17 février 2014 archives

Ce mercredi 19 février, les galopeurs de 5 ans et plus sont à l’honneur dans le Prix de Sainte-Maxime, qui sert de support aux paris à la carte sur la Riviera. On a fait le plein de partants avec 18 candidatures, parmi lesquelles on détachera celle de Maroni, qui n’est autre que le tenant du titre.

On prend les mêmes et on recommence. En effet, ce Prix de Sainte-Maxime, édition 2013, avait vu un tiercé gagnant composé de Maroni (n°17), Honneur Suprême (n°16) et Chopsoave (n°1). Un an plus tard, ces trois spécialistes des quintés se retrouvent au départ de la même épreuve. Le premier cité dépend du redoutable entraînement de François Rohaut, à l’arrivée également de cet événement en 2012 avec Silver Green (2^e). Il n’a pas été revu sur le mile depuis le 20 février 2013, date de son trophée dans cette joute. Il aborde la course dans des conditions au poids nettement plus avantageuses cette année, deux kilos et demi de moins. Stéphane Pasquier, qui avait également été contacté pour monter Benadalid (n°6), a préféré lui être associé. Autant dire qu’il ne manque pas d’atouts dans son jeu.
Sa dauphine, Honneur Suprême (n°16), se plaît tout particulièrement sur la Riviera, où elle n’a jamais déçu en six sorties. Patrick Montfort compte encore sur cette chic jument : «Après avoir remporté un handicap, elle vient de se classer au troisième rang. Elle monte un palier mercredi, mais fait toutes ses courses. Par ailleurs, elle est meilleure sur la fibrée. À l’issue d’un parcours favorable, elle peut poursuivre sa belle série.» 
Quant au top-weight, Chopsoave (n°1), il reste sur un échec dans un réclamer palois. Didier Guillemin, son mentor, nous conseille d’effacer cette 6^e place : «Il court vraiment mal en dernier lieu à Pau. Cet adepte de la fibrée a probablement été gêné ce jour-là par la surface de la piste, à cause des précipitations. En vieux cheval, il fait de l’entretien à l’entraînement. Il a bien travaillé et doit mieux courir.»
On ne peut pas résumer ce Prix de Sainte-Maxime à un match à trois. American Pick (n°12) s’était retrouvé dans tous les mauvais coups, le 15 janvier, dans le Prix Charles Gastaud. Quant à Tryst (n°11), il évolue également dans son jardin à Cagnes (6 sur 8) et vient de mieux courir que ne l’indique son classement.

Source : paris-turf.com