Murphy : en ne le mettant pas dans notre pronostic, il est plausible que celui-ci fasse l’arrivée, comme pour nous faire mentir. On s’y risque tout de même, à cause de sa stat à Vincennes en 2017.
- Astral Viretaute : Lui aussi avait été plaisant dans le Prix de Soulac, notre Quinté de référence. Certes, il avait eu le bon parcours à la corde, mais sa ligne droite finale avait été plutôt intéressante. Et lors de sa performance précédente, il se payait le luxe de devancer un certain Alamo du Goutier à poteau égal. Sur ces deux performances, on ne peut pas l’enlever de notre pronostic !
- Arius du Douet : Franck Nivard absent, c’est Jean-Philippe Monclin qui se placera au sulky de son pensionnaire, 3e de notre course référence. Sa forme est certaine (deux victoires, une 3e place et une 5e place lors de ses cinq dernières sorties) et il se plait sur la grande piste, en atteste sa victoire du 24 septembre dans le Prix d’Ancenis.
- Un Satin Rose : En 11 courses cette année, il n’a chipé qu’une petite 3e place, et c’était à Enghien sur un parcours de vitesse. Désormais bien chargé en gains, il trouve des tâches un peu ardues. Difficile d’y croire…
- Valea Mip : Dans la course référence, elle avait fait un bout de classe à l’intersection des pistes, venant comme pour chatouiller l’intouchable Aero King. Elle s’est mise à la faute avant que l’on puisse voir si le combat aurait pu tourner en sa faveur. Mais sur ce simple bout de classe, on est obligé de croire fort en elle.
Le pronostic d’Equidia.fr : 4-18-2-8-13-16-15-3
Source : equidia.fr
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